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DEMARCHE DE SOIN IDE

Dissertation : DEMARCHE DE SOIN IDE. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Février 2023  •  Dissertation  •  765 Mots (4 Pages)  •  242 Vues

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Monsieur B. Loïc née le 14/12/1987 (34 ans) chambre 18, célibataire, vie chez sa mère à Migennes et à 2 sœur. Il était poseur de fenêtre mais ne travaille plus depuis 2 ans, n’a pas de permis.

 

Il mesure 1m83 pour 80 kg IMC à 23.9 de corpulence normale. Sa personne de confiance est sa mère. Il est sous le régime de la sécurité sociale et possède la CMU. Son médecin traitant est le DR. A à Migennes. Il fume la cigarette électronique.

Il est allergique aux poussières et aux poils d’animaux (chats, chiens, chevaux)

Monsieur B présente une addiction à l’alcool, il consulte son médecin traitant pour le sevrage de son traitement Subutex (diminution des doses) et lui demande de l’aide pour le sevrage de l’alcool. Au vu de son AEG, il lui demande de consulter les urgences pour une prise en charge complète. Il a déjà été hospit en 2017 pour le même motif et n’a pas consommé pendant 5 ans.

Le 6 octobre il est arrivé aux urgences de Joigny accompagné de sa mère, adressé par son médecin traitant pour une prise en charge d’urgence devant un AEG avec une reprise addictive à l’alcool 5-6 bières /j et 1 bouteille de whisky / J. Patient demandeur de sevrage il explique que la consommation à repris il y a environ 3 mois à la suite de conflits familiaux avec ses sœurs. Depuis 1 semaine il est demandeur de sevrage, il est passé plusieurs fois aux urgences pour le même motif mais sous l’emprise de l’alcool à chaque fois.

Aux urgences, patient calme et orienté, il présente des tremblements des extrémités, il a une prise de sang NFS, plaquettes, lipidique, hépatique… qui est normal avec juste une alcoolémie à 0.49 g/L et des constantes normales TA 138/95 FC 99 T° 36.8 et une SAT 96%.

Il est vu par la liaison d’urgence psychiatrique et il le transfert au centre hospitalier psychiatrique d’Auxerre le soir même.

 

Ses antécédents :

  • HTA sous Nébivolol
  • Ancien consommateur d’héroïne sous buprénorphine (Subutex)
  • Ancien consommateur d’alcool sous Diazépam et Deroxat
  • Asthme sous Symbicort et Ventoline
  • Opéré du rein dt

A son arrivée l’IDE l’installe dans sa chambre, fait son entrée lui prend les constantes TA                  FC                T°             SAT                puis l’accompagne en entretien avec le psychiatre de garde.

Le lendemain il va en entretien avec le psychiatre qui va le suivre durant son hospitalisation. Patient calme mais tremble beaucoup et dit « je ressent le manque d’alcool ». Puis durant l’entretien le patient explique qu’il est demandeur du sevrage pour pouvoir retrouver une vie « normal car il consomme dès son levé le matin », passer son permis pour pouvoir retrouver du travail. Il explique qu’il est sevré de l’héroïne depuis maintenant 8 ans et qu’il sait qu’il peut y arrivée. Le psychiatre lui explique alors le déroulement de l’hospitalisation avec une introduction de vitamines B1 et B6 et une majoration du diazépam de 5 mg à 10 mg pour diminuer le manque. Il lui demande aussi son consentement pour une hospitalisation dans le service d’addictologie à l’étage du dessous pour continuer le sevrage de l’alcool et du Subutex ce que le patient accepte. Le médecin lui prescrit des toxique urinaire à faire dans l’après-midi.

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