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Tâche finale

Dissertation : Tâche finale. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Mai 2019  •  Dissertation  •  499 Mots (2 Pages)  •  553 Vues

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1) Le texte définit la liberté selon certaines conditions à respecter pour se dire libre. Par exemple, avoir des convictions propres à soi-même et non pas se faire influencer. Il donne un contre-exemple avec un esclave aux services de son maître qui n’as pas le choix que de rester dans sa propre ignorance et donc à jamais à ses services. Enfin, il explique que pour être libre, il nous faut être en société car la liberté s’applique sur un collectif et non, individuellement.

On peut donc dire que le texte est composé de trois parties.

2) Cela veut dire que personne ne doit nous commander à quoi que ce soit si on tient à notre liberté. Personne ne doit nous empêcher de faire quelque chose qu’on a envi. Comme personne ne doit nous influencer dans nos idées. Elles doivent venir de nous et de personne d’autres. Au quel cas, on ne serait plus libre.

Néanmoins, cela pose un problème dans le monde du travail. Par exemple, un employé est bien obliger de recevoir des ordres et de les exécutés. On ne peut pas parler ici d’une privation de liberté. Il n’est pas comparable à un esclave (soumis) car un employé obéi. (obéissance). Sa thèse est donc contestable.

B) En effet, prenons en exemple le cas inverse. Seul, sans société, ni personne autour de nous, comment pouvons nous dire qu’on est pas libre ? Personne pour nous contredire, nous commander ou encore nous privé. Dans ce cas, on est livré à soi-même et on ne peut que avoir ses propres convictions.

Pour se dire libre, il faut faire la part des choses entre hommes en respectant ses droits et ses devoirs. En respectant l’autrui qui doit à son tour nous respecter. Ne recevoir, aucun ordres ou idées de sa part, néfaste à nos pensées. C’est une question de savoir vivre ensemble et dire par là que être libre c’est un travail sur toute la société.

3) L’égalité conditionne la liberté

A.

En réalité, il n’y a pas de liberté dans l’inégalité. En effet, quand chacun fait ce qu’il lui plaît, on fait souvent ce qui déplaît à d’autres, et cela ne s’appelle pas un état libre. Elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d’autrui à la nôtre. Autrement dit, être libre n’est pas faire ce que l’on veut, mais obéir à une loi devant laquelle nous sommes tous égaux.

B.

C’est par conséquent la loi et l’égalité de tous devant elle qui rend possible la liberté. En effet, comme étudié la dernière fois, c’est l’apparition de l’idée de propriété qui marque la fin de l’état de nature, puisqu’elle produit l’apparition de l’inégalité (le plus fort possède plus), et de la violence. Dès lors, il est nécessaire de réintroduire une égalité entre les hommes, et c’est précisément la fonction du contrat social (les lois).

S’il semble que la liberté soit menacée par les inégalités réelles, on peut dire qu’une liberté sans égalité, même formelle, est impossible. Il ne peut donc pas y avoir de liberté sans égalité.

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