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SCO3514 TN1

Étude de cas : SCO3514 TN1. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Juin 2015  •  Étude de cas  •  931 Mots (4 Pages)  •  788 Vues

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1. Les deux personnes que l’on peut lier à ce type de comportement dans le cas actuel sont Mme LaFraude et le contrôleur. Mme Lafraude a prit l’habitude du délit puisqu’elle ne se faisait jamais prendre et même pour des montants relativement élevés (200 transactions évaluées à 60 000$ donne une moyenne de 300$ pour chaque fraude).En diversifiant ses méthodes de fraudes, et ce, sans jamais se faire prendre, Mme Lafraude en a pris l’habitude.

En ce qui concerne le contrôleur, sachant que Mme LaFraude était une employée modèle qui bénéficiait de toute la confiance de ses supérieurs, il semble avoir cru qu’il n’était pas nécessaire de faire de réelles vérifications sur les rapports de la petite caisse. De plus, comme tout allait bien et que jamais personne ne lui a souligné un quelconque problème sur les remboursements de la petite caisse, il s’est laissé guider par le courant de la nonchalance.

2. Tout d’abord, Mme LaFraude était une employée modèle qui bénéficiait de la confiance de ses supérieurs. Elle connaissait très bien le fonctionnement de l’entreprise et s’acquittait de sa tâche de façon efficace depuis plus de 11 ans.  Ceci a pu faire en sorte que le contrôleur avait une confiance aveugle sur les actions de Mme LaFraude.

L’autre raison qui pu mené le contrôleur à ne pas suivre la procédure de contrôle écrite est que bien qu’il ne suivait pas la procédure, personne ne s’est plain d’un quelconque problème. Alors pour lui, tout était beau dans le travail de Mme LaFraude et il n’avait pas à vérifier ses demandes de renflouement de la petite caisse.

3. Il est évident que dans le cas actuel, la principale faiblesse dans l’exécution du contrôle est que le contrôleur ne révisait pas le contenu de l’enveloppe avant l’approbation du remboursement. Mme LaFraude pouvait donc effectuer des transactions de n’importe quel montant pour n’importe quelle raison.

Un palliatif à cette situation serait de restreindre le pouvoir d’achat de la petite caisse. Comme le fait le Conseil scolaire de district des Aurores Boréales.ca[1]. L’entreprise LaPetiteCaisse inc. devrait attribuer un montant fixe (ex. 200$) à la petite caisse de même qu’un montant maximal par transaction (comme le 50$ imposé par le Conseil), avec un établissement clair et précis des exceptions possibles pour une dépense plus élevée. De la sorte, la vérification de l’enveloppe serait une tâche beaucoup moins exhaustive pour le contrôleur et cela pourrait se faire qu’une fois par mois. Le pouvoir de la petite caisse ainsi restreint, cela pourra écarter temporairement les risques de vols et de fraudes.

 

4. a) Il est impossible d’éliminer complètement les risques de vols ou de fraudes à l’interne. Pour avoir travaillé en tant que membre de la direction dans deux grandes entreprises (Walmart Canada et Énergie Cardio), je suis convaincue que cela est impossible. J’ai vu des complots se faire entre employés afin de voler du matériel. J’ai vu un directeur manipuler les informations financières pour se remplir les poches. J’ai vu des employés donner allègrement de la marchandise à des clients-amis ou encore à se servir sans gêne dans le tiroir-caisse. C’est malheureux, mais la nature humaine fait en sorte qu’on ne peut se croire totalement à l’abri complet des vols ou des fraudes.

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