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Exposé sur l'hépatite

Étude de cas : Exposé sur l'hépatite. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Novembre 2022  •  Étude de cas  •  749 Mots (3 Pages)  •  263 Vues

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Exposé : une maladie virale, à transmission directe ; l’hépatite

Sommaire :

Introduction (en noir)

Son histoire (en vert)

La maladie (en rouge)

Le traitement (en bleu)

Il existe 5 hépatites différentes qui se caractérisent par leurs effets sur le corps et leurs symptômes.

Il y a l’hépatite A ; B ; C ; D et E ; l’hépatite est une inflammation du foie. La plus meurtrière et la plus connu est l’hépatite C, elle est aussi la plus difficile à soigner.

L’hépatite fait 1,5 million de mort par an, à elles seule l’hépatite B et C sont les plus meurtrières (C= 500 000 mort par an) et contaminent environ 400 000 millions de personnes.

L’hépatite B se diffuse en Afrique Sub-saharienne et en Asie du Sud-Est. L’hépatite C se diffuse en Afrique du Nord, le sous continent indien et en Asie du Sud-Est. Il n’y a pas de vaccin et il est difficile de trouver un traitement. Les 5 pays les plus touchés sont Le Nigeria, l’Égypte, le Pakistan, la Chine et le Myanmar.

L’hépatite est apparue dans les années 60 en Égypte suite à la schistosomiase, une maladie qui a ravagé le pays, qui était seulement guérissable par une injection, mais par défaut d’argent le matériel était réutilisé et mal stérilisé. Donc en 30 ans, 7 millions de personnes ont reçus le traitement mais certains on était contaminé par l’hépatite qui a ainsi pu se propager dans le pays. Aujourd’hui 1 égyptiens sur 10 est contaminé par l’hépatite.

Cette maladie est un virus qui se transmet par le sang après une transfusion ou une injection. Certains chercheurs pensent aussi qu’il est possible qu’il se transmettent par rapport sexuel ou alors d’une mère à son enfant pendant la grossesse. Ses symptômes sont la fatigue, de la fièvre, des maux de tête, une perte d’appétit, des nausées, des vomissement, une coloration jaune de la peau et du blancs des yeux, une coloration foncées des urines…

Une fois entré dans l’organisme (dans le sang) il va se diriger vers le foie, qui est un organe de filtrage du sang. Il va s’installer dans les lobules qui permettent le bon fonctionnement du foie ; Il pourra survivre et se reproduire dans ces cellules et donc se propager. Les cellules immunitaires vont faire leur entrer est essayer de le combattre mais pour cela elles devront détruire ces cellules qui hébergent l’hépatite. Dans 20 à 40 % des cas il va suffire de 6 mois aux cellules immunitaires pour vaincre la maladie mais si elle n’y arrive pas on parlera alors de la maladie chronique, c’est à ce moment là que les symptômes se développent. Donc la maladie va continuer de se propager dans les lobules et les cellules immunitaires vont continuer de les détruire, les lobules détruit vont se transformer en tissu cicatriciel, cette partie de la maladie s’appelle la fibrose. Quand la fibrose aura pris trop de place, cela va durcir le foie et comprimer les artères et les vaisseaux sanguins, c’est la cirrhose. La cirrhose quand à elle va évoluer en cancer et provoquer la mort du malade.

Fin 2013, le Sofosbuvir fait sont apparition, c’est un traitement révolutionnaire, sont coût de production est d’environ 100€ mais il est facturé 68 000 € aux États-Unis, 41 000 € en France (ce qui équivaut pour soigner tous les français à dépenser le budget annuel des hôpitaux de Paris) et 1600 € en Égypte (ce qui équivaut pour soigner tous les égyptiens à dépenser 5 fois le budget annuel de la santé). Ce qui fait de ce traitement un produit de luxe.

Pour détecter l’hépatite C il faut faire une prise de sang et un test sérologique afin de savoir si l’on a été en contact avec une personne malade. Si le test revient positif il est impératif de refaire un second test afin de savoir si le virus est actif, si il revient positif alors l’hépatite C est active. Le médecin va devoir établir la nature et l’étendue des dommages fait sur le foie. Avant le traitement pour soigner l’hépatite était à base de péginterféron, on devait l’injecter dans le sang 1 fois par semaine entre 6 à 12 mois. Ce traitement était assez mal toléré donc il devait y avoir un suivi rapproché du patient et il était peu efficace vu qu’il éradiquer la maladie à seulement 80 %. Aujourd’hui le traitement est plus simplifiés (plis facile à prendre et a moins d’effets secondaires) et il est aussi plus efficaces, éradique la maladie à 95 % en environ 3 mois.

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