Étude du drame Le Diable Et Le Bon Dieu de Jean-Paul Sartre

Ce n’est pas à chaque jour que nous lisons des pièces de théâtres. Surtout pas en philosophie. Il est intéressant de savoir que des philosophes comme Jean-Paul Sartre, quand même populaire et aimé, écrivent des pièces de théâtre. Celles-ci expliquant les grandes batailles et les évènements de leur passé. Le livre «Le Diable et le bon Dieu» écrit par Jean-Paul Sartre est bien aimé selon moi auprès des étudiants. L’histoire de combat dont il est question peux en attirer plus d’un. Les films d’aujourd’hui peuvent paraîtres semblable à l’histoire racontée. Pendant ma lecture j’ai choisi un tableau, le tableau 5, scène 3. J’ai choisi celui-ci grâce à sa simplicité. Les mots employé et les paroles des 2 personnages présenté sont bien formuler et nous facilite la lecture. Je vais vous présenter ci-dessous un bref résumé de façon objective, par la suite je vais vous faire une petite interprétation philosophique de l’action qui s’y déroule et terminer par une interprétation personnelle.

Premièrement, dans la scène du tableau que j’ai choisis ce trouve une conversation entre Goetz, Heinrich et de Nasty. La scène débute en chamaillade de paroles. Goetz apprend que sa fréquentation est sur le point de mourir. Il ne comprend pas pourquoi Heinrich est prêt de lui et non prêt d’elle, lorsqu’elle a besoin d’aide. Goetz ne veut pas qu’elle meurt. Il ne sait même pas pourquoi elle est en mauvaise état. Il ne fait que se demander qu’est-ce qui a bien pu lui arriver. Quand il apprend qu’elle se meurt de honte par les actes que lui-même lui a affligée. Il ne peut simplement pas croire qu’elle est tombée réellement amoureuse de lui quand lui, n’avait aucun sentiment pour elle à part le désir de lui faire l’amour. Et qu’elle est prête à mourir pour qu’il revienne près d’elle.

Poursuivons avec l’interprétation philosophique du roman. Dans ces scènes Sartre a voulu démontrer que l’homme ne survit pas s’il ne fait pas de choix. Il dit que la vie est inexorable et que l’homme fait toujours des choix. On a pu voir dans le roman que tout le monde a fait des choix et parfois ce n’était pas toujours le bon à faire. Comme par exemple, l’évêque, s’est fait payer pour livrer la ville à Heinrich, mais ce n’était pas le bon choix puisque maintenant, les paysans de Worms lui en veulent à mort. Sartre a créé ces dialogues pour nous faire comprendre sa vision de tout. Il voulait nous démontrer qu’il ne croit pas au être divins. Il croit qu’on est rien, qu’on ne fait qu’exister. Selon lui il n’y a aucune justification face à notre présence sur la terre. Il essaie de nous faire comprendre que l’homme est libre, que l’homme n’est rien et qu’il se définit seulement après, comme Goetz dans le roman. Au début il faisait le mal et c’est seulement lorsqu’il a découvert que personne était au-dessus de nous pour faire le bien qu’il a décidé de se définir en homme bien. Il a eu la liberté de choisir s’il voulait rester l’homme qui fait le mal ou l’homme qui fait le bien. L’existentialisme sartrien est en fait un résumer de ce que je viens de vous dire un peu plus haut. «L’existentialisme pense que l’homme est responsable de sa passion et que l’homme déchiffre lui-même le signe comme il lui plait.» Il dit que les sentiments sont contrôlés par les actes qu’on fait. Finalement selon

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