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Comparaison De La Citoyenneté à Athènes Et à Rome

Dissertation : Comparaison De La Citoyenneté à Athènes Et à Rome. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  1 Février 2019  •  Dissertation  •  786 Mots (4 Pages)  •  531 Vues

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C’est histoire d’un petit garçon d’une dizaine d’année qui a perdu sa famille et ses amis lors de la deuxième guerre civile d’Irak. Il a ensuite été déporté avec beaucoup d’autres jeunes dans un camps ou on les apprenait a ce battre pendant une année puis ensuite, ils devront aller dans le champs de bataille pour remplacer les soldats adultes qui sont mort à cause d’une balle ou  mort de faim car l’ennemi avait trouvé un moyen de bloquer les routes ou passait des personnes pour fournir de la nourriture et quand les soldats ne sont pas alimenté, ils meurent et c’est pour cela que des fois on envoyait des jeunes qui savait a peine tenir leur armes qui était très lourdes .

Milad : Il y’a quatre ans, le jour de mon anniversaire, j’ai tout perdu. En l’espace d’une heure j’ai perdu toute ma famille ainsi que certains de mes amis. Je les avais tous invités à mon anniversaire qu’on fêtait chaque année chez ma tante Hasna. Je me rappelle bien que ma mère Zeinab et mon père Karam réunissait tous la famille pour ce jour spécial, j’étais leur premier enfant et ma petite sœur qui était encore dans le ventre de ma mère, je l’attendais impatiemment et elle devait venir bientôt puisque ma mère allait me la donner dans un mois. La famille toute réunit nous partageons un repas tous ensemble, bien que la guerre avait fait augmenter les prix et que mon père n’avait de travail et que nous n’avions presque rien, tous étions heureux ensemble, je me rappelle que toutes mes tantes venait pour aider ma mère à préparer le festin  de mon anniversaire. Enfin quand tous étais servit, nous mangeons tous ensemble et à la fin du repas, le moment que je préférais le plus de toute l’année, le moment où je devais couper mon gâteau. Mais quand ma mère m’apportais mon gâteau, il y’eu une grande explosion, je me rappelle très bien de ce moment car c’était le pire jour de ma vie, j’étais en train de jouer avec mes amis quand ma mère nous avait appelé pour le gâteau, on était on train de marcher vers la terrasse  quand on a entendu l’explosion, toute ma famille avait été touché, toute ma famille avait été tué ce jour-là, ma mère, mon père, ma petite sœur, mes oncles, mes tantes, mes amis, tous ont été tué. Peu de temps après  des soldats viennent pour examiner les lieux et nous avait trouvé. Ils nous prîmes avec eux et nous dépose devant un camp ou les soldats s’entrainaient pour aller en guerre et c’est ici que le cauchemar commença, on apprenait à nous servir d’une arme, nous apprenais ce qu’étais notre mission, notre devoir et nos ennemies pendant un an et après on nous avait envoyé en guerre pour remplacer les soldats mort.  Je les voyais se battre, je ne savais pas quoi faire. Je n’avais que 10 ans. Ma famille était morte devant moi à cause de ces zombies. Ces zombies m’ont obligé à être comme ça. Ils m’avaient obligé à être comme eux, sans cœur et sans pitié comme eux et à tuer des innocents qui sont supposément nos ennemies, mais ils n’avaient pas l’air violent comme ils les décrivaient, ils avaient l’air comme moi innocent. Partout où je mettais mes bottes de guerres, il n’y avait que du sang, des cadavres et une odeur très bizarre. Ce n’était pas la vie que je menais avant, je n’étais qu’un enfant qui aimait rire et jouer avec ses amis. Je ne savais même pas pourquoi je devais détruire tous ce qui était devant moi sans réfléchir, je vais tuer des enfants, des femmes, des Hommes sans aucune raison, je devais juste respecter ce que disais le commandant Massoud. Heureusement, j’avais mon meilleur ami Saif qui toujours là avec moi, lui aussi a vécu la même situation que moi. Il était plus âgé que moi d’une année, il était toujours là pour moi et je pense que sans lui je n’aurais jamais surmonté la mort de ma famille et je ne serais surement pas encore de ce monde et il a toujours été là pour moi et ne m’a jamais laissé tomber dans les pires moments. On espérait que un jour, la guerre cessera et que nous puissions quitter cet enfer. Ce jour arriva et ce fut le plus beau jour de ma vie, on a réussi de sortir de cet enfer vivant et ensemble. On nous donna notre indemnisation et nous partons pour une nouvelle aventure dans une nouvelle vie qui avait beaucoup changé depuis ces 4 années qu’ils avaient passée dans les camps et la guerre.  

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