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Cours: les Économistes libéraux

Analyse sectorielle : Cours: les Économistes libéraux. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Octobre 2014  •  Analyse sectorielle  •  2 479 Mots (10 Pages)  •  590 Vues

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Chapitre 1 : les économistes libéraux

Cranston : définie un libéral : c’est fondamentalement qqun qui croit en la liberté.

Locke, Rousseau.

Aujourd’hui on présente le libéralisme comme une idéologie, un ensemble d’idée, de pensée qui peuvent être philosophique, sociale, politique, morale, religieuse. Ces idées sont propres à un groupe, à une classe sociale ou à une époque. C’est un système d’idées, d’opinions, de croyances qui vont former une doctrine. Ces doctrines vont influencer les comportements individuels et collectifs. Le libéralisme économique repose sur deux principes fondateurs :

Il existe un ordre naturel qu’il ne faut donc pas perturber donc pas que l’état intervienne

On suppose la parfaite coordination des comportements individuels qui vont s’agréger de manière efficace, de manière harmonieuse « main invisible ».

I) Les physiocrates

Quesnay « Le tableau économique », l’économie est divisée en trois classes : la classe productive (à l’époque classe des agriculteurs) pour lui la création de richesse vient de l’agriculture. Cette classe est à l’origine de la production annuel global. Ensuite classe des proprios ce sont des aristocrates, le souverain, le clergé. Ils pouvaient s’accaparer une partie de la production annuelle global nette. La classe productive payaient une rentre aux proprios pour utiliser les terrains agricoles. La troisième classe est la classe stérile : tous les autres. Présentait sous forme de manière mathématique pour monter comment le revenu annuel global va être distribué, il décrit la répartition de cette richesse quand une liberté parfaite est assurée, est hostile à l’intervention de l’état.

II) Les classiques

La révolution industrielle commence en Grande Bretagne, les premiers économistes classiques sont tous quasiment des Anglais, changement très rapide de l’industrie qui en retour provoque des changements de l’agriculture, économie et société dans son ensemble. Mécanisation de l’agriculture. Facteur : machine à vapeur, l’imprimerie et question des transports : bateau à vapeur, urbanisation, taylorisme, question de la standardisation des produits. Toutes ces évolutions ont menés à la révolution.

A) Adam Smith

Considéré comme l’un des pères du libéralisme, père du laisser-faire. L’état doit continuer à exister mais seulement dans ces fonctions régaliennes. « La richesse des nations » 1776, le lire. Exemple manufacture d’épingles+ main invisible de Smith. « La théorie des sentiments moraux » l’auteur y a développé une réflexion sur les sentiments humains, même si on vas poursuivre notre intérêt propre chacun inspire au bonheur du plus grand monde, nuance l’idée que Smith serait un ULTRA libéraliste.

B) David Ricardo (1772-1823)

Analyse du capitalisme récent. « Le prince des économistes » raisonnement hypothético-déductif, on commence par des grandes hypothèses et on en déduit un certain nombre de propositions logiques, cette méthode sera bien reprise par les néo- classique. Ricardo parle de l’état stationnaire c’est un état vers lequel l’économie tend, cet état. Mais c’est une sorte de limite donc pessimiste mais afin de repousser l’état stationnaire il nous offre des solutions. Ricardo aimait bien le débat public, des problèmes concret se posaient à l’époque en Angleterre Ricardo s’intéressait à ces pb concrets et c’est beaucoup intéresser au commerce international et la répartition. Pour Ricardo la question centrale de l’économie politique est la question de la détermination de la valeur. Il part du prix d’une marchandise et ce prix de vente va correspondre à un revenus entre qui se répartis les revenus ? Voici la question éco. Ricardo reconnait l’existence de classe sociale, va essayer d’établir les relations qu’il existe entre les différentes classes sociales dans le processus de production. A chaque classe sociale correspond un type de revenus (rente, profit et salaire). Ricardo cherche à déterminé des pp qui disent comment se forme les profits mais aussi comment est-ce que l’économie capitaliste va croître. Théorie des avantages comparatifs, même si un produit plus chers qu’un autre la conséquence ne vas pas être que celui qui produit le moins chers vas tout produire mais chaque pays va se spécialiser dans l’industrie où il dispose d’un avantages comparatifs. Il se spécialise dans la production où il a le plus faible désavantages. Donc il n’est pas nécessaire dans l’absolue d’être plus compétitif qu’un pays pour produire un produit

c) Jean Baptiste Say

Il est connu pour sa loi des débouchés, « l’offre crée sa propre demande », quand il parle de crise ce sont des crises de sous production ou sur production. Pour lui les crises étaient possibles, les crises de surproduction étaient nécessairement localisées dans des domaines particuliers donc temporaires. PK ces crises se produisent ? Car il y a une mauvaise utilisation du capital. Say refuse l’idée qu’il peut avoir une crise de surproduction généraliser car cela reviendrait à dire que tous les secteurs produisent trop en même temps pour lui il part du revenus d’un pays qui est égal au montant d’argent disponible pour acheter des biens et des service or pour Say ce revenus est nécessairement égal à celui qui résulte de la vente de ces produits, donc la somme total des achats cad la demande global est nécessairement égal à l’offre global : la totalité des ventes. Pour lui l’état ne doit pas intervenir et fausser le jeu de la concurrence. Mais une hypothèse déclare que ce que dit l’auteur est valable que si la monnaie ou son rôle se limite à faciliter les échanges, donc que la monnaie n’est jamais désirée pour elle-même. La monnaie est donc neutre, sa loi des débouchés est donc vrai si et seulement si la monnaie est neutre. L’auteur peut être considéré comme un libéral car pour lui il faut favoriser l’offre, donc les entreprises et pas les salaires. Moins d’obstacle possible à la production donc que l’état intervienne le moins possible.

d) Stuart Mill

19 EME «  les principes d’économie politiques » 1848 ? C’est un économiste libéral mais avec une conscience sociale très affirmée, il prônait le laisser-faire mais accepte l’idée que l’état doivent intervenir dans le domaine sociale (l’aide au plus pauvre, liberté des femmes…), aujourd’hui il

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