La travail

Le travail

Pour la grande majorité des vies humaines ont retrouve un cycle. Ce cycle commence par la naissance qui est suivit du développement physique et intellectuel puis le moment ou l’on donne un sens à sa vie suivit de la survie la plus longue possible dans l’attente de la mort et enfin la mort qui met fin à ce cycle. Dans cette réflexion je vais chercher à démontrer les non-sens du système et de cette organisation en cycle.

Tout d’abord j’aimerai partir d’une expression familiarisée qui m’a poussé à cette réflexion : « les études sont les plus belles années de la vie ».

Pour commencer, je suis d’accord avec cette expression en effet sont premier sens qui est ici le figuré faisant référence à la liberté, et les divertissements que l’on retrouve en parallèle des « études », constitue une part importante de l’expérience émotionnel chez l’homme et correspond donc à « les plus belles années ». De plus, cette expression est aussi vraie dans son sens propre : les études de contribuent à la construction de l’individu.

Cependant, selon moi ce qui est un premier non-sens c’est le fait qu’en parallèle de ce message promettant une période riche d’expérience marquante dans le bon sens, les adultes nous délivrent un autre message : « il va falloir s’impliquer à fond dans ses études » et ce des la terminale. Mais si ont y réfléchit bien et qu’on se fie à ce second conseil, on va donc devoir travailler beaucoup pour accéder à un bon travail qui lui aussi nous demandera beaucoup de travail et au final on aura un travail qui nous convient tellement qu’on si investira plus que notre propre vie. Au final on aura beaucoup d’argent mais pas le temps de profiter. Enfin, si, pendant la retraite, évidement mais comment s’en réjouir sachant que cette période correspond à une dégradation physique et mentale qui prive des rêves et de la témérité autrement dis au divertissement. Cette période correspond aussi au dépassement par rapport aux nouvelles générations qui coupe la communication avec celle-ci ainsi on se retrouve emprisonner dans une attente progressivement ennuyante qui ne s’accorde pas avec le mot « profiter ». Ainsi ce deuxième conseil bien qu’étant le mieux vue par la société ne mène à rien. Passons donc au premier qui bien que plus joyeux dans un premier temps puis qu’il nous permettra de profiter de la vie, se finit très souvent mal en effet les personnes choisissant cette option son se détourne souvent du « droit chemin » et tombe dans une dépendance générale à l’amusement et ceci bien que profitable dans un premier temps ne peut mener qu’à de mauvais scénarios.

Ainsi la vie dans la société nous confronte à un choix, le sérieux ou le plaisir. Et la réponse des jeunes dépends elle aussi de cette société (éducation, milieux de vies…) ainsi nous sommes dépendants et contrôlés par le système. C’est en cela et son renouvèlement quasi immortel (ceux qui ont choisi le sérieux implique les valeurs de ce choix à leur descendances qui seront donc influencé et de même pour ceux ayant choisi le plaisir). Pour conclure j’aimerai faire une ouverture qui mettrait fin à ce débat : peut-on choisir les deux ? ou encore peut-on sortir du système ?

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