Quelles sont les bonnes pratiques et limites de gestion ?

Le cas « Là où il y a du sucre, il y a des fourmis » se déroule au sein d'une chaîne de grands magasins renommés du nord de la Californie. Comme toute organisation, les opérations commerciales parmi lesquelles achats, ventes et échanges sont très importantes pour les profits qui sont rapportées mensuellement au comité de direction de la compagnie. Ainsi, la structure organisationnelle de la chaîne permet à un acheteur principal de prendre les décisions importantes dans chaque grand magasin car ils sont responsables de sélectionner les produits qui seront offerts à la clientèle, de négocier des ententes avec les fournisseurs, de définir le prix de détail, de s’occuper des différents présentoirs, d’organiser promotions et d’autres opérations à l’intérieur des magasins.

Dans chaque magasin existent des unités de ventes comme le département de l’épicerie fine et gastronomique où il y a des produits de luxe, la majorité de ces produits étant importée d’Europe. La liste des produits importés est vaste cela comprend nettement des pots de confiture, des biscuits, des craquelins, des fromages, des friandises, des poissons fumés, des viandes fines en conserves, des caviars, des truffes et de bouteilles de vin de première qualité. Par conséquent, le processus de qualité est un point essentiel pour le positionnement de la chaîne et leurs objectifs d'affaires

L'acheteuse du département de l’épicerie fine et gastronomique est Maria Castellani, une responsable reconnue d’opérations commerciales et Sarah Goodwin son assistante assignée de manière temporaire au département.

Les différentes installations de la compagnie montrent une structure organisationnelle par opérations souligné par Fayol. Aussi, on peut identifier quelques principes, comme le principe de l’autorité-responsabilité dans le rôle de Maria Castellani et l’influence qu’elle a dans l’organisation avec ses collègues de travail et avec la prise de décisions et le principe de rémunération du personnel avec les acheteurs. Finalement, la recherche de marché pour le déplacement des produits de mauvaise qualité, c'est une décision stratégique de l'organisation réalisée par Maria.

Est-il problématique ou descriptif ?

Le cas est problématique car le département d’épicerie fine et gastronomique devra charger avec les coûts d’avoir un produit infesté des insectes et il obtiendra un revenu inférieur pour de ne pas avoir eu un processus de vérification de la qualité dans la réception des marchandises. C’est-à-dire d’un processus qui donne les moyens pour réduire les coûts d’opération commerciale et pour augmenter les profits de ventes.

Maria a affirmé que le manufacturier n'avait pas pu étendre le remboursement de la marchandise parce que l’origine de cette épidémie pouvait provenir aussi bien de l'expédition que de son centre d'entreposage. Aussi elle indique qu’ils ne savent pas comment peu à peu, les boîtes de petits biscuits ont commencé à être infestés d'insectes. Les clientes ont découvert et ont rapporté cette situation au magasin. C'est clair que la situation est grave parce qu’il n'y a pas un contrôle de la qualité par le

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