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Hippologie les différents types de logements

Résumé : Hippologie les différents types de logements. Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  21 Avril 2020  •  Résumé  •  1 860 Mots (8 Pages)  •  1 225 Vues

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LES DIFFERENTS TYPES DE LOGEMENTS

  • Boxes intérieurs

Le boxe est un mode d’habitat du cheval, sa surface et entre 9 à 12m², sur une hauteur minimum de 3 mètre en dessous se la peut être dangereux pour le cheval car il peut se cogner. Les parois du boxe doive être pleine afin dévier que le cheval passe a travers aux risque de sa blesser mais aussi pour éviter les contacte avec les voisins. Les parois doive être solide et constituer de plusieurs matière : béton banché, bois résineux, matériau recyclé.  Le boxe pour le confort du cheval dois être équiper :d’un abreuvoir automatique, dune mangeoire dune luminosité suffisante (fenêtre éclairage électrique ), dune porte fermer a l’aide d’un verrou, une demie porte grillagée peut être ajouter pour les chevaux qui ont tendance a mordre ou passe au dessus de la porte. Une bonne litière et nécessaire elle peut être de paille, de lin ou de copeaux. Cette dernière doit être régulièrement entretenu et vider et désinfecter en fonction de la propreté du boxe (fumier). Il doit avoir de l’eau propre a volonté ainsi une nourriture adapter a son environnement : du grain, sa quantité et calculer en fonction de l’intensité de sont travail mais aussi de sont poids et de sa morphologie. L'inconvénient de se mode de vie c’est qu’il n’a pas de ventilation et de luminosité naturel. L’hébergement confiner facilite la propagation de maladie mais aussi peut être nocif sur le système  du cheval.

  • Boxes extérieurs

Le boxe doit avoir les mêmes caractéristiques que les boxes intérieures et il doit avoir en plus un auvent de 1 mètre 50 de large afin de pouvoir protéger l’ouverture du boxe des intempéries (vent, pluie), mais aussi pour permettre au soigneur de travailler au sec. Concernant les besoins alimentaires du cheval,  ils restent les mêmes que ceux du cheval au boxe intérieur. L’avantage de ce mode d’hébergement il y a une luminosité et ventilation naturelle. Prévoir éventuellement un volet qui peut fermer entièrement le boxe en cas de grosses intempéries ou de froid, protégeant ainsi le cheval et son environnement.

  • Boxes d’isolements

Ce box a les mêmes caractéristiques que les types de boxes précédents, mis à part une dimension plus importante et un éloignement par rapport aux boxes principaux. C’est un boxe qui sert aux poulinières lors des mises à bas, les chevaux malades qui doivent être mis en quarantaine afin de ne pas contaminer les autres équidés. L’avantage d’avoir plus d’espace, en cas d’acte vétérinaire, afin de laisser la jument bouger librement pendant sa mise à bas, évite de se coincer mais aussi en cas de décès de l’équidé, il y a plus de facilité logistique pour le sortir au moment de son retrait par l’équarisseur.

  • Boxes paddocks

C’est un boxe qui les mêmes caractéristiques que les boxes intérieures mais à la particularité d’avoir une ouverture (seconde porte) vers un paddock, général en sable afin de pouvoir rentrer et sortir librement. L’avantage de ce type d’hébergement est que l’équidé peut se mouvoir librement, sans aide humaine. Ce mode d’hébergement est pratique pour les chevaux âgés qui peuvent se mouvoir et éviter l’engourdissement des membres, mais aussi pour un cheval qui a besoin de marcher fréquemment mais à qui le vit au troupeau en pâture ne peut correspondre.

  • Stalles

Méthode d’hébergement de moins en moins utilisées, néanmoins, elle est tout de même encore présente dans les Centres Equestres, qui regroupent leurs poneys d’instruction dans le même « enclos ». C’est un « grand boxe » comme un enclos où peuvent résidé plusieurs équidés. Généralement faites de grandes parois ou de barrières métalliques qui permettent une modulation facile et rapide des tailles de stalles en fonction des besoins. La difficulté de ce mode d’herbagement est de trouver la bonne cohabitation entre chaque équidés afin d’éviter les risques de blessures ou d’amaigrissement, car un fort hominisant peut entraver les autres à accéder à la nourriture.

