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Cours sur la psychiatrie

Chronologie : Cours sur la psychiatrie. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  14 Janvier 2014  •  Chronologie  •  940 Mots (4 Pages)  •  705 Vues

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Cours sur la psychiatrie :

Quelques dates :

1838  première lois d’internement, conditions mises en place => Esquirol. Cette loi va formaliser la façon d’interner la personne (il est nécessaire d’avoir un certificat médical pour être interné)

1922 apparition des dispensaires d’Hygiène mentale qui vont être officialisées beaucoup plus tard en même temps que nait la profession d’infirmière psychiatrique.

1937 hôpital psychiatrique

1960 « ouvertures vers l’extrême »

1970 centres hôpital spécialités

1986CMP

1790 débuts de la compréhension de la folie psychiatrique. Ph. Pinel va commencer à réfléchir sur la folie comme appartenant au champ médical, champ thérapeutique => il va essayer de mettre en place des thérapeutiques pour essayer de guérir les malades mentaux appelés les fous. Ils sont dits « usagers » et non « patients ». Traitement qui a 2 volets :

Volet physique : bains froids, chauds, saignées

Volet moral : il s’occupait de l’esprit dérangé de ces personnes

Pinel va développer un savoir qui s’appuyé sur la méthodologie des sciences naturelles (à l’époque, le modèle était la botanique) qui sont formés sur 3 axes fondamentaux (observation, description et classification : mettre des noms sur la maladie) => Pinel va développer nosographie. La folie à l’époque n’est pas quelque chose qui prend la personne dans sa totalité. Le fou garde une partie de sa raison avec laquelle on va pouvoir travailler.

Le fou était gardé dans un cachot, il y vivait nu dans de la paille.

L’élément fondamental pour les traitements de la folie pour Pinel était l’asile. C’est le mot clés de l’époque. Et c’était la meilleure des thérapeutiques.

Une des taches de Pinel était de distinguer des vrais fous des faux qui s’y cachaient, qui faisaient semblant d’être malade. Il fallait alors développer une méthodologie avec des outils, des savoirs pour pouvoir faire la différence.

A ce moment-là, l’asile apparait comme un outil privilégié, positif car à partir d’une organisation spatiale et temporelle on peut aboutir à la réorganisation de l’esprit dérangé du malade. C’était un outil fondamental pour guérir le malade. On procédait souvent à l’isolement du malade (plu de notion temporelles, de repères dans les chambres d’isolement => chambre blanche, ils sont attachés, sans horloge,…).

L’hospitalisation peut être importante pour le malade pour le retirer des bombardements de l’extérieur.

1838 il y a des modalités d’hospitalisation. Cette loi va donner le cadre juridique de l’hospitalisation.

1922 On ne parle plus du terme de folie mais « d’hygiène mental ». Ce terme s’adapte plus à la population.

1938 les asiles deviennent des hôpitaux psychiatriques. Car le savoir psychiatrique se développe, on commence à avoir un statut en médecine. Mais se développe aussi : tous ce qui est du domaine de la technique médicale (comme : l’électrochoc, la chirurgie cérébrale et la pharmacologie) et le développement de la psychanalyse, et l’exploration de la cause de la maladie mentale vers le champ

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