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Étude de la pièce de théâtre Andromaque de Racine

Rapports de Stage : Étude de la pièce de théâtre Andromaque de Racine. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Février 2015  •  2 928 Mots (12 Pages)  •  3 399 Vues

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Andromaque

Racine

La tragédie est du théâtre sérieux, il aborde de grandes questions politiques, amoureuses et non pas de façon légère comme dans la comédie mais au contraire de façon très sérieuse, très austère. La tragédie est un genre né dans la Grèce Antique et les premières pièces que l'on a retrouvé sont celles de grands auteurs (Sophocle – Oedipe-roi ; Eschyle ; Euripide). Ces pièces revenaient sur le destin de personnages mythologiques qui sont en proie à des conflits entre leurs désirs, les contraintes imposées par les Dieu. L'homme est impitoyablement conduit à son destin, à sa perte par des forces qui sont supérieures. Sénèque est un auteur romain (I° siècle) a repris Oedipe-roi de Sophocle.

Après la naissance de J-C, il est difficile de parler de l'influence des Dieux sur les hommes car le christianisme ne comporte qu'un seul Dieu, la tragédie disparaît donc et est remplacée par des pièces chrétiennes qui parlent de la vie du christ ou des sains (des mystères ou des miracles). A la fin du moyen-âge (XIV-XV°) on a plus le droit de représenter des mystères ou des miracles car elles sont trop excessives. On ne jouait plus de tragédie et plus de mystères/miracles, le théâtre est donc un peu vide.

A la fin du XVI°, la Renaissance a lieu, on redécouvre la littérature et les œuvres. Grâce à la création de l'imprimerie, on n'est plus obligé de faire appel aux moines copistes pour reproduire un livre. De plus, ces moines privilégiaient les textes religieux alors que l'imprimerie permet de diffuser largement des textes qui jusque là était confidentiels. Au XVII on va lire, relire tous ces textes anciens (commentaire d'Aristote...) et les gens apprécient ces genres et ces thèmes de l'Antiquité et commencent à les reproduire. Les auteurs français se remettent donc à écrire des tragédies, la première tragédie française que l'on connaît est « Cléopâtre captive » de Jadelle, qui date de 1532.

Le grand siècle de la tragédie est le XVII° car deux auteurs portent le genre à la perfection : Corneille, Racine. Les rois de France cherchent à montrer la grandeur de leur règne et la grandeur de la France. Ils passent par toutes sortes de moyens tels que de grands bâtiments avec Versailles ou encore leurs vêtements mais aussi par de grandes pièces. Ils encouragent donc les écrivains de tragédie dont les pièces contribuent à la grandeur de leur règne.

Le premier auteur à « porter » la tragédie à une certaines forme de perfection est Corneille. Il a écrit entre autre « Le Cid », « Horace », « Cinna ». [Il revient dans « Le Cid » sur une situation politique, l'Espagne est en guerre contre le Maures (le magrèbe), Rodrigue est un généraux du roi d'Espagne, il y met un problème d'ordre familial et d'amour.] On est tout au long de ces pièces au cœur de conflits et de dilemmes entre amour et devoir (trahison/vertu). Tous ces conflits ne se résolvent pas facilement et amènent à des malheurs, à des souffrance et souvent à des morts. Corneille est très doué pour parler de la politique dans tout ce qu'elle a de contraignant. Entre 1640-60, Corneille est au sommet de son succès.

Racine, plus jeune, arrive à ce moment sur la scène de la tragédie et a une autre perception des choses moins politique. Dans « Andromaque » on a un auteur qui choisit pour cadre la Grèce Antique, il a une inspiration mythologique et fait venir sur scène des personnages qu'il emprunte aux grands auteurs de l'Antiquité. Hélène est marié avec Mélénas et elle aime Paris qui part avec elle à Troie. Une guerre se déclare donc entre la Grèce et Troie. « Andromaque » se situe juste après cette guerre, Andromaque est une captive de Pyrrhus.

La tragédie donne un sentiment d'étrangeté car ce n'est pas une façon normale de parler, en alexandrin et en rimes qui donne un rythme à la pièce. Représentation théâtrale donnée par la Comédie-Française à Orange. La Comédie-française est à la base la troupe du roi qui continue de jouer un peu partout.

La scène un de l'acte I correspond à une des conventions du théâtre classique qui assure l'exposition de la pièce par un dialogue entre un personnage et son confident. Pylade est le confident d'Oreste, les confidents sont très courants au théâtre.

