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Frontières espagnoles

Étude de cas : Frontières espagnoles. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Avril 2023  •  Étude de cas  •  614 Mots (3 Pages)  •  187 Vues

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Frontières espagnoles

Intro : présentation du thème au tableau

Problématique : Pourquoi peut-on dire que les frontières sont à la fois des zones de séparation et des zones de contact ?

Donc nous allons voir ainsi plusieurs aspects sur les frontières espagnoles, dans un premier temps le rôle des frontières espagnoles et dans un second temps les sources de conflits liées à ces frontières.

Pour commencer nous allons définir ce que c’est qu’un pays de première entrée, étant donné que l’Espagne en est un.

Un pays de première entrée, dans le cas de l’Espagne est un pays séparant un autre pays d’un autre continent, et pour cet exemple-là, on peut prendre le Maroc qui est dans le continent africain et l’Espagne en Europe.

Nous allons maintenant définir ce qu’est une dyade, une dyade c’est une frontière commune entre 2 états.

Les frontières terrestres espagnoles ont une longueur de 2013km et 4872km de frontière maritime. Les frontières espagnoles ont avant tout pour but de séparer leur territoire des autres, mais aussi l’Union Européenne des autres continent ou autres Etats n’y faisant plus parti. Néanmoins, la frontière peut prendre un autre aspect. En effet, nous pouvons voir des coopérations transfrontalières entre plusieurs métropoles, par exemple des eurocités (agglomération urbaine établissant des coopérations de part et d’autre d’une frontière) avec les villes de Valença au Portugal et la ville de Tui en Espagne. Ces 2 villes peuvent ainsi faire différents échanges comme des échanges culturels, ou commerciaux, par conséquent l’image même de la frontière est changée puisqu’il ne s’agit plus d’un point de passage ou d’un mur.

Cependant, il y a de nombreux conflits autour des frontières espagnoles. L’UE se rapproche d’un durcissement de ses frontières avec l’extension de barrières physiques avec le modèle de la frontière entre les enclaves espagnoles et le Maroc (murs, barbelés, miradors, caméras thermiques, patrouilles militaires) à Melilla et Ceuta. La barrière de Melilla est longue de 12km, et a commencé à être aménagée dès 1998. Elle n’a cessé d’être renforcée au cours des années 2000pour freiner l’immigration et la contrebande. Toutefois ceci contraint les migrants à emprunter d’autre trajets plus dangereux.. D’autre part, la gestion des flux se diffuse au sein de territoires nationaux sous la forme de lieux de contrôle (aéroports, hotspots). Si Ceuta et Melilla disposent du niveau de revenu le plus bas d'Espagne, elles constituent en revanche des îlots de richesse et une porte d'entrée pour l'Europe aussi bien pour les Marocains qui viennent y acheter toutes sortes de produits rendus compétitifs par l'absence de taxes (les deux villes sont des ports-francs, non compris dans l'Union douanière européenne), et revendus ensuite au Maroc, que pour les migrants subsahariens qui cherchent à y pénétrer. Cette situation a justifié l'installation et le renforcement de barrières et de dispositifs complexes de sécurité. Une autre frontière en mer sépare le Maroc de l'archipel des Canaries, autre voie d'accès empruntée

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