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Les espèces change de pré-carré, biologie végétale

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Par   •  28 Avril 2018  •  Discours  •  1 440 Mots (6 Pages)  •  818 Vues

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Introduction :

Le sujet que nous allons traiter est intitulé : «  Les espèces changent de pré- carré ».

L’étude de ces documents rédigés par la journaliste Cécile Klingler pour le magazine n’399 de « La Recherche »spéciale climat publié en 2006 à pour but de montrer l’impact du réchauffement climatique sur la présence d’espèces végétales dans un milieux et leurs migrations.

Tout commence par des relevés effectués entre 1905 et 1985 au sommet des Alpes bernoises ou l’on s’aperçoit qu’il ya une augmentation de la diversification floristique par rapport aux relevés de 1905 avec 86% d’espèces en plus. Ce premier constat amènera plus tard après plusieurs recherches à établir un lien entre le rechauffement climatique et la migration des plantes de l’étage inférieur à l’étage supérieur des montagnes.

Ce lien constitue un indice fort de l’impact du réchauffement climatique sur l’air de distribution des plantes. Car ces aires sont protégées de l’homme et non habitées donc si il ya des changements ce n’est pas directement par l’action de l’homme ( fragmentation de l’habitat, construction de routes, détérioration induite par la pollution locale…)

Ensuite des analyse statistiques à grande échelle basé sur la limite de l’air de répartition de plusieurs espèces animales et végétales ont été faites et ont toutes conclu à une empreinte globale du changement climatique sur le vivant.

Néanmoins l’empreinte est modéré avec une progression moyenne de 6km vers le nord ou quelques mètres en altitude de l’aire de répartition des animaux et végétaux et tous ça par décennie sur le siècle écoulé.

Enfin à l’avenir le paysages sera singulièrement modifié. Prenons l’exemple de la répartition des arbres en France ou il ya eu la réalisation d’une cartographie des zones favorables et défavorables dans le futurs, associés au paramètres climatiques des mêmes sites. Cela donne des enveloppes climatiques à échéance 2050 et 2100 effectuée avec le modele Arpège suivant le scénario B2 du GIEC.

Parlons maintenant du hêtre et du chêne.

Le chêne vert qui est une espèce emblématique de la région Méditerranée qui a un climat chaud et sec étend son habitat potentiel. Le hêtre quand a lui craint la sécheresse et de ce fait il n’apparait plus que dans le quarts nord est de la France.

Ces modélisations sont effectues grâce à un modele de niche où on compare leurs aire de répartition potentiel aux conditions climatiques actuel de leurs habitats.

Les conclusions qu’on peut tirer de ce postulat sont que le modele de niche est utile pour dégager de grande tendance mais est trop brutal sur le plan écologique. Conclusion appuyé par Jean Luc Dupouey qui est écologue forestier qui dit qu’à l’heure actuelle qu’on est incapable de modéliser ce qui va réellement se produire en termes d’adaptation ou de réorganisation et de fonctionnements des écosystèmes. Cependant il est possible de fournir une estimation des menaces pesant sur la biodiversité actuelle en comparant la surface potentielle d’une espèce à la surface dont elle dispose actuellement. C’est ce qu’a fait en 2004 une équipe internationale en projetant l’aire de répartition de 1103 espèces dans le monde et le constat est que de 15 à 37% des espèces étudiées seraient vouées a l’extinction vers 2050. Malgré des résultats contestés ça montre la tendance d’extinction des espèces dans le monde.

Cette tendance s’applique aussi à l’Europe et c’est ce que nous allons voir dans cette partie.

Tout d’abord des résultats publiés en juin 2005 appuyé cette tendance car l’étude mène sur 1350 plantes européenne montre qu’en utilisant les deux scénarios du GIEC ( A1B2) qui sont le cas le plus grave et le moins grave.

Dans le cas le plus grave au niveau climatique si les espèces ne peuvent pas migrer, 2% disparaissent 22% sont en danger d’extinction et 30% sont à faible risque .

Dans le cas le moins grave si les espèces peuvent migrer quelques soit la distance 4% sont en danger d’extinction et 70% à faible risque.

Les deux cas ne sont pas possible mais ce qui va se produire sera à l’intersection des deux et ils ignorent beaucoup de choses, tel que la capacité de migration et de dispersion.

Dans tout les cas les résultats sont inquiétant sachant que la fragmentation des habitats par l’homme et les autres modes de destructions des habitats ainsi que les changement climatique ne faciliterons pas leurs taches.

Cependant des incertitude persiste. En effet on imagine difficile la migration de plante au dessus de sommet de montagne. S’ajoute a ces problèmes de géographie

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