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Écriture personnelle : la vitesse

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Par   •  30 Mars 2020  •  Synthèse  •  839 Mots (4 Pages)  •  4 128 Vues

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Écriture Personnelle

La vitesse, un mot, sept lettres décrivant beaucoup et si peu à la fois, cela désigne à la fois la trajectoire d’une action, mais également sa capacité et son mouvement.

Le temps, lui, est relatif, relatif par son instant, relatif par son passé, et relatif par son futur, finalement la connivence se crée, en effet le temps se définit grâce à la vitesse et aux secondes qui passent.

Voilà pourquoi il est beaucoup et si peu à la fois…

Mais finalement, faut-il avoir peur de la vitesse ?

Le temps s’écoule, et la vitesse est là, quoi qu’on en fasse, nous sommes destinés à suivre une longue ligne de secondes, minutes, heures qui passent sans même en être conscient continuellement, dans ce cas-là peut-on réellement parler de vitesse ? En réalité, non, c’est le temps qui suit normalement son cour et que lorsqu’on à conscience du temps sur l’instant, vient alors les questionnements : « Il est déjà cette heure-là ? », « Je n’ai pas vu le temps passer ».

Eh oui, on ne voit jamais réellement le temps passer, sommes-nous soumis et esclaves de la vitesse ? Encore une fois, je spéculerai que ; non, pas vraiment, l’humain se développe aussi vite que le temps passe alors qu’il y a 30 ans l’ordinateur, le portable n’existait pas, c’est dorénavant notre quotidien, et oui, nous nous développons sans cesse que les entreprises disposent de segmentation sociétale que l’on appelle « Recherche et développement », que les pays se fructifient autour de l’évolution et de la technologie, des termes nouveaux émergent aux quatre coins du monde pour mieux définir les avancées et innovations.

Mais, comme disait Philippe Labro, écrivain et journaliste Français : « Il ne faut jamais aller plus vite que la vitesse », un proverbe réel, la vitesse est addictif pour celui qui est en soif de nouveauté, à la fois un atout comme un défaut, se perdre dans la vitesse à tel point qu’on ne sait plus dans la situation, ni le contexte de vie dans lequel nous sommes est destructeur.

Je sais communiquer et utiliser la majorité des applications de mon téléphone, qu’appeler quelqu’un est d’une banalité sans faille pour moi, qu’en est-il de l’utilité de cet objet pour une personne âgé de 3 générations ? La différence est là, quoi qu’on dise, un enfant de huit-ans apprend à sa grand-mère comment communiquer avec son appareil téléphonique, le scénario est bien connu..

Ce n’est pas tout, les pensées, et les divergences idéologiques se contredisent depuis la nuit des temps, la remarque intéressante que j’ai retenu est le proverbe de Stéphane Fouks, qui lui est un publicitaire Français qui a dit, je cite :  « Il faut être imaginatif, car le XXI siècle ne sera pas celui de la vitesse, mais celui des idées. Parce que la vitesse n’est rien sans contenu ».

En effet, concentré l’optimisation d’une action sur la vitesse comme le font la majorité des usines automobiles n’est pas suffisant, c’est pour cela, comme mentionné précédemment les entreprises ne misent pas que sur la vitesse, mais également sur la « Recherche et Développement ».

Il est évident que

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