Dans la tirade d'Oreste, on apprend comment va se passer la suite de la pièce. Il y a une question politique, régler le sort d'Astyanax et toutes les histoires d'amour.

La scène 2 présente le nœud de l'intrigue. Pyrrhus a une attitude très mature, il a une voix plus grave qu'Oreste et cela montre son âge. Il ne bouge pas de partout, il est stable car c'est un roi.

Andromaque est un personnage éponyme (elle donne son nom à la pièce). Pyrrhus se fait galant, il lui fait la cour. Andromaque est caractérisée par son lien avec son fils, elle se présente comme mère et non comme femme qui cherche à séduire. Elle est dans ce rôle de mère inquiète qu'elle ne quittera pas. Astyanax n'a pas conscience de sa situation. Pyrrhus propose à Andromaque un marché, si les grecs arrivent pour prendre Astyanax, il le défendra au prix d'autant de mort et d'autant de ruine que pendant la guerre de Troie, il est donc près à s'opposer aux grecs. Mais en échange, il attend la sympathie d'Andromaque.

Il dit à Andromaque qu'il peut relever Troie. Pyrrhus est versatile car il n'a pas une seule idée, il change d'idée en permanence. Il contredit ce qu'il vient de dire à Oreste.

Nous avons ici une tragédie car Pyrrhus est pris entre son amour pour Andromaque et son devoir de roi.

→ En quoi cette tirade montre-t-elle Pyrrhus comme un personnage tragique ?

On a une scène d'exposition qui permet de comprendre quel est l'enjeu de la pièce, et d'attendre que le nœud se sert un peu plus au fur et à mesure de la pièce.

La tragédie exige des rimes à alternance, masculine et féminine. Les rimes féminines sont des fin de vers avec un « e » muet. Dans un alexandrin, à la sixième syllabe on trouve une césure qui sépare le vers en deux hémistiche.

Je les lui promettais // tant qu'a vécu son père.

1er hémistiche 2eme hémistiche

Andromaque refuse toutes les offres de Pyrrhus et reste sur son idée de pleurer son époux et sauver son fils.

Entraînement au sujet d'invention

Vous êtes metteur en scène d'une troupe de théâtre amateur, donc les comédiens sont lycéens. Dans un dialogue avec ces derniers, vous envisagez la mise en scène de l'acte I, scène 4 d'Andromaque.

→ Pas de moyens

→ Jeu : intonations, mimiques, gestes, déplacements, positions sur scène

→ Décors, costumes, accessoires (objets ? Mobilier?)

→ Lumières ? Sons ?

→ Indications → Passage du texte à la scène

Mise en scène : votre lecture de la scène/ perception

→ Éclairer le texte, le rendre vivant

→ Pyrrhus est amoureux → Gestes, intonations, il devient par la suite en colère

→ Andromaque est noble, elle résiste, elle souffre

→ Langage moderne (attention, pas trop familier)

Idées au brouillon :

-Andromaque : froide, austère, féminine, en gris et blanc, élégante

-Pyrrhus : amoureux, rouge bordeaux (la passion)

-Céphise : discrète, derrière Andromaque, en noir

Andromaque ne regarde pas Pyrrhus, elle regarde le public, elle parle la tête haute et froidement.

Pyrrhus lui, va vers Andromaque et est attentionné, il a un regard doux. A la fin, il s'énerve et part vers la sortie, il hausse le ton de sa voix.

Céphise est discrète, en fond de scène, derrière Andromaque.

Une scène nue et basique, avec des colonnes blanches en fond. Chaque personnage rentre par une colonne en particulier.

Les fins d'acte sont annoncés avec une trompette. Les projecteurs éclaire le personnage qui parle. Le reste de la scène est en lumière tamisée.

Acte II, scène I :

Hermione n'arrive pas à prendre ses distances avec Pyrrhus. Elle est outrancière et violente, nous le voyons par sa façon de parler qui est agressive.

Acte III, scène 4 : Réplique d'Andromaque → Commentaire

/!\ Place de la scène par rapport à la pièce → Qui ? Enjeu ?

/!\ Parole : voir versification

Comment Andromaque tente de persuader Hermione de sauver son fils en l'amadouant ?

→ Amour pour Hector = elle ne tente pas de lui voler Pyrrhus

→ Rôle de la mère

→ Sa seule raison de vivre

Il faudra voir dans cette réplique comment Andromaque tente de fléchir Hermione en lui montrant quel est le sort de son fils et le sien.

