Est-il préférable de lire une pièce de théâtre ou la regarder?

AKCA                                                                                                                                     1erES

Ayse

DISSERTATION

Anciennement, le théâtre est un art dramatique, considéré comme un genre artistique et littéraire. Ainsi elle était destinée à être regarder par un public depuis la Grèce Antique. Aujourd’hui en France, cet art est reconnu aussi bien qu’un art littéraire qu’un art du spectacle. C’est pourquoi l’on distingue deux voies majeurs pour affronter une pièce de théâtre : soit en tant que spectateur et soit en tant que lecteur. La représentation comprend une vision vivante et actuelle qui la rend unique. D’autre part, la lecture d’une pièce peux permettre au lecteur d’assimiler au mieux l’aspect poétique tout comme Phèdre de Racine qui comprend une écriture sublime. De cette manière là, le lecteur est poussé a se focaliser sur les lignes d’écriture en essayant de dechiffrer l’information qu’on a voulu lui céder à travers les procédées ‘ecritures diverses et expressions. Mais, est-il  préferable de plonger dans une lecture d’une pièce ou de la réaliser à travers sa représentation ?

Pour y avoir une réponse, nous verrons les intêrets d’une pièce de théâtre, les avantages de la lecture puis enfin le gout de la représentation.

    Admirer une pièce de théâtre  paraît capable à elle seule de nous transmettre toute la beauté de l’œuvre théâtrale. Cependant cette présentation peut permettre la transmission de certaines choses non ressenties dans la lecture. De plus une pièce de théâtre est créé tout d’abord pour être joué. Cette conscience permet ainsi de matérialiser les élements dans la pièce puis éclaire  la correspondance de l’oeuvre. Cette voie permet une tel vision et une audition aux spectateurs. Pendant la Grèce antique, le début du théâtre occidental, le mot « theatron » qui donnera plus tard « théâtre » en français voulait dire « contempler » et c’est pour cela que sa a pour objectif de faire participer tous les citoyens à une manifestation religieuse et de leur apprendre à respecter les dieux et le destin intransigeant. Par exemple . Les mythes sont souvent repris dans les tragédies grecques tel que le mythe d’Oeudipe Roi de Sophocle,.  

    Comme toutes piéces de théâtre,  conjointement avec les répliques s’amène les didascalies qui sont des indications pour l’espace scénique et pour le jeu de l’acteur tout comme Le mariage de Figaro qui est enoncé avec énorméments de didascalies afin de représenter la scène et de l’imaginer même en la lisant. Cette nature défère la constance des auteurs que leurs œuvres soient mises en scène. Pour le cas des pièces qui ont peu de didascalies comme chez Molière ou Racine, on apprend que ce n’est pas du à une volonté d’écrire une pièce à lire mais parce qu’ils sont eux-mêmes des metteurs en scène pour leurs pièces. Le spectateur est d’ailleurs considéré comme un des acteurs indispensables au théâtre, sans lequel il n’y aura pas de théatréalité

     Pour exister, l’oeuvre théâtrale nécesite un certain nombre d’intervenants. Certes le texte est écrit par un auteur, désormais il est crée par de nombreux artistes qui lui permettent de devenir un spectacle et representation. De ce fait, elle propose au spectateur une des visions possibles de l’œuvre. Les objets théâtraux ont tous des significations importantes qui permettrent de mieux comprendre l’œuvre. Tout comme dans la mise en scène de Phèdre par Patrice Cherreau, les changements entre scènes sont visibles pour les spectateurs. Nous pouvons remarquer que la mise en scène est très proche du public et elle est faite à partir d’un diapositif scénique semblable a la perspective bi-frontale. Avec cette manière la, il privilégie la langue, la chaleur, la violence de l’humanité, le partage d’une céremonie éblouissante. Alors nous pouvont aussi distinguer la mise en Scène de Mouawad d’Incendies et de Norvey. Mouawad a adopter un décor beaucoup plus réaliste accompagnés de diverses accessoires ainsi que des chaises, du sang, des costumes puis a utiliser des couleurs, principalement le rouge qui symbolise le sang, la violence et la mort. Quant à Norvey, l’interpretation à été établie avec un plateau « nue » sans éléments de décor en compagnies de couleurs sombre pour démontrer la version tragique et la fin triste de cette oeuvre.

      La lecture d’un texte à l’aspect d’un très bon abord d’une pièce théâtral. La notion du temps est fondamental afin d’avoir une meilleur compréhension de l’oeuvre et il ne faut pas l’accepter comme une contrainte. Au contraire, c’est une liberté dans la fluidité de la lecture et peut fragmenter sa lecture  alors il peut revenir en arrière ou relire un passage qu’il n’a pas saisi. D’autant plus, cette voie connais souvent des refléxion et interprétation personelle. Le lecteur peux se focaliser et opter une écriture théâtrale et consacrer son temps à analyser une écriture qui n’est pas familière à la sienne. Cette absence provient du vocabulaire de l’époque car l’usage des mots au XVIIème siècle n’est pas le même qu’actuellement. Les mots comme « feux », « ennui », « déplaisirs » n’ont plus aujourd’hui une signification aussi intense que dans Andromaque de Racine ou Horace de Corneille. Un lecteur peut aussi préferer lire une pièce de théâtre dû à son goût à la lecture. Une pièce sous forme de texte fournit l’essentiel, illustre l’imagination du liseur à travers les didascalies et répliques puis d’imaginer l’aspect physique et morales des personnages. C’est ainsi que dans En attendant Godot de Beckett, dans l’acte premier nous avons une volonté de lire la suite et une image des faits et gestes des personnages sans avoir vu une représentation de cette scène. En outre Les didascalies externes permettent de s’imaginer les décors, les mouvements et les gestes des personnages, leurs mimiques et les intonations. Il se représente les personnages librement, selon son interprétation personnelle. Il comprend la pièce avec une vision personelle.

...