Cours de psychologie

igme scientifique (tenter de mettre en évidence des mécanismes, des processus, atteindre du général au delà de la singularité individuelle mais à partir de ces singularités)

-le sujet va être considéré dans sa singularité et sa globalité (dans ses diff identités)

-approches qualitative plutôt que dans des approches quantitatives

A partir des études de cas, tirer des généralités

2-la reconnaissance des liens entre le travail et la subjectivité: le travail n’a pas seulement une valeur instrumentale, a un fonction psycho, participe à la construction de la personne, on s’engage dans l'activité qu'on réalise

Christophe dejours: ‘travailler s’est pas seulement produire, c'est de se transformer soi même’

Le travail n'est ni positif ni négatif sur la santé; ressource et/ou un obstacle à la santé psychique

3-l’intérêt porté à la construction du sens et au rôle actif du sujet

Sujet actif dans son rapport au travail; il construit activement les significations qu'il donne à ses exp de travail et à la construction de sa santé; ce rôle actif du sujet il est à prendre en compte dans la conception des interventions au terrain

4-prendre en compte la dimension du collectif

Deux paradigmes principaux :

Paradigme causaliste : cherche les causes des problèmes de santé liés au travail.

Paradigme clinique :

Approche qualitative.

Étude du sujet dans sa singularité.

Utilisation de récits de vie, études de cas, etc.

Les 3 approches cliniques:

Clinique de l’activité :

Psychodynamique du travail :

Psychologie sociale clinique (ou psychosociologie clinique) :

Clinique de l’Activité (Yves Clot)

Concepts clés

Qualité empêchée :

Souffrance due à l’impossibilité de réaliser un travail de qualité.

La clinique avance une hypothèse, une explication, pour expliquer les problématique actuelles de santé psychique au travail: aujourd'hui y a des coins de problèmes psychiques puisque y a une qualité de travail empêchée.-> C’est le sentiment de ne pas pouvoir faire du bon travail, un travail qui est infini a faire et pour les chercheurs c'est un facteur central de souffrance au travail. Bcp d'interventions au sein du CNAM, chercheurs et psycho et ergonomes, les discours des personnes sont les mêmes, qu’on soit à l'hôpital, service public, y a toujours ce sentiment de ne pas pouvoir faire le boulot correctement.

Les conflits sur les criteres de qualite du travail

Cette impression de ne pas pouvoir faire le travail émerge à la suite des conflits sur les critères de qualité du travail. Décalage entre norme prescrite et le travail

Ce qui pose problème c'est que les conflits sont de plus en plus évacués (ne parlent pas de ces conflits) par les organisations alors qu’ils se multiplient.

Ces conflits ne sont pas pathogènes, mais ils le deviennent car ne sont plus débattu entre les partenaires sociaux et les salariés même au sein de l'équipe.

ANACT a beaucoup repris cette idée pour mettre en place des discussions et dispositifs sur ce sujet les options possibles, les enjeux.

Aujourd'hui y a nécessité d’instruire le débat, la controverse sur le travail

Il faut un travail sur le travail; mettre en place la dispute professionnelle (un philosophie)

Rôle du collectif :

Importance des discussions entre pairs pour réguler les activités et élaborer des normes professionnelles (« genre professionnel »).

"Disputer le métier" (Clot) permet de faire émerger des solutions et de renforcer le pouvoir d’agir.

Distinction travail réel/travail prescrit :

Travail prescrit = ce qui est attendu.

Travail réel = ce qui est effectivement accompli, incluant les dimensions invisibles et non réalisées.

SOIGNER LE TRAVAIL POUR DÉVELOPPER LE POUVOIR D’AGIR

Pour la clinique de l’activité, c’est lorsque les conflits (les décalages, les dissonances) rencontrés par chaque travailleur isolément ne sont pas régulés collectivement que l’on constate l’émergence des problèmes de souffrance au travail.

Reconnaissance du rôle fondamental du collectif pour faire face aux épreuves du travail.

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C’est au sein du collectif de professionnels que peut se réguler l’activité.

« Parler métier » entre professionnels permet de développer le « genre professionnel » (Clot, 2008, 2010), c’est-à-dire les normes de métiers, les manières de faire et d’être que les professionnels se sont données et qu’ils ont élaborées au cours du temps. Importance de la vitalité du débat sur le travail.

Reconnaissance des multiples facettes de l’activité de travail : le réel de l’activité dépasse l’activité réelle (ce que l’on fait)

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Le réel de l'activité dépasse l'activité réelle (quand on parle de l'activité, l'activité ne se limite pas à ce qui est fait. Clot dit qu'il faut prendre en considération la distinction entre le travail réel, l'activité, ce que je fais et on sait que

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