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La liberté : Pouvons-nous donc considérer que notre inconscient joue un rôle plus important qu’on ne le croit ?

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Par   •  6 Août 2019  •  Dissertation  •  816 Mots (4 Pages)  •  646 Vues

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La liberté est définie par la possibilité de pouvoir agir sans contrainte et sans être entravé par le pouvoir des autres, l’usage de celle-ci devient donc difficile dans notre monde défini par n’innombrables règles et lois. La conscience, définie par la connaissance immédiate de sa propre activité psychique, nous permet de respecter celle-ci afin de contribuer à une société des plus agréable. Mais, lorsqu’on parle de psychisme, on parle de ce qui est conscient, mais également de l’inconscient. Pouvons-nous donc considérer que notre inconscient joue un rôle plus important qu’on ne le croit ? Que, sans le savoir, l’inconscient : le domaine des pulsions refoulées, possède un certain contrôle dissimuler sur notre vie? Et si une partie de nous qui n’a pas conscience nous dirige discrètement dans nos prises de décision quotidienne, pouvons-nous vraiment nous considérer maîtres de notre vie ? En d’autres mots, l’homme bénéficie-t-il d’une liberté absolue ? Il m’apparaît évident que, grâce aux découvertes et aux théories avancées par le neurologue Sigmund Freud, l’homme n’est point le maître de lui-même et ne possède donc pas de liberté absolue. Pour donner suite à une mise en contexte de l’époque de Freud ainsi qu’une caractérisation de ses principes, je prendrai position afin de vous démontrer que l’homme n’est pas réellement libre.

La médecine, au début du 19e siècle, considérait l’homme comme un objet d’expérimentation. Elle ne s’attardait que sur ce qui possédait une explication observable, les problèmes liés au comportement humain étaient donc d’origine physique seulement. Ainsi, le développement des sciences progressait dans une démarche plutôt rationnelle, laissant derrière toute dimension subjective. En effet, la médecine de cette époque refusait même toute étude concernant le monde psychique de l’être humain, car elle n’y connaissait rien. C’est Freud qui sera le premier à étudier l’univers psychique de l’homme et à réussir à percer la médecine traditionnelle grâce aux résultats de ses recherches. C’est en étudiant plus précisément les cas d’hystérie qu’il réalisa l’importance de l’inconscience. Et qui dit inconscience dit psychanalyse. Freud développa une méthode de guérison des maladies psychiques se basant sur la conversation entre un patient et un analyste. En effet, les mots prononcer par l’analyste envers le patient font ressortir les émotions de celui-ci afin de soulager la névrose dont il souffre. Cela dit, Freud fessa ressortir certains aspects nous menant vers un questionnement sur la liberté réelle de l’homme.

Freud définit l’inconscient comme étant le domaine des pulsions refoulées. Les pulsions, étant une forme d’énergie poussant un individu vers un but à satisfaire à tout prix, se retrouve dans l’une des trois provinces du comportement humain définit par Sigmund nommé le ça. Ces pulsions et ces désirs sont souvent contraints aux normes sociales et aux règles dont est composée notre société. Elles donnent naissance à des émotions violentes, des passions inavouées puisque c’est pulsions peuvent rarement être réalisées dû aux normes de la morale ambiante. En effet, la province nommée moi cherche à régulariser les envies du ça, et les maîtrise en décidant des pulsions à satisfaire ou à ne pas satisfaire. De plus, la troisième

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