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Chapitre 7 des caractères de La bruyère

Commentaire de texte : Chapitre 7 des caractères de La bruyère. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Février 2022  •  Commentaire de texte  •  1 780 Mots (8 Pages)  •  1 922 Vues

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Explication linéaire du texte 2: Livre VII “De la Cour”, Remarque 74

Introduction:

Présentation oeuvre et auteur:

I) Contexte historique:

1) Le siècle de Louis XIV:

À cette époque, c’est un régime de Monarchie Absoluequi est en place. Le Pouvoir s’installe à Versaille

Etre à Versaille fixe un lieu pour la cour et montre la puissance de la France vise à vie de l’Europe. De plus le roi “contrôle” les grands seigneurs plus facilement. Ils avait des divertissement et des vies modène et quelque tache administrative.

Louis XIV délègue peu, il a confiance qu’en 2 personne. Il y a Colbert pour les finances et Louvois pour la guerre.

2) L’Ordre social sous l’Ancien Régime:

La Noblesse et le Clergé vive à la cour, alors que le Tiers-État vie dans la ville. Il y a 2 noblesse:

- La noblesse de robe -> est la bourgeoisie qui achète des taches administratifs.

- La noblesse d’épée ->héréditaire

3) Versaille ou la Théâtralisation du Pouvoir:

Exemple: La mise en scène du réveil du roi = hypocrisie

II) Contexte Littéraire:

1) L’influence du Mouvement Baroque:

Le mouvement baroque dure de la fin du XVIe siècle au début du XVIIe siècle.

Il est define par une vision instable du monde avec des representation de la mort et de l’exubérence, des contrastes, des excès, des hyperbowl.

La Bruyère a un therme qui est la vanité. Et le therme du théâtrum mundi.

2) L’oeuvre du classisime:

Le mouvement du classisime est de la 2e moitié du XVIIe siècle avec des règles et du code pour évité les excès du baroque. But = Idéal moral de l’honnete homme. Maîtriser sont caractère et ses passions.

Idéal par les arts avec un ideal esthétique.

Des forms carré, les excès du language, des règles, des inspirations de l’antiquité.

3) La doctrine classique “plaire et instruire”

Un moraliste critique le comportement: il conseil pour aide le comportement.

Corrigé le caractère avec l’écriture.

III) Les Caractères:

1) L’oeuvre unique d’un homme qui a bien connu la cour.

La Bruyère était un bourgeoie, avocat, il prend une charge à la cour qui lui permet de devenir un noble. Il connaît assez bien les grands de la cour pour les décrire et écrire dessus.

Il a fait qu’une oeuvre édité 9 fois. Il renter dans l’académie française.

2) Oeuvre sans cesse retravaillé.

Les caractères ou les moeurs de ce siècle. Le titre: “Les caractère” est inspiré des “Caractère de Théophraste”

3) Un recueil de fragment.

Il y a des reflexions discontinue, brève = remarque qui n’ont pas toujour la même forme. La forme la plus présente est le portrait, des maximes et des reflexions longues et des analogies.

Présentation du texte:

Texte situé dans le livre 8 qui se nomme: “De La Cour”, c’est un livre central des caractères. Il décrit les moeurs des courtisants à Versaille qu’il a pu observe.

Le livre 8 à une forme dyptique avec le livre 7 “De La Ville” qui représente Paris et une autre forme dyptique avec le livre 9 “Des Grands”. Ce qui crée une impression de hiérarchie dans l’organisation du livre.

La remarque 74 est un portrait collectif des courtisans de Versaille même si versaille n’est jamais nommé.

Pour dénoncé la déboche de la cour, La Bruyère utilise une stratégie argumentative original en passant par un regard étrangé qui s’étonne des comportement des courtisans.

Problématique:

En quoi le regard étrangé porté sur la cour mets t-il en évidence la comédie social ?

Plan:

- L1 à 7: Représentation d’une Cour décadente

- L7 à 15: Règne de l’artifice et du paraître

- L15 à la fin: Pratiques religieuses d’une Cour finalement identifiable par le lecteur.

I) L1 à 7: La representation d’une Cour décadente:

1) L1 à 2: La mise en place du regard étranger.

- Evocation d’une “région” avec le pronom indéfini “on”. Le “On” qui donne une impression de rumeur. Le déterminant indéfini “une” qui renforce l’idée d’insertitude, Le therme “région” est assez vague. Ce qui donne une impression de lointain = mise en place de la stratégie du regard étrangé.

- Opposition entre “vieillard” et “jeune gens” avec la locution “au contraire” qui va souligné le contraste. L’opposition de la manière social.

Pour les vieillards, énumération avec des adjectif mélioratif en rythme ternaire.

Les vieillards sont la représentation des honnetes hommes.

Pour les jeunes gens, ont a un rythme binaire avec des adjectif pégoratif et 2 noms valorisant mais niés. Le 2e nom “politesse” reprend l’adjectif au centre de l’énumération polis. Cela donne une impression de décadence.

L’utilisation du pluriel generalise cette reflexion à l’ensemble de la société.

2) L2 à 7: Une Cour qui se vautre dans la débauche.

- La débauche présente sous plusieur aspect dans un portrait en acte. Le texte se centre sur les jeunes et développe leur vice:

- La débauche sexuel: La Bruyère sugère une précosité dans les relations amoureuse par rapport au autre

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