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Postambule , Olympe de gouges

Commentaire de texte : Postambule , Olympe de gouges. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  6 Mai 2022  •  Commentaire de texte  •  958 Mots (4 Pages)  •  2 849 Vues

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Postambule , Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne

Introduction

La déclaration des droits de la femme fut écrit en 1791 par Olympes de Gouges une femme de lettre qui s’inscrit dans le mouvement des lumière par ses œuvres progressistes qui militent pour l’égalité.

Le féminisme combatif d’Olympes de Gouges fait d’elle une figure singulière et marquante de la révolution Française.

La déclaration des droits de la femme demeure son texte le plus connu , il s’agit d’une réécriture des droits de l’homme et du citoyen de 1789 pour énoncer les principes de l’égalité entre les sexes.

Olympes de Gouges meurt guillotiné en 1793 pour avoir dénoncé les massacres  commis au nom de la révolution.

Problématique

La problématique pour ce postambule sera « Comment Olympes de Gouge pousse-t-elle la femme à réclamer ces droits ? »

Annonce de Plan

J’ai choisi de diviser ce texte en 3 partie, La première partie est constitué de la ligne 1 à 3 et se nommera « Premier appel à l’action ». La seconde partie est constitué de la ligne 4 à 13 et se nommera « Une révolution injuste envers les femmes » et enfin la troisième partie est constitué de la ligne 13 à 19 et se nommera « nouvel appel à l’action pour l’égalité »

I.Premier appel à l’action

Pour débuter ce postambule , Olympe de Gouge commence par une accroche à la l.1 en débutant immédiatement avec un ordre direct , cette ordre est à la seconde personne du singulier ce qui démontre une certaine familiarité de l’Autrice.

Elle continue avec une métaphore , le tocsin étant une cloche pour alerter la population d’un danger imminent , c’est ici pour symboliser un sentiment d’urgence ce qui cadre bien avec l’ordre « réveille toi ». On note aussi l’hyperbole , qui a un but d’exagérer pour donner du poids à ces propos. Elle poursuit avec un second ordre direct .

Par la suite Olympe de Gouges nous fait entendre à un monde meilleur l.2/3 , un monde ou la nature serait débarrassée de toutes vieilles pensées , de toutes obscurantisme. L’accumulation des termes péjoratifs « préjugés » et « mensonges » montre bien le mépris d’Olympe de Gouges envers le vieux monde. Puis dans une même structure , Olympe de Gouges est dans une logique d’insistance L3. On souligne cependant deux métaphores antithétiques ainsi qu’une opposition entre la lumière « Flambeau » et l’obscurcissement « nuages».

II.Une révolution injuste envers les femmes

Dans ce début de seconde partie Olympe de Gouges affirme que l’homme à eu besoin de la femme lors de la révolution L.4 ,elle à recours à une métonymie classique « briser ses fers » , représentant bien entendu la liberté.

Cette liberté dont l’homme aurait profiter aux périls de la femme puisque L.5. Olympe de Gouges insiste sur le verbe « devenu » pour appuyé l’ingratitude de l’homme qui, à peine libre opprime la femme. L’autrice prend ensuite à partis les femmes avec une apostrophe violente et directe et l’utilisation de 2ème personne du pluriel « vous» L.4 , On remarque une répétition de «femmes» ainsi qu’un «ô» lyrique Il s’agit en réalité la d’une question rhétorique avec pour sous-entendu « Jamais » , Olympe de Gouges semble ici désespérer du manque de réaction des femmes. Elle interpelle ensuite la femme par une question L.6 , question à laquelle elle répond elle-même L.6/7 , cette réponse est une phrase pléonastique puisqu’elle reprend la même idée exprimée deux fois pour insister sur le mépris. Par la suite Olympe de Gouges fait un sous-entendu osée L.7/8 puisque ici elle fait référence au faite que dans l’histoire la seule manière pour les femmes de s’élever était la séduction. Mais elle nous fait comprendre qu’aujourd’hui l’arme de la séduction n’est plus possible du à la révolution L.8 , on peut remarquer donc une nouvelle question pressante d’Olympes de Gouges en à peine quelques lignes. De Gouges explique néanmoins par la suite qu’il reste à la femme la conscience de l’injustice et la nécessité de réclamer ces droits et que l’égalité Hommes/ Femmes est naturel  contrairement donc à l’oppression masculine. Par la suite les questions pressante et rhétorique  reprennes L.10. Le législateur de canna fait référence à Jésus lors des noces de Canna. Ici Olympe de Gouges critique donc implicitement la religion , faisant remonter l’oppression des femmes jusqu’à Jésus. L’autrice ce moque ensuite des législateur français , autrement dit des députés L.11/13 , elle met dans cette phrase en lumière l’aspect obsolète de la vieille moral de la domination masculine « qui n’est plus de saisons », puis elle reprend la remarque de Jésus au noces de Canna.

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