Origine, Dualité Et Convergence Des Modes De Management

objectif :

Le texte traite du concept de management depuis sa naissance jusqu’à aujourd’hui , en notant les différentes évolutions qu’il a subi suivant les théories avancées à ce sujet et la part qu’on pris les sciences humaines dans la définition d’un management de qualité.

Depuis l’antiquité , les grands penseurs ont tenté de donner une définition de la vérité de la logique et enfin de la façon de résoudre un problème méthodiquement donnant naissance aux sciences exactes et aux sciences experimentales . Cette dualité donnera naissance aux deux courants : management scientifique et relations humaines qui convergeront vers la fine du 20èmes siècle .

Le management est né en 1960 aux USA . le mot désigne l’action ou l’art de conduire et de gérer une entreprise. Son précurseur demeure Frederick Winslow Taylor qui travaille sur le décomposition des tâches de travail en gestes élémentaires à durée imposée. Ses quatre grands principes sont : le développement d’une science du travail permettant la satisfaction des objectifs en percevant des salires plus élevés . La sélection scinetifique et le perfectionnement des ouvries . faire connaître la science du travail au ouvries et finalement instaurer la division égale de travail et de la responsabilité entre les ouvries et la direction. Cette organisation repose sur une séparation nette entre la conception et l’exécution. Dans ce contexte de révolution industrielle , Henry FORD a systématisé cette méthode organisationnelle qui convenait d’après lui à cette main d’œuvre attirée par l’industrie et sans expérience. Cependant les aspects psychologiques sont traités sommairement par le taylorisme qui ne gardait comme facteur de motivation la rémunération . Fayol considéré comme l’un des precurseurs du management a bâti une doctrine cohérente et globale de direction. Administrer selon lui c’était prévoir, organiser, commander, coordonner, et contrôler. Il pense qu’un dirigeant n’obtient les meilleures performances de sa main d’œuvre que par sa qualité de leader , sa connaissance des affaires de son personnel et par sa capacité à communiquer un sens à ses mission . Cependant cette organisation demeure mécaniste selon les travaux des sociologues qui fournissent un éclairage nouveau dans la gestion de leur organisation.

Max Weber vers la fin du 19ème siècle expose le parallèle entre les obligations morales de la religion et la recherche de profit par la capitalisme et le matérialisme moderne. Weber distingue trois sortes d’autorité légitimes. Elle peut être rationnelle , traditionnelle, ou charismatique. Son approche définit une entreprise comme un ensemble de relations interpersonnelles dans lesquelles la notion de groupe apparaît cruciale. Son travail influence Elton Mayo professeur de psychologie à Harvard démontrent que le climat dans l’entreprise influence la productivité .L’entreprise devient un ensemble de relations interpersonnelles dans lequel la notion de groupe apparaît cruciale. Il a aussi identifié les fondements non économiques de la satisfaction du travail et de les avoir relié plus à l’intérêt de performances qu’à une motivation due à la perspective de récompenses pécuniares. Dès lors pour organiser une entreprise il convient donc de tenir en compte les éléments de motivation ,concevoir une structure d’autorité différente donnant plus de responsabilité au travailleurs . Mayo retinet aussi qu’à l’intérieur d’organisations formelles il en existe d’autres informelles qui pourraient améliorer leur productivité.

Le management moderne d’une entreprise impose transparence et équité au sein de rapports de travail souples.

C’est un management de la confiance où le personnel peut se surpasser dès qu’il sent sa participation au destin

collectif. Le leadership reste ce qui définira ce nouveau management qui est la manière d’exercer le pouvoir en

mobilisant les énérgies des salariés engagés dans un projet commun . Le leadership devient un enseignement défini

selon Archier et Seriyx basé sur la vision commune , la confiance ,et l’adhésion du personnel. Ce même leadership

diverge entre trois types selon Lewin et White : autoritaire, démocratique , laissez-faire. Bales , quant à lui ressort

une fonction socio-émotionnelle définissant deux attitudes : informelle posant sur le climat et les bonnes inter-

relations et formelle qui est la fonction tâche . Mais en dehors de la motivation et de la qualité du leadership,

l’individu a des besoins et des aspirations conditionnés par le système philosohpico-religeux dans lequel chacun vit.

De là Herzberg propose un enrichissement des tâches prenant en compte les facteurs de motivationdans

l’organisation du travail. Ainsi on assiste à une conjoncture des concepts portantsur la motivation la

responsabilisation et l’autorité démocratique et décentralisée. Cependant ces organisations évoluent dans un milieu

sans prendre en compte l’environnement extérieur. Ludwig Bertalanffy formule la définition de la systémique qui est

une

...