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Commentaire de texte, Montesquieu, De l'Esprit des Lois

Commentaire de texte : Commentaire de texte, Montesquieu, De l'Esprit des Lois. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  3 Mars 2019  •  Commentaire de texte  •  1 056 Mots (5 Pages)  •  885 Vues

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1. Comme … puissance législative : il revient sur l'idéal de JJ Rousseau qui est la souveraineté populaire (chacun détient une part de la souveraineté )

Mais...lui même : vu que ce n'est pas possible techniquement (66 millions de français ne peuvent exercer ensemble un même pouvoir) alors il faut des représentants. = démocratie représentative qui amène à la souveraineté nationale.

2. Dans le paragraphe entier il décrit de manière général comment l'exercice de la souveraineté nationale et de la démocratie représentative est censé s'appliquer.= mode d'emploi.

Alors, « l'on connaît...ses autres compatriotes » = en gros il admet que les locaux sont plus à même de savoir ce qui est bon pour eux et ce même pour des locaux plus éloignés (les voisins) mais il oppose au locaux, les nationaux (les compatriotes) qui eux en étant plus éloigné du peuple ne sauraient quand même pas bien quels sont les besoins précis.

« il ne faut pas que...se choisissent un représentant » : reprend l'idée d'avant c'est qu'il faut un représentant mais quand même un peu local.

3. Le problème du paragraphe tourne autour du fait que le peuple n'est pas à même de prendre des décisions seul : car le problème est le suivant, chaque individu va vouloir obtenir son avantage personnel et de ce fait les choses ne peuvent avancer car chacun veut un truc différents donc la démocratie qui donne du pouvoir à chacun va être amenée à partir en couille (anakyclosis= les régimes politiques partent en couille à chaque fois, démocratie devient une aristocratie car une minorité prend le pouvoir, mais après ça devient une monarchie car un seul prend le pouvoir, mais le roi excède ces pouvoirs et devient un tyran du coup le peuple se soulève et on revient à une démocratie...

4. « il n'est pas...d’Allemagne » : ici Montesquieu refuse ici l'une des caractéristiques de la démocratie directe en refusant le mandat impératif (fait pour les électeurs de pouvoirs révoquer le représentants si il ne représente pas bien leurs intérérets). Alors il est plus pour un mandat représentatif c'est à dire que les électeurs DELEGUENT leurs pouvoirs au représentant qui ne peut plus être révoqué par ces derniers. = indépendance qui peut amener à des dérives du fait d'avoir un pouvoir solitaire.

« il est vrai que...la parole de la nation » = ok si on avait un mandat représentatif peut etre que les représentants travailleraient plus sur ce dont les électeurs ont besoins.

Or « mais cela jetterait...un caprice » = en gros si chacun des représentants est tenu par ce que ces électeurs veulent, si on généralise ça aucune décision ne pourra être prise, car il ne pourra y avoir de consensus puisque des décisions nécessaires dans l'urgence porteront forcément atteinte à certains électeurs et donc le représentant en question ne pourrait pas prendre de décision (car lié à son peuple).

5. Dans ce paragraphe on reprend la distinction entre les deux types de mandat même si ici on a aussi l'idée de la localité un bourg (une agglomération) plus grand donc représentatif a mon avis.

6. « tous les..représentant » = ok de base il faudrait comme le pense jj rousseau un suffrage universel, chacun peu voter et choisir ces représentants.

« excepté...volonté propre » = mais on est obligé de limiter les candidats, comment ? Suffrage restreint qui passe par le suffrage capacitaire (intelligence,

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