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Psychologie clinique

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Par   •  21 Février 2024  •  Fiche  •  1 255 Mots (6 Pages)  •  42 Vues

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Psychologie Clinique

TD°1

Préparer la vignette clinique

  • Qui est le patient/ le système en consultation
  • Quelles informations sur le(s) patient(s)
  • Que comprenez-vous de ce cas clinque ?
  • Qu’éveille ce cas clinique en vous ? quels liens avec des concepts cliniques ?
  • Comment comprenez-vous de la problématique ?

  1. Un accompagnement collaboratif, application mutuelle du patient et du thérapeute. On utilise des méthodes pour atteindre un objectif.
  2. Unicité : alliance thérapeutique pour aller mieux mentalement. Personnaliser le traitement = Singularité du patient. Pratiquer par quelqu’un de formé.

Diversité : existence de différentes techniques, outils, méthodes, conceptions, modalités, entretiens, objectifs, cadres

  1. Avoir besoin d’une théorie pour comprendre qu’on le veuille ou non, on ne peut pas être sans savoir, mais ne pas se baser totalement sur cela. Savoir jongler entre les deux.
  2. Thérapie hypnotiques (oui) / thérapie corporelle et émotionnelle (non)/ Thérapie comportementaliste et cognitive (non) / thérapie de la communication (non)/ psychanalyse (oui)
  3. Aucune hiérarchie des thérapies, s’autoriser de s’expliquer les choses par le biais de plusieurs théories, ne pas gommer toutes leurs spécificités.

Synthétisation – Métaphore « L’invitation au voyage »

  • Destination = objectif du patient
  • La présence de rôle -> guide = le thérapeute/ voyageur = le patient
  • Plusieurs routes possibles pour le voyage comme pour les psychothérapies.
  • Avoir des balises mais accepter l’inconnu
  • Processus + destination importante

(Exemple de la randonnée)

 

Notion de déterminisme psychisme

Expliquez le passage suivant : « Ces idées spontanées que le malade repousse comme insignifiantes, s’il se trouve sous l’influence de la résistance au lieu de céder au médecin, représentent en quelque sorte, pour le psychanalyste, le minerai dont il extraira le métal précieux par de simples techniques d’interprétation. »

Expliquez la phrase suivante : « L’interprétation des rêves est, en réalité, la voie royale de la connaissance de l’inconscient »

En 5 lignes max explication de l’approche psychanalytique  

TD°2

La psychanalyse se base sur : l’inconscient du patient/Co-construction, collaboration

En tant que psy je n’ai pas de réponse, mais je peux vous aider à trouver des réponses grâce à ce que vous me dites.

Il y a en nous, une instance, le surmoi, qui refoule nos pulsions.

On va poser un cadre particulier, certaines règles, il ne faut pas se censurer.

L’homme a tendance à se censurer pour éviter les dégâts, de blesser les autres, pour se protéger etc.

On va parler au psy des choses qu’on censure, telle que nos pulsions, la vie sexuelle, notre histoire, la violence, notre vie émotionnelle, nos problèmes, nos faiblesses, nos échecs, nos attentes, nos relations sociales, la légalité

On va se censurer sur le contenue et la forme ce que le psy permet d’éviter -> permettre la spontanéité, la liberté.

Interpréter, donner du sens est indispensable pour comprendre. Pour cela le patient doit réfléchir sur ce qui l’anime.

Le rêve joue un rôle important dans la psychanalyse. Le rêve est une voie plus facile vers l’inconscient car nos résistances sont amoindries.

Matériel facilement interprétable, de plus on ne contrôle pas le rêve, on en parle comme si c’était quelque chose d’extérieur à nous. Les rêves permettent de parler d’eux indirectement.

Un rêve c’est une façon de sublimer nos désirs.

Un rêve c’est bizarre, flou, irrationnel, surprenant, symbolique.

Deux règles importantes :

  • Le rêve ne se comprend pas en en dehors du patient
  • Le principe de déplacement : ce qui es très manifeste nous informe pas trop sur le latent, ce qui est peu manifeste nous informe beaucoup sur le latent.
  • Le principe de condensation : dans un rêve les choses s’assemblent, ce qui nous importe dans le rêve c’est autant l’objet, le contexte, la personne que ça renvoie.  Le tout et les parties sont mélangés dans un rêve

On regarde si des choses se répètent, pour cela, on demande aux patients de décrire leurs rêves.

Nous avons une certaine emprise sur nos rêves, mais pas toujours.

Une personne qui hallucine c’est comme une personne qui rêve à ciel ouvert.

Le lapsus est un moyen pour l’inconscient de se libérer.

L’acte manqué est une situation dans laquelle l’individu doit faire une action mais ne l’arrive pas à la réaliser.

L’individu n’est pas maître dans sa maison, il existe des instances psychiques qui nous gouverne.

Ce qui dérange à l’être humain dans le déterminisme c’est de penser que notre liberté n’est pas totale, c’est frustrant, angoissant. Par exemple, c’est angoissant de voir les choses qu’on aime bien mais de ne pas savoir pourquoi. C’est une vision assez négative de l’être humain.

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