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Pensées involontaires

Analyse sectorielle : Pensées involontaires. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Décembre 2017  •  Analyse sectorielle  •  662 Mots (3 Pages)  •  578 Vues

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Certaines pensées peuvent nous echapper, etre hors de notre controle. Il en resulte des pensées involontaires qui mennent notre inconscient sur un chemin hors de notre volonté. Ici, ce sentiment nous est relaté par Lebniz de facon abstraite à travers ces differents termes:

- "objets qui frappent nos sens",

Cette expression demontre un certaine incapacité face a l'adversité de l'univers proche; comme des image qui hurte psychologiquement sans raison aparente les pensées de chacun. les pensées sont involontairement suscitées par des forces dont nous n'avons pas une claire conscience.

"passifs à cet agart"

Des pensées subis, non controlé à cause de l'inconcient. Leibniz pense que l'esprit est libre de choisir ses sujets de reflexion et peut avoir un controle sur ses pensées. Pour Lebniz, la pensée n'est pas seulement le produit de la conscience et de la volonté.

"impression qui restent des perceptions precedente(souvent insensible)"

Passage d'un sentiment incontrolé, d'une "impressions" qui a laissé emotionnellement des souvenir anterieur, des "perceptions precédentes". Souvent insensible fait référence à la légèreté de ces sentiment a peine perseptible pourtant toujours present.

L'idée de pensée et posée comme des etats involontaires influencé par des facteurs incontrolés. En effet, Leibniz nous propose deux interaction primaires directement opposée, le « dehors » et le « dedans ». "Le dehors" reflète l'exterieur, les facteurs environementaux qui influence sans les savoirs nos impressions. "Le dedans"", au contraire, n'est pas physique, mais psychologique, il designe la consciencce immédiate, la subjectivité par rapport au vecu de chacun.

Ces deux facteur sont la conséquence "de perseption anterieur" qui reste dans notre conscience. Nos pensées se forment sans maitrises, elle vond au dela de notre volonté ce qui crée des divagations sans réel fondement. Ainsi nous sommes passifs face à ce phénomène, nous n'en avons ni conscience, ni maîtrise.

Comme le précise Leibniz, « nous sommes passifs » en ce qui concerne une partie de ce qui se passe en nous même. Il y a en effet une activité par rapport à laquelle nous sommes inerte. Par exemple dans les songes, le fait de rêver échappe complètement à notre contrôle. Des images nous viennent à l'esprit « sans être appelées ». Mais l'on rêve lorsqu'on est endormit et l'on considère que les pensées volent comme des fantômes évanescents et vont où elles veulent. De ce fait on pourrait croire que cette activité est insignifiante et opposé l'état de veille à l'état de rêve. Mais Leibniz fait le rapport entre les deux. Lorsque nous sommes dans l'état de veille, c'est à dire que l'on est réveillé et que la conscience devrait commander nos pensées. Ces pensées volantes qui échappent à notre conscience et à notre contrôle peuvent révéler une part de nous même que nous ignorions.

En faisant référence aux « gens de bien », Leibniz fait discrètement allusion aux phantasmes sexuels.

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