Développement personnel

Développement personnel

Pour commencer, nous avons décortiqué l’étude de notre environnement de manière global.

Tout d’abord, nous avons parlé de l’étude de l’habitat en analysant la nature de notre environnement, nos différents besoins quotidiens.

Dans cette étude, nous avons vu quel était notre besoin d’appartenance à un groupe et les interactions nécessaires à avoir au sien d’un groupe.

Suite à cette analyse, cela nous a permis de mettre le doigt sur notre zone de confort et zone de connaissance respective.

La zone de confort permet d’assurer une certaine sérénité et de bien-être.  Cette notion exclu le stress. `

Pour la zone de connaissance permet d’appliquer facilement nos acquis. Cependant, il peut être compliquer d’appréhender l’inconnu si l’on se repose uniquement dans cette zone.

Ensuite, nous avons parlé de l’écologie. L’étymologie de ce terme est l’étude de l’habitat.

Cette notion permet de mettre le doigt sur la nature de notre environnement, nos besoins.

Elle sert également à déterminer notre besoin d’appartenance à un groupe ainsi que les interactions que l’on doit adopter en groupe.

Suite aux deux notions de zones de confort et de connaissance, nous avons mis en évidence les problèmes liés.

La plasticité neuronale peut nous permettre de combattre ces problèmes liés.

En « offrant » de nouvelles expériences à notre cerveau, cela nous permet de mieux appréhender les moments passés en dehors de notre zone de confort.

Il est de même pour notre zone de connaissance.

L’entrainement de notre cerveau à vivre de nouvelles expériences, nous permet d’habituer notre cerveau à l’inconnu. A terme, cela nous permettra de diminuer le stress et appréhension liés aux potentiels problèmes rencontrés.

Malgré l’entrainement que l’on peut faire pour notre cerveau, le corps joue également un rôle à notre bien-être.

L’activité physique permet d’oxygéner le corps et de sécréter des hormones de « bien-être ».

Le repos est un élément important pour la récupération physique, psychologique (système nerveux).

Enfin, la socialisation qui permet de travailler notre capacité à communiquer avec d’autres individus, de défendre ou comprendre des idées.  

Afin d’étendre sa zone de confort ou de réduire la zone d’inconnu, nous avons parlé de la zone d’exploration.

Cette zone d’exploration consiste à répéter des situations afin de faire face aux différents imprévus que l’on peut rencontrer.

Toutefois, si nous n’arrivons pas à générer ces automatismes, il sera nécessaire de gérer ses émotions pour pouvoir s’adapter à toute épreuve.

Dans un second temps, nous avons déterminé nos préférences pour la pensée cortical à travers des diagrammes.

Pour ma part, mes préférences étaient en majeure partie la A et B et la D en partie mineure.

J’ai pu me reconnaître dans le coté efficace, patient et le sens que doit avoir la tâche que j’exécute.  La contrepartie étant le fait d’être débordé, moins exigeant, de parler peu.

Ces préférences font références au présent, passé les parties majeures et au futur en partie mineure.

Enfin, nous avons parlé du stress de manière générale. Et plus précisément, la manière dont on peut le combattre au quotidien. Une action quotidienne répétée telle que prendre une douche froide, nous permet d’apprendre à contrôler l’émotion du stress. Cette maîtrise permettra de mieux l’appréhender dans d’autres situations futures.

De plus, nous avons parlé du voyage du héros qui permet de trouver en soi d'autres manières de réagir et de chasser sa peur.

Le premier point qui m’a particulièrement interpelé est la zone de confort et le stress. Je pratique depuis plusieurs années la musculation à raison de cinq fois par semaine. J’ai pour objectif de me dépasser, voir me surpasser, à chaque séance que je fais. Cette objectif que j’essaye de tenir me permet de générer de la peur, du stress face à une nouvelle difficulté.

De plus, cette volonté de se surpassé me plonge dans l’inconnu : une nouvelle charge (kg) de travail, un exercice nouveau, une nouvelle intensité…

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