LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Pathologie

TD : Pathologie. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  17 Avril 2019  •  TD  •  459 Mots (2 Pages)  •  425 Vues

Page 1 sur 2

Théorisations

• Modèles cognitifs : les schémas cognitifs (ex : Beck, Young) :

• « Structure cognitives stables, stockées en MLT, et fonctionnement automatiquement. Acquis au cours d’expérience précoces par interaction entre les structures neuronales et l’expérience, ils peuvent être activés par des émotions qui sont analogues à celles du moments où ils ont été imprimés. Ils peuvent donc être à l’origine de scénario de vie, du fait de leur action sur les comportements » (Cottraux et Blackburn, 2001, 16)

• Schémas :

• Vérités essentielles, absolues et suffisantes pour le sujet construites par les expériences

précoces et/ou habituelles pour le sujet.

• Difficilesàmodifiercarreprésententdesvéritésabsoluessursoi-mêmeetlemonde. Toute remise en cause des schémas entraîne une remise en cause de soi pour le sujet.

Repérer / identifier / qualifier les principaux éléments permettant d’inférer une symptomatologie dépressive dans la vignette clinique ci-dessus.

C'est une maladie invisible et sournoise qui fait que tout acte mineur de la vie quotidienne devient une montagne insurmontable. Le lit devient alors le cocon de mes blessures intérieures que je ne souhaite plus expliquer car personne ne les comprend. On dit que je suis fainéante alors que je suis malade. C'est terrible la différence entre ce que je perçois de moi et le regard incrédule et désabusé de mes proches qui ne cherchent même plus à comprendre parce que ça les agace et ça les énerve. Ils ignorent qu'à l'intérieur, je me sens vide de tout et que l'apathie que je ressens et que les autres perçoivent comme de l'indifférence et du rejet est en fait une impossibilité de réagir car ma dépression prend toute la place. Cette impression d'impuissance, de vide, de ne servir à rien, d'être là tout en étant ailleurs, de se voir sombrer chaque jour un peu plus sans pouvoir rien y faire, de ne plus réagir car la perception des choses est différente chez les personnes dépressives, d'assister impuissante à la vie qui continue à côté de moi alors que la mienne est au ralenti, identique à hier, avant-hier et probablement à demain... Cette altération des sentiments que beaucoup interprètent comme de l'indifférence, cette difficulté à faire le moindre projet même infime, cette absence d'envie, cette habitude du désespoir et cette volonté que tout s'arrête parce que je ne vis plus, c'est ça ma dépression au quotidien. Quotidien qui a perdu tout repère, je dors toute la journée et pas la nuit, parfois c'est l'inverse. J'ai peur de sortir et d'affronter le regard des gens parce que j'ai le sentiment que c'est écrit sur mon front et que l'on va me cataloguer.

Qui des hommes ou des femmes seraient davantage prédisposés à développer des troubles anxieux ?

Épidémiologie des troubles anxieux

D’après Starcevic & Castle, 2016

Qu’est ce que la triade cognitive du dépressif pour Beck ?

...

Télécharger au format  txt (2.9 Kb)   pdf (31.8 Kb)   docx (7.9 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com