  • Abris de pâture

Faites en général de bois, de tôle, elle s’oriente en fonction du sens du vent pour protéger le cheval, elle le protège également en cas de pluie, mais aussi du soleil en cas de forte chaleur. Suffisamment grande pour abriter les chevaux présents dans la pâture. En général on peut mettre lit de paille pour que les chevaux puissent s’y coucher confortablement, mais nous pouvons aussi laisser l’abri sans litière et laisser à même la terre. On peut, dans la mesure du possible y ajouter le point d’eau, soit par un abreuvoir automatique relié au réseau d’eau, forage ou tonne à eau, soit par une cuve à eau qui doit être alimenter régulièrement, soit par un cours d’eau naturel (rivière) qui alimente les chevaux en eau. Il existe aussi des abris naturels, comme un bosquet qui peut naturellement abriter les chevaux des intempéries, cela est aussi agréable pour eux car ils peuvent se gratter aux arbres. En cas de forte sécheresse ou gros hivers, on peut ajouter une balle ronde de foin à disposition des chevaux pour éviter les carences alimentaires, on la placera généralement dans l’abri afin de préserver le foin des intempéries.  

LES DIFFERENTS MODES DE TRANSPORTS DES EQUIDES

  • A pied

Pour déplacer un cheval d’un point A à un point B, sur une courte distance, nous pouvons déplacer le cheval, en main ou monté. Ce dernier devient son propre mode de transport. Il faut respecter les règles sécurité, le code de la route. Sur la route, le cheval est considéré comme un véhicule. Une vigilance accrue est nécessaire afin de bien regarder son environnement et réagir en conséquence.

  • La route

Le van est le moyen le plus courant des propriétaires d’équidés pour les transporter, il existe des camions VL aménagé pour les transporter.  Contrairement aux vans 2 places, un camion VL ne demande pas de permis spécifiques, à condition de respecter le PTAC de 3,5tonnes. Avec le van en fonction du PTAC du van et PTAV du véhicule, il faut passer un permis spécifique (permis E ou formation du B96). Le van doit avoir toutes les caractéristiques de sécurité pour le transport de l’équidé : un plancher en bon état, sans trous, un revêtement anti-dérapent pour une bonne stabilité du cheval, une barre de poitrail pour éviter que le cheval passe à travers la flèche en cas de freinage, voire freinage urgence, barre de queue pour éviter qu’il s’appuie sur le pont au risque que ce dernier s’ouvre pendant le trajet, mais aussi pour éviter qu’il recule lors de l’ouverture de la porte au risque de tirer au renard ou de piétiner la personne derrière. Dans un van deux places, il faut également une séparation pour éviter tous contacts entre les deux chevaux au risque de se cogner ou de se faire mal. Une aération en général située au niveau de la flèche partie haute pour que l’air circule correctement. Au dessus du pont il y a un volet ou store en fonction des modèles, permettant de mettre les chevaux à l’abri en cas de forte rafale de vent ou de grosses pluie, pratique aussi quand on est dans l’obligation de voyager le cheval en liberté (poulain, cheval malade) afin d’éviter de risque qu’il passe au dessus du pont. Le camion VL a les mêmes caractéristiques de sécurité d’un van, mis à part une disposition autre pour le cheval qui voyage dos à la route. Pour bien monter le cheval dans un van ou un camion, il faut que le cheval est l’apprentissage ce dernier, en respectant les règles de sécurité autour du cheval. Pour les professionnels dans le transport d’équidés, il faut des autorisations bien spécifiques : déjà une déclaration auprès de l’URSAFF en tant que transporteur d’équidés, un certificat établis par la DSV (direction des services vétérinaires) qui vérifie la conformité des normes de sécurité et confort au transport de l’équidé mais aussi l’hygiène (récupération des urines…). Que se soit un particulier ou un professionnel, lors d’un transport d’équidé le conducteur du véhicule doit être en possession du carnet signalétique du cheval transporté en cas de contrôle routier. Pour les cavaliers professionnels, en général ces derniers se munissent d’un camion type poids lourd, les caractéristiques de confort et sécurité sont les mêmes pour le cheval, avec des fois une partie home-car pour que le cavalier puisse y loger, partant en général sur des compétitions sur plusieurs jours. Ce dernier doit être en possession du permis PL, d’une habilitation de la DSV, mais aussi d’un passage à la mine du camion.

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