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Commentaire La princesse de Clève, de Mme de Lafayette

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Par   •  5 Mai 2018  •  Commentaire de texte  •  1 186 Mots (5 Pages)  •  684 Vues

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Introduction :

Mme de la Fayette entre dans l'aristocratie grâce à son mariage avec le comte de la Fayette. Son nouveau statut social lui permet de tenir un salon où elle invite intellectuels et écrivains. Elle développe ainsi une grande amitié avec le duc de La Rochefoucauld, un des maîtres du classicisme. Son œuvre majeure, La Princesse de Clèves, est publiée en 1678. Elle est considérée comme le premier grand roman de la littérature française car il est le premier qui dote,,son,,héroïne,,d'une,,psychologie,,complexe.

    Le passage que nous allons étudier se situe au début du roman, l'héroïne est présentée à la cour d'Henri II pour la première fois. Le lecteur la découvre également pour la première fois. Son portrait s'inspire du roman héroïque et de la préciosité mais relève du roman psychologique par l'importance accordée au portrait moral et surtout à l'analyse à laquelle se livre Mme de la Fayette pour expliquer les vertus dont est doté son hérione

I – Un portrait phisique à peine esquissé/ébauché

1) Un portrait phisique

        Dans un premier temps le portrait phisique est retardé par une fresque de l'époque dans la première page du roman et par un passage narratif « il parut » (l.1), mais également par une analepse (retour en arrire), en effets il y a un retour sur l'enfance de la jeune fille, on le voit avec les temps composés du passé notamment avec le plus que parfait, « avait passé » (l,7), puis il y a évocation de la mère et de la famille, avec une sorte d'arbre généalogique à peine ébauché avec les parents et les oncles « elle était de la même maison » (l.3) ;  « grandeshéritière » (l.4) .

        Ensuite on voit que ce portrait phisique est à peine esquissé, en effets on possède que de quelques éléments seulement « cheveux blonds » (l.27) ;  « ses traits étaient réguliers » (l.28), de plus nous avons des éléments habituels, symbolique de noblesse et de pureté « blancheur de son teint » (l.27) ; « plein de grâce » (l.29), il n'y a pas de singuliarité mais seulement des banalités conventionelles hyperboliques « beauté parfaite » (l.2) ; « éclat que l'on n'a jamais vu qu'a elle » (l.28), ce qui nous rappelle le blason médiévale ( beauté, perfection).

                

                2) Mais un portrait social relativement détaillé :                 

        On presque 20 ligne consacrées à sa famille et son éducation familiale et à sa situation sociale avec « héritière » que l'on retrouve 2 fois, de plus il y a un grand interêt pour son statut social plus que pour sa personne individuelle « un des plus grands partis qu'il y eût en France » (l.22)

        On a donc quelques informations sur une intrigue possible, c'est à dire une belle jeune fille en âge de se marier où d'être mariée

II – Un portrait moral très dévellopé

        1) Une éducation à l'écart de la cour 

        

        De la ligne 7 à 25, c'est à dire le paragraphe centrale qui est le plus long est le plus important, résumé par « abscence » (l.7) qui rappele « désert » d'Alceste du Misantrophe de Molière ( perssonage inadapté au monde qu'il va découvrir car il est pur, innocent), elle n'est pas préparée à vire à la cour qu'elle va découvrir.

        

        2) Une éducation dans le contexte féminin

                                                                                                                                                                     

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