La fontaine de sang, Les fleurs du mal, Baudelaire

Etude linéaire n°3 : "La fontaine de sang" (texte CXIII)

Intro:

- "La fontaine de sang" texte qui fait partie du receuil de poème les "Fleurs du mal" écrit par charles Baudelaire, née le 9 avril 1821 et meurt le 31 août 1867 il faisais partie du mouvement littéraire appelé décadentisme.

Problématiques:

Que veux dire et qu'elle sentiment Baudelaire ressent et fait transparaître à travers ce poème ?

différents moments:

-moment 1 (V.1 à V.4):

.Une douleur interne : L'auteur dans le premier quatrains utilise l'hyperbole quand il dit "[...]mon sang coule à flots, Ainsi qu'une fontaine aux rythmiques sanglots" dans ce passage l'auteur nous montre sa souffrance et sa douleur en disant que son sang coule à flots comme une fontaine ont sait que cela le tuerais si c'était vraie ont peux donc imaginer grâce à cela qu'il souffre, d'une douleur aussi violente que de mourrir en se vidant de son sang, mais l'auteur se permet à cette description horrifique de rajouté une éphitète méliorative "rythmiques" pour montrer que même dans sa souffrance ont y trouve de la beauté et qu'elle qu choses de ssymphonique mais ont peux aussi comparer la phrase "rythmiques sanglots" au fait qu"il se vide aux rythme des battements de son coeur qui à mesure que ce dernier bats projette son sang hors de lui.

"Je l'entends bien qui coule avec un long murmure" cette phrase fait réference à son sang, ont peux donc comprendre qu'il s'entend mourrir et qu'il entends son sang se déverser hors de son corps, il se vide et n'entends donc plus rien autour de lui à part cela

"Mais je me tâte en vain pour trouver la blessure" cette phrase nous permets au final de tout comprendre, qu'il souffre intèrieurement, qu'il n'es en aucun point blesser physiquement mais soit psychologiquement ou émotionnellement, ce qui explique les murmure qu'il peux entendre c'est son sang qui coule et se déplace en lui, il est dans un état très spécial comme en phase avec lui-même.

En plus de tous sa l'auteur utilse systématiquement la première personne dans ce premier quatrains : me/mon/je. Ont peux donc dire que cette situation est bien vécu et décritz entièrement par lui et c"est aussi une preuve du lyrisme.

En faisant les lien ont comprend que tout ce qu'il dit dans ce quatrains se passe en lui et ont comprends qu'il ressent absolument tout ce qui se passe en lui, de l'écoulement de son sang dans ces veines ("[...]mon sang coule à flots, ainsi qu'une fontaine[...]"), aux battements de son coeur("[...]aux rythmiques sanglots").Et ont peux se dire qu'il est dans un état de stase, de dépression et de douleur tellement profonds qu'il n'entends plus rien mise à part le bruit que son sang émets dans ses veines et non de son écoulement comme dit précedement ("Mais je l'entends bien qui coule avec un long murmure").

-moments

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