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Commentaire Littéraire : Monologue final de Bérenger (Rhinocéros)

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Par   •  29 Mai 2019  •  Commentaire de texte  •  1 091 Mots (5 Pages)  •  737 Vues

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Nous allons nous intéresser à la pièce de théâtre « Rhinoceros » écrite par Eugène Ionesco en 1959, plus précisément à l’extrait situé Acte II Tableau II dans le quels nous pouvons voir le litige entre deux personnages et entres deux conceptions de l’existence complètement différentes, celle de Bérenger une idéologie saine et normale et celle de Bérenger une idéologie basée sur la loi du plus fort

Nous allons nous intéresser à la manière dont cet extrait met en évidence cette opposition

Dans une première partie nous allons nous pencher sur l’idéologie de Jean et ses arguments puis nous alors faire de même avec l’idéologie de Bérenger et nous alors voir la différence entre les deux

Tout au long de cet extrait nous pouvons voir deux idéologies complètement différentes se confronter

Jean après être devenus à son tour Rhinocéros voit sa mentalité changer complètement, en effet contrairement à avant il commence à mettre en avant la lois du plus fort ainsi que la morale humaine à laquelle il tenait tant précédemment dans la pièce ; il affirme « je n’aime pas les gens têtus » en parlant de Bérenger qui essaye de défendre la morale humaine, cela nous montre que Jean n’aime pas la contradiction et les personnes qui lui résistent, plus tard il nie le caractère extraordinaire des transformations, il trouve cela normale ce qui nous montre encore une fois l’anomalie de la pensée de Jean,

Jean semble prêt à abandonner la civilisation pour la jungle, en effet pour lui cela ne pose aucun problème, il arrive même à comparer les Rhinocéros et les hommes en disant que ce sont deux espèces similaires et il les met sur le même pied d’égalité, plus tard il affirme « L’humanité est périmé » il insinue alors que la civilisation ou ils vivent est mauvaise et qu’il faudrait la remplacer par la loi du plus fort, il compare alors l’humanisme a une marchandise périmé qu’il faudrait tout de suite changer . L’agitation de Jean met en avant ses propos et le fait qu’il est en train de se transformer et donc de perdre la raison, « Allant et revenant dans le salon et dans la salle de bain », on montre clairement l’agitation de Jean puis plus loin, « Il bru » ce verbe qui désigne le fait de souffler brillamment est plutôt sauvage et violent ce qui nous montre encore une fois la transformation de Jean en animal, il devient ainsi de plus en plus violent : « Il fonce sur Béranger la tête baissé ».Il répète cinq fois « J’en ai assez de la morale !! » Ce qui montre son immense désir de se libérer de cette dernière, il en peut plus, il aimerait adopter la loi du plus fort, il affirme « Il faut dépasser la morale » ce qui montre encore une fois son désir de changement. Jean insinue qu’il n’y a plus de bien ou de mal et qu’il faut plus réfléchir avant de faire des actions, il incite donc à la sauvagerie et à la violence. Il insiste sur le fait que la morale humaine est dépravé et qu’il faut pour le bien de tout que de revenir l’intégralité primordiale , il décris la lois animale étant mieux que celle humaine On sent tout au long de l’extrait que les capacités intellectuelles de jean sont entrain de diminuer lentement, en effet avant il fessait des phrases longues et travaillés et a fera mesure que le temps passe ses phrases et ses réponses

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