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Coût Direct Ou Direct Costing

Note de Recherches : Coût Direct Ou Direct Costing. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  4 Septembre 2012  •  7 538 Mots (31 Pages)  •  988 Vues

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Le tableau de suivi d’activité dans les TPE

INTRODUCTION 2

I.Les TPE dans l’économie 2

II.Un précurseur. 4

III.Historique 6

PREMIERE PARTIE : L'A.B.C. du contrôle de gestion 9

I.Les objectifs. 12

II.Délai et coûts 14

III.Le plan. 21

IV.Le contrôle de gestion dans les sociétés éclatées ou à succursales 24

I.Introduction 30

II. Étape préliminaire 30

III.Chiffre d’affaires et charges 40

IV.Contrôle des écarts 49

TROISIÈME PARTIE Une démarche opérationnelle d’implantation 52

I.Présentation de Graines d’Affaires 55

II.Mise en application 60

TABLES DES ILLUSTRATIONS 71

I Graphes 72

II Schémas 72

III Tableaux 73

BIBLIOGRAPHIE 79

I.Ouvrages 79

II.Articles 79

III.Sites internet 79

ANNEXES 80

I.Tableaux des logigrammes 80

II.Autres 80

Ce mémoire a pour ambition de proposer des éléments d’analyse et d’action sur la mise en concordance de deux objectifs du contrôle de gestion. Ces deux objectifs sont :

La mesure des performances et

Le pilotage stratégique de l’entreprise (TPE).

De cette problématique nous avons extrait deux objectifs principaux :

Analyser les éléments constitutifs des tableaux de suivi d’activités et

Mettre en pratique au moyen d’un logiciel les résultats obtenus

Nous allons tout d’abord situer les TPE dans l’ensemble de l’économie, évoquer les travaux d’un précurseur puis développer un rappel de l’origine et de l’évolution du contrôle de gestion, pour finir par la mise en application des remarques évoquées dans les parties précédentes.

INTRODUCTION

I.Les TPE dans l’économie

En dépit de leur importance dans l’économie nationale, les Très Petites Entreprises (TPE) représentent encore à bien des égards un archipel obscur et négligé, car peu connu et peu étudié par la plupart des dispositifs d’observation statistique. Nous allons définir les TPE et poursuivre par leurs caractéristiques.

A.Qu’appelle-t-on les Très Petites Entreprises1 ?

Au nombre de 1 254 857 aujourd’hui en France, les Très Petites Entreprises sont définies d’un point de vue strictement statistique comme des entreprises ou des établissements dont l’effectif est compris entre zéro2 et neuf salariés. Elles se sont généralement édifiées autour d’une personne qui concentre sur elle seule un métier ou un savoir-faire et toute une pluralité de fonctions.

Si 50% d’entre elles sont des entreprises individuelles, les TPE emploient 3 813 737 salariés, soit 24,5% de l’ensemble de l’emploi comptabilisé par l’UNEDIC (hors secteur public), contre 48% en Italie et 17% en Allemagne. De 1990 à 2000, l’effectif salarié des TPE a augmenté de 14%, alors qu’il n’a progressé que de 9% dans les PME, et de seulement 4% dans les grandes entreprises de plus de 500 personnes.

B.Les TPE : une multiplicité de configurations productives

Ce sont d’une part les caractéristiques et les dynamiques sectorielles qui expliquent une grande partie du comportement des TPE. Ainsi par exemple, si on assiste depuis plusieurs années à un déclin progressif des petits commerces de détail indépendants ou des petites sociétés de BTP, les TPE d’ingénierie, d’études et de conseil connaissent un essor certain. Suivant le secteur, l’environnement technologique, social ou législatif pèse plus ou moins sur les transformations de l’activité : tandis que le petit épicier de proximité pratique son métier sans grand changement, l’assembleur informatique ou le réparateur automobile doivent consentir de gros investissements matériels et de formation pour suivre les évolutions et affronter des changements intra-sectoriels.

D’autre part, les formes d’accès à la profession ne doivent pas non plus être négligées. Elles opposent par exemple les marchés fermés, comme l’expertise comptable, à d’autre type d’activités pour lesquels le droit d’entrée est relativement peu élevé, comme certaines formes banalisées de restauration ou le toilettage canin dont la profession n’est pas encore organisée.

II.Un précurseur.

« Contrôler la gestion de l’entreprise, c’est maîtriser sa conduite en s’efforçant de prévoir les événements pour s’y préparer avec son équipe et s’adapter à une situation évolutive »3

Henry FAYOL4, ingénieur à l’école des mines de Saint Etienne, constate que comparativement à la technologie, la gestion, la comptabilité et la gestion administrative n’ont pas connu de progrès significatifs, que ces matières ne sont pas enseignées dans les écoles d’ingénieurs, alors qu’il estime que l’apprentissage scolaire de l’administration est une nécessité. Il estime que cette carence tient à l’insuffisante formalisation du sujet et c’est ce qui va le conduire à entreprendre ses travaux dans le domaine administratif.

FAYOL commencera par recenser les principales fonctions dans l’entreprise, qu’il regroupera en six catégories :

La fonction Technique de Production et de transformation ;

La fonction Commerciale qui comprend l’achat, la vente et l’échange ;

La fonction Financière de recherche et de gestion de capitaux ;

...

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