I – Comment elle essaie d'attirer l'attention d'Hermione en utilisant des arguments variés :

a/ S.E. → Implication destinataire → Réaction

Interpellation au début

Andromaque se peint elle même comme soumise.

Phrase interrogative

b/Variété des arguments

Argument matériel

Dette d'Hermione vis à vis d'Hector → demander la contre partie de ce service

II – Comment elle se révèle dans toute sa douleur, dans tout son malheur comme victime pathétique

a/ Veuve : situation de malheur, de détresse

→ trouble et détresse

b/ Élégie : beauté du propos

Elle ne dit jamais le nom d'Astyanax c'est « mon fils ». Elle se livre à Hermione en espérant trouver une alliée.

→ Vous ferez le commentaire des vers 993 à 1038.

Méthode :

→ Situer l'extrait de l’œuvre.

→ Enjeu, intérêt de la scène.

Afin d'aboutir à une première problématique.

Andromaque finit par accepter de se marier à Pyrrhus afin de sauver son fils.

Qu'est-ce qui dans cet extrait fait changer Andromaque d'avis ?

La scène précédente conduit à un ultimatum pour Andromaque :

sauver son fils et se marier avec Pyrrhus ou rester fidèle à Hector mais son fils mourra.

Dans cette scène, Andromaque devra donc prendre une décision.

On se pose la question : qu'est-ce qui pèse dans la décision ? → souvenirs : lesquels ? Comment Andromaque se les remémore-t-elle ?

Cette scène est un échange entre Andromaque et sa confidente, Céphise. C'est donc une scène intimiste.

La douleur d'Andromaque la montre comme pathétique, fragile et émouvante. C'est un fait qui révèle ce qui la hante (ses souvenirs).

Il faudra donc étudier comment, dans cette scène de confidences, Andromaque se révèle une femme hantée par un passé qui pèse douloureusement sur la décision à prendre ?

→ Reprendre le texte dans la perspective choisie.

-Travailler sur l'évocation du passé, la force de ces souvenirs.

→ Montrer qu'Andromaque n'arrive pas, ne veut pas s'en libérer

I – Un personnage hanté par ses souvenirs :

→ passé toujours très important qui pèse douloureusement sur Andromaque.

a) Les souvenirs, vivants, forts

→ Andromaque ne peut pas se débarrasser de ses souvenir, qui s'imposent à elle.

-verbe « frapper » : le souvenir surgit violemment, il est brutale → fort

-anaphore : insistance, ressassement

-hypotypose : tableau de la dernière nuit de Troie. → lumières, sons, composition du tableau.

-utilisation du discours direct (paroles d'Hector) → paroles exactes, tout est grave dans sa mémoire.

b) La douleur du personnage

→ Un personnage qui souffre, qui provoque notre pitié.

-champ lexical de la tristesse, haine, colère, amour

-elle a tout perdu sauf son fils

-versification → émotion

Acte IV :

L’entracte, sert à changer les chandelles et faire une pause dans le déroulement de l'action. Il permet d'imaginer qu'il se passe des choses en dehors de la scène pour faire une ellipse.

Andromaque réussi finalement à sauver son fils et à échapper à Pyrrhus mais en sacrifiant sa vie. C'est un personnage de mère qui s'oublie elle-même pour sauver son fils. A la scène 3, nous trouvons Oreste face à Hermione. Hermione, lui demande de tuer Pyrrhus car il va se marier à Andromaque, il accepte. La scène 4 résume la 3, Hermione résume ses envies de vengeance, elle est pleine de rage. Dans la scène 5, Pyrrhus vient rencontrer Hermione pour attester du changement de situation, il va épouser Andromaque contrairement à ce que l'on pensait au début de la pièce. L'amour de Pyrrhus pour Andromaque va au-dessus de la raison, des serments qu'il a fait, de ses devoirs. Pyrrhus ne comprend pas pourquoi Hermione souffre car il pense qu'elle ne l'aime pas (elle en a toujours parlé comme étant un acte politique, jamais comme de vrais sentiments). Hermione annonce son amour à Pyrrhus dans une grande tirade. Hermione est intransigeante envers Pyrrhus, on voit qu'elle n'est plus aussi raisonnable que ce qu'elle devrait être, elle ne se contrôle plus, mais son discours reste juste. L'acte 4 amène au dénouement.

