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Conférence de Doha sur le changement climatique

Étude de cas : Conférence de Doha sur le changement climatique. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  16 Décembre 2012  •  Étude de cas  •  719 Mots (3 Pages)  •  1 140 Vues

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CONFERENCE DE DOHA SUR LE CHANGEMENT

CLIMATIQUE

INTRODUCTION

Un an après le sommet de Durban, la 18e session de la Conférence des Parties à la CCNUCC et de

la 8ème session de la Conférence des Parties siégeant en tant que Réunion des Parties au Protocole

de Kyoto a ouvert le lundi 26 Novembre et a continué jusqu'au samedi 8 Décembre 2012 au Qatar

national Convention Centre à Doha, Qatar.

Cette conférence organisée par l'ONU visait surtout à amplifier les efforts pour ralentir le

réchauffement climatique, éviter les sécheresses, les inondations, les canicules et l'augmentation du

niveau des mers. Entre les quelques 200 pays représentés, les pourparlers ont été d'une ambition

discrète malgré les séries d'études qui ont mises en évidence l'augmentation des émissions de gaz à

effet de serre. Cette conférence traite notamment d'une prolongation du protocole de Kyoto,

d'accords sur le climat, et des précautions que doivent prendre les nations pour le protéger.

PROTOCOLE DE KYOTO

Un des aspects positifs pour la situation climatique mondiale qui est ressortie dans ce sommet est

la décision de poursuivre le protocole de Kyoto et l'accord de l'UE, l'Australie, la Norvège, la

Suisse, le Liechtenstein, Monaco, la Croatie et l'Islande à s'engager dans une deuxième période

d'engagement de Kyoto2. Cela signifie que le seul accord international contraignant sur la réduction

des émissions nuisibles au climat de gaz à effet de serre qui existaient jusqu'à présent,

sera prolongé jusqu'en 2020.

Le détail ci-dessous est moins positif cependant : les pays qui ont entrepris un engagement de

Kyoto 2 sont responsables d'environ 14 pour cent des émissions mondiales de gaz à effet de serre.

Ceci n'inclut pas les émissions générées par les autres pollueurs majeurs, y compris les États-Unis,

la Chine, le Japon, le Brésil, l'Afrique du Sud et au Canada. Ces États ont confirmé l'engagement

qu'ils ont pris l'an dernier à Durban et ont accepté une réduction de leurs émissions. Cependant,

encore une fois, ils ne veulent pas s'engager sur des objectifs de réduction contraignants. Nous

rappellerons que les États-Unis n'avaient pas signé le premier protocole de Kyoto, et qu'alors que

l'Europe réduisait ces émission de gaz à effet de serre de 0,6%,(ce qui est largement inférieur aux

engagements de départ : 8%), les États-Unis augmentaient les leurs de 13%.

ACCORD SUR LE CLIMAT

À Durban, les ministres de l'environnement ont fixé une date butoir – 2015- afin de travailler sur

un nouveau pacte mondial pour lutter contre le changement climatique. Ce pacte mondial devrait

par la suite entrer en vigueur en 2020. Cependant, aucune grande nation n'a établi de nouveaux

objectifs à Doha.

De même, il

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