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Minicas - L’heure du lunch

Étude de cas : Minicas - L’heure du lunch. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  21 Avril 2021  •  Étude de cas  •  589 Mots (3 Pages)  •  393 Vues

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Université du Québec à Rimouski 
Campus de Rimouski

Mini-cas – 10%
L’heure du lunch

Dans le cadre du cours : 
Aspects humains des organisations  (GRH-11014 - 05)

Remis à : 
Mme. Marie-Josée Santerre

Fait par :

Léa Belisle 

 


 

Date de remise :

Mardi 1er février 2021


Questions :

  1. Que peut-on conclure de cette conversation quant aux attitudes au travail de Joannie et d’Andréanne?

On comprend clairement que Joannie ne se sent pas bien dans son poste pour l’entreprise. Elle a l’impression d’avoir aucune importance au sein de l’entreprise. Elle pense même retourner à son poste d’avant si cela ne change pas. Alors qu’Andréanne elle se sent super bien dans son poste et qu’elle aime énormément la liberté qu’elle a pour effectuer ses tâches. Elle dit même qu’elle est exactement où elle veut être et qu’elle ne travaillerait pas pour aucune autres entreprises. Elle aime énormément le travail qu’elle fait.

  1. Qu’est-ce que leur échange nous apprend au sujet de leur satisfaction au travail, de leur engagement organisationnel ou de leur engagement au travail? Argumentez vos positions en relevant directement dans leur propos ce qui vous permet de statuer sur leurs attitudes au travail.

Pour Joannie, elle n’est aucunement satisfaite au travail. C’est en grande partie à cause du manque de commentaire de son patron. Elle ne sait pas si ce qu’elle fait est bon ou non, ou même si c’est utile pour l’entreprise. Par exemple, elle dit «Tu sais depuis ma mutation il y a deux ans, je n’ai jamais eu de commentaires de mon nouveau patron. Je ne sais pas si ce que je fais est correct ou pas.» (p.122 du manuel Aspects humains des organisations)  C’est complètement différent pour Andréanne, puisque celle-ci est pleinement satisfaite au travail. Contrairement à Joannie, elle a besoin de liberté pour réaliser ses tâches. Par exemple, elle dit «Je réalise que le niveau de liberté que j’ai dans l’exécution de mes tâches me donne une grande énergie,(…)» (p.123 du manuel Aspects humains des organisations) Pour Joannie, elle a un engagement organisationnel de type engagement de continuité, puisque qu’elle reste à son poste simplement pour ses avantages et  privilèges. Par exemple : elle dit «Ce qui me retient à ce poste, ce sont les avantages sociaux, car sinon je retournerais à mon ancien poste qui me plaisait davantage.» (p.123 du manuel Aspects humains des organisations) Pour ce qui est d’Andréanne, elle a un engagement organisationnel de type engagement normatif, puisque qu’elle est reconnaissante de travailler pour cette entreprise. Par exemple : elle dit «C’est très bon pour mon plan de carrière et je ne voudrais pas travailler pour une autres entreprise que celle-ci.» (p.123 du manuel Aspects humains des organisations) Pour ce qui est de l’engagement au travail, Joannie n’a plus de vigueur, de dévouement et d’absorption envers les tâches qu’elle doit réaliser. Par exemple : elle dit «(…), chaque journée me semble interminable! Actuellement, je ne sais même pas si ce que je fais porte fruit.» (p.123 du manuel Aspects humains des organisations) Alors que l’engagement au travail d’Andréanne est complètement différent. Elle se donne avec vigueur et dévouement pour réaliser ses tâches. Par exemple : elle dit «Mes semaines de travail passent à la vitesse de la lumière, je suis vraiment passionnée par ce que je fais!» (p.123 du manuel Aspects humains des organisations)

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