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Cours le bonheur

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Par   •  26 Avril 2021  •  Cours  •  3 972 Mots (16 Pages)  •  404 Vues

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Le bonheur:axes multiples Bonheur/ plaisir(s)/morale/vertu/devoir/Bien intellectuel.

Déf du concept de bonheur ( comp de bon et de heur, du lat agurium dér de augurium, augure, chance)

Bonheur

Plaisir

Béatitude, félicité

-Etat de satisfaction complète de toutes les tendances humaines.

-Idée qu’il est dû à une chance extérieure favorable. La bonne chance.Or la chance ne dépend guère de la volonté ou de la vertu, des efforts ou des mérites.

Eudémonisme.

L’étymologie insiste sur le caractère passif du bonheur, mais l’homme ne peut-il pas agir en vue de son bonheur ? Le bonheur est-il seulement un état dt on profite ?

Quel bien procure le bonheur ? Un bien moral, un bien intellectuel, un bien pr le corps ? Ts les biens ? 

Incomplet et passager.

Hédonisme.

Etat de plénitude et de contentement total du sage ayant atteint le Souverain Bien.

Etat bienheureux des élus jouissant au ciel de la contemplation de Dieu.

Bonheur et plaisir :

Etre vertueux, une condition du bonheur ?

Le bonheur : rêve ou réalité ?

Le bonheur est-il synonyme d’une accumulation de plaisirs ? Est-ce le plaisir qui procure le bonheur ? Ms éprouver du plaisir est-ce suffisant pr se sentir heureux ? Et n’est-il pas possible de ressentir du plaisir tt en étant malheureux ? Inversement, un état de bonheur pt-il exister en ns ss que ns l’apercevions ?

Le bonheur est-il réservé à l’homme vertueux ?  Celui qui n’accomplit pas ses devoirs moraux se condamne-t-il à ne jamais pouvoir trouver le bonheur ? Ms si la vertu est une condition du bonheur, est-ce une condition suffisante ? N’entre-t-il pas ds la réalisation du bonheur une part de chance, de hasard incontrôlables ? Dans ce cas, il ne suffirait pas d’être vertueux pr être heureux.

Le bonheur est-il effectivement un état à la portée de l’homme ? Ne s’agit-il pas plutôt d’un rêve, d’une espérance, l’homme étant condamné à une perpétuelle insatisfaction ? Et, même en supposant que ts ses désirs soient réalisés, cet état de satisfaction complète le comblerait-il ?  A la différence du plaisir éphémère, le bonheur est un état durable. Ms doit-il être défini cf un état permanent ? Est-ce envisageable ? Ne faut-il pas  

concevoir alors le bonheur plutôt comme un idéal qui ns motive  pr agir que cf un état vécu par l’homme. Différencier l’idéal du bonheur du bonheur

effectif.

Le bonheur des utilitaristes : idée clef : faire du bonheur l’objet d’un calcul moral.

Hume : le bonheur et le plaisir tendent à n’exister qu’au passé, ss présent (où l’on ne sait pas qu’on les vit), ni avenir (où l’on ne fait que projeter qu’on les vivra).

La temporalité des plaisirs est celle d’un ratage : ou l’on se précipite pour s’en saisir ou il est déjà trop tard.

L’utilitarisme a fait du bonheur l’objet d’un calcul moral. Il tente de concilier la tendance individualiste au bonheur avec le souci moral, économique, politique, du bonheur collectif. Le bonheur devient le critère de déf de l’acte moral. Le devoir de chacun est de contribuer au plus grand bonheur pour le plus grand nombre.  

Y a-t-il des critères objectifs pr distinguer différentes qualités de plaisirs ?

Bentham

Mill :

homogénéité des plaisirs « à quantité de pl égal, le jeu de poussette a autant de valeur que la poésie ».

les plaisirs les plus élevés st ceux dt la satisfaction est la plus difficile. Réintroduction d’un ppe moral étranger à la simple logique de l’utilité et du plaisir.

Les plaisirs désirables « ne sont pas ceux d’un porc », mais les plaisirs liés aux facultés supérieures de l’esprit : « Il vaut mieux être Socrate insatisfait qu’un imbécile satisfait».

Bentham : le bonheur est la somme de plaisirs – la somme des peines.

Il fait l’objet d’un calcul. Il n’a de sens que par rapport à cet outil. L’identité du bonheur est une identité fabriquée. Le calcul est un mode polymorphe d’articulation. Il est une puissance ou un outil de mise en forme et de transformation.

Csq 1) Jamais les plaisirs ne sont isolables des peines.

Csq 2) Il n’y a pas de bonheur ss opérations prenant pour objet les pl et les peines et ss ppes réglant l’usage de ces opérations. Plasticité de l’esprit humain qui se modifie au gré des circonstances qu’il contrôle ou s’efforce de contrôler.

Quelle est la réalité du plus grand bonheur pr le plus grand nombre et que vt dire : il ressent du bonheur ? 1. Le ppe du plus grand bonheur pr le plus grand nombre est un ppe de maximisation. Il n’y a pas de bonheur absolu. Il n’y a pas de bonheur ss des conditions pénibles de travail. Le système politique reflète cette impossibilité de donner à l’avance un contenu à l’utilité et au bonheur. L’Etat est incompétent pour dire en quoi consiste le bonheur : il pose simplement les conditions de possibilité de la coexistence des divers bonheurs. Le paradoxe de l’utilitarisme est de prétendre faire une politique du bonheur ss savoir ce qu’il est. On ne sait ni ce qu’est un bonheur individuel, ni ce qu’est un bonheur collectif.

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