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La Fontaine de Sang, les Fleurs du Mal, Baudelaire

Commentaire d'arrêt : La Fontaine de Sang, les Fleurs du Mal, Baudelaire. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  19 Septembre 2021  •  Commentaire d'arrêt  •  477 Mots (2 Pages)  •  895 Vues

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Le poème s’intitule la fontaine de sang et est Situé à la quatrième section Les fleurs du mal qui porte le même nom que le recueil, dans cette section ainsi que dans ce poème, Charles Baudelaire utilise l’érotisme et les plaisirs de la chair comme échappatoire à la condition humaine. Le poème est constitué de 4 strophes et suit la forme classique de 2 quatrains et 2 tercets avec des rimes plates et des rimes embrassées vers la fin du poème. On va commencer par lire le poème et par vous présenter une analyse approfondie par la suite.

Dans le premier quatrain le poème s’exprime à la première personne « il me semble, mon sang, je l’entends, je me tâte. » on voit bien le lyrisme du poète qui n’hésite pas à exprimer ses émotions et ses passions, au deuxième quatrain par contre ça devient plus général et s’étend au monde extérieur.

-Dans le premier vers : il me semble parfois que mon sang coule à flots. On trouve une dualité entre la vie et la mort, lorsque on entend mon sang coule à flots on pense à une blessure béante mais dans ce cas il est plutôt débordant de vie. Il compare ensuite dans le deuxième vers son sang qui coule à une fontaine d’où le titre du poème.

-Au troisième et quatrième vers : je l’entends bien qui coule avec un long murmure, Mais je me tâte en vain pour trouver la blessure. Il Ya une certaine musicalité dans ces vers : rythmiques sanglots, long murmure. Ensuite Baudelaire affirme qu’il ne connait la source de son mal. Ici on a un peu l’expression du spleen baudelairien ou il est mélancolique, il a une grande souffrance sans qu’on sache d’où vient.

Au cinquième vers on embarque dans le deuxième quatrain A travers la cité comme dans un champs clos, il y a une antithèse dans ce vers entre à travers la cité on s’imagine que c’est grand mais il dit que c’est plutôt comme un champ fermé. Ensuite, il s’en va transformant les pavés en ilots, ici les pavés des rues se transforme en ilots qui sont un symbole d’exotisme une autre caractéristique de la poésie symbolique.

Quant au deux derniers vers du quatrain : Désaltérant la soif de chaque créature, et partout colorant en rouge la nature. Ici on peut peut-être conclure que le sang qui coule c’est le travail du poète, son talent. Et en s’écoulant dans les rues il les transforma en ilot donc il rendit le monde plus intéressant plus exotique. Et désaltérant la soif de chaque créature ca ce serait les lecteurs ou les poetes qui ont suivi son mouvement symboliste et bien sur ses écrits étaient controversés a son époque certains ont été bannies et donc il causait beaucoup de contreverse ce qui se traduirait par le dernier vers colorer en rouge la nature

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