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Étude de cas ADM 1015 Travail 1

Étude de cas : Étude de cas ADM 1015 Travail 1. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  8 Mai 2017  •  Étude de cas  •  2 404 Mots (10 Pages)  •  1 187 Vues

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Question 1 : Pour répondre à cette question, définissez d’abord dans vos mots les trois concepts à l’étude, expliquez ensuite brièvement les différences entre ces concepts et transposez-les à la GRH en vous appuyant sur vos lectures. Enfin, pour chacun des concepts, donnez un exemple concret en l’appliquant à la gestion des ressources humaines. Répondez en un maximum de deux pages.

« Processus d’affaires » : Les processus d’affaires, d’abord décrit par Davenport (1993), s’entend généralement des méthodes utilisées dans une organisation à offrir quelque chose de soit tangible ou intangible, qui pourra générer des ventes.

« Pratiques d’affaires » : Les pratiques d’affaires sont habituellement reliés à l’amélioration de la capacité d’une organisation à faire face aux tendances industrielles, à l’interne. Elles sont majoritairement axées sur le développement de pratiques plus profitables liées à la gestion, comme la gestion des employés, la recherche sur les avancements technologiques ou la modification des méthodes de production plus compétitives.

« Activités d’affaires » : Les activités d’affaires sont reliées aux méthodes et actions qu’une organisation doit utiliser pour demeurer active et compétitive sur le marché. Elles sont souvent liées à la relation client et fournisseur. Elles sont perçues comme gestes visant à augmenter le succès de l’image de l’organisation, de court à long terme.

Chacun de ces concepts vise à former, conjointement, un tout. Ils seront utilisés au bon fonctionnement de l’organisation et à l’avancement de celle-ci. Il est nécessaire de bien distinguer ces concepts de l’un de l’autre, car il est important d’être capable de différencier les méthodes pour atteindre un objectif organisationnel, que l’objectif lui-même.

C’est pourquoi les processus d’affaire est lié au pourquoi l’organisation existe. S’il n’était pas cas d’une façon quelconque pour obtenir une entrée d’argent, il n’y aurait aucune autre étape de possible. Les processus d’affaires définissent le but de l’organisation. L’obtention d’un revenu est nécessaire. Le service de gestion des ressources humaines sera au cœur de la sélection des personnes adéquates pour occuper les postes adéquats.

Les pratiques d’affaires viennent ensuite démontrer comment l’organisation se comporte de façon interne. L’importance de la gestion efficace des employés est capitale, puisque le service de gestion des ressources humaines devra faire respecter les lois concernant les méthodes de travail envers les employés.

Par la suite, les activités d’affaires viendront meubler le lien qui existe entre l’organisation, ses clients et ses fournisseurs. Le lien offert entre l’employé et le client ou le fournisseur sera déterminant d’une gestion efficace des ressources humaines, pour la sélection du bon personnel.

La frontière est mince entre chacun de ces concepts et elle doit le demeurer pour le bien organisationnel. Leur identité est étroitement liée à chaque autre concept et la gestion efficace des ressources humaines pourra harmoniser le tout. Les pratiques d’affaires sont souvent les plus évidentes dans une organisation et facile à démontrer, cependant, il importe de choisir le bon personnel ayant les bonnes qualifications pour effectuer le travail nécessaire pour que l’organisation puisse offrir ses biens ou services. La gestion des ressources humaines sera responsable de l’embauche des employés, suivant la détermination des besoins de l’organisation.

Des bonnes pratiques d’affaires sont au cœur d’une entreprise. Ces pratiques sont souvent en changement et nécessitent des adaptations de la part des employés. Un service efficace de gestion des ressources humaines saura être attentif à ces changements et saura se démarquer en étant proactif à ces changements.

En général, les méthodes utilisées pour la gestion efficace des ressources humaines, doit être faite de façon cohérente et unifiée. Le plan d’affaire et les activités d’affaires doivent être intégrées activement pour que l’organisation puisse grandir.

(St-Onges, Guerrero et al. 2013)

Question 2 : La théorie des affaires, présentée par Turgeon (2014), devrait servir de guide afin d’aider le dirigeant à concilier différentes visions pour mieux analyser le marché́ dans lequel son organisation se trouve. Quels liens pouvez-vous faire entre l’angle microscopique et l’adaptation de la stratégie de GRH à l’environnement interne d’une organisation? Répondez en un maximum de deux pages.

Afin faire adéquatement les liens entre l’angle microscopique et la stratégie de gestion des ressources humaines à l’environnement interne, décrivons d’abord la définition de Normand Turgeon de l’angle microscopique : « qui est cette organisation? Quelles sont ses forces, ses faiblesses, ses habiletés, ses compétences distinctives, ses ressources? Comment réussir sur le marché? »

Je crois que pour idiotifier les meilleurs liens, il serait nécessaire de réfléchir à ces questions de façon inverse.

Par exemple, en commençant par « Comment réussir sur le marché? » (Turgeon 2014), il est impératif que l’organisation ait déjà établie un plan d’affaire lié à un « processus d’affaire » (Turgeon 2014). Celui-ci doit être lié aux ressources les plus importantes de l’organisation, sans quoi, elle ne pourrait pas réussir. Le fait d’avoir une bonne gestion des ressources humaines à l’interne, pourra rendre le but de réussite, atteignable. Il est important pour la gestion adéquate des ressources humaines, que la stratégie d’affaire soit connue et que les valeurs de l’entreprise aient été déterminées au préalable.

La gestion des ressources humaines faite de façon adéquate dès le début pourra offrir un avantage compétitif, c’est-à-dire, une bonne dotation des postes et une bonne formation des employés seront au cœur de la réussite de l’organisation à l’externe.

Parallèlement, lorsque l’organisation réussit à l’extérieur, la gestion intérieure devra être, pour le moins, égalée. C’est pourquoi, la question suivante se doit d’être posée : « Quelles sont ses forces, ses faiblesses, ses habiletés, ses compétences distinctives, ses ressources? » (Turgeon 2014).

Lorsque

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