Hermione, dans l'acte 5, scène première, hésite, elle ne sait pas quoi faire. Elle hésite à retenir Oreste. Ce monologue, sert à montrer les sentiments d'Hermione. C'est une scène de délibération, elle hésite sur ce qu'il doit arriver à Pyrrhus, et elle permet au spectateur de comprendre ce que ressent le personnage. Elle se montre passionnée, mais aussi souffrante, elle provoque la pitié mais on la redoute. Il permet de rendre compte du trouble d'Hermione, de sa souffrance.

1 → Délibération

2 → souffrance

Dans la scène 3, Oreste arrive en annonçant la mort de Pyrrhus, l'acte que l'on attend depuis le début. La mort de Pyrrhus est conté et est non montré sur scène car matériellement, ce n'est pas réalisable et de plus à l'époque, autant de sang sur scène est inadmissible. Hermione rejette Oreste en justifiant par le meurtre de Pyrrhus, qu'elle trouve horrible. C'est hypocrite car c'est elle qui lui a demandé de le tuer. Hermione se tue sur le corps de l'ancien roi.

Andromaque, elle, ne meurt pas et devient reine.

La tragédie fonctionne sur cette notion de catharsis (= purgation des passions), c'est cette idée qu'en voyant représenté des passions condamnable qui inspirent aux spectateurs terreurs et pitié, le spectateur pourra se libérer de ces passions là. La tragédie remonte à Aristote, notion de catharsis. La tragédie n'est pas forcément liée à une mort de tous les personnages mais à une fin triste et malheureuse pour chacun d'entre eux.

Structure de la pièce :

La pièce se situe dans un seul lieu, une des pièces du château de Pyrrhus. Elle se passe en une seule journée. Il ne se passe qu'une action unique. C'est la règle des trois unités, un lieu, une journée, une action. On a ici un souci de vraisemblance mais également celui de bienséance. La dramaturgie classique est le travail de la pièce afin de créer une pièce la plus représentative de cet idéal de la tragédie du XVII°. On veut faire de belles pièces car on arbore des sujets qui passionnent le monde du XVII° et la tragédie. Le héros est soumis à des forces qui le dépassent, il n'est pas maître de lui-même. Aucun des personnages n'est heureux, ils sont tiraillés entre ce qu'ils veulent faire et ce qu'ils doivent faire. C'est une vision très pessimiste de l'homme, il ne peut pas se libérer de ses passions, qu'ils devraient combattre, il n'est pas mettre de son destin.

Sujet de dissertation : On a souvent dit que le théâtre de Racine était un théâtre de la cruauté. En vous appuyant sur votre lecture d'Andromaque, vous discuterez cette affirmation.

Ici, les exemples seront tirés seulement d'Andromaque.

Démarche :

1/ Voir en quoi l'affirmation est vraie, valable, juste.

2/ Chercher les limites de cette affirmation, les failles.

3/ Aboutir à une définition meilleure, plus juste, du théâtre de Racine.

Il faut définir les thermes du sujet, « théâtre de cruauté ».

Cruauté : penchant à faire souffrir.

→ Est-ce que le théâtre de Racine est un spectacle de la souffrance ?

Est-ce qu'il va provoquer du plaisir, d'autres émotions ?

Si le personnage souffre, il peut être torturé par ses passions (internes) ou la situation (extérieure).

Cruauté des un par rapport aux autres :

-Leur intérêt propre

-Climat de violence : chantage (dilemme), trahisons, meurtres

-Allusion à la guerre, à ses massacres, aux intérêts d'état qui sont supérieures au bonheur individuel.

Passions sont cruelles pour le personnage, elles le font souffrir : pas de maîtrise des passions qui le mènent à sa perte : mort/folie.

→ Tragique.

MAIS :

Dans cette pièce, la violence n'est pas représenté : la mort se fait en coulisse, dans le récit. De plus, on a une pièce de théâtre en vers : traitement poétique, ce n'est pas un langage cru.

Choix dramaturgique rend la cruauté encore plus sensible : l'unité de temps et l'unité de lieu donne un sentiment d'urgence. La crise est mise en scène au moment le plus tendu et le plus douloureux pour les personnage.

La terreur et la pitié sont les sentiments les plus associés à la tragédie. On ne prend pas plaisir à voir souffrir, on va ressentir de la pitié et de la terreur face à la violence des passions.

Plan dialectique :

I – Voir en quoi l'affirmation est vraie THESE

II – MAIS il y a des limites dans cette affirmation qui n'est pas entièrement vraie. ANTITHESE

II – Redéfinition de l'affirmation SYNTHESE

I – Le théâtre de Racine montre la souffrance, la haine, la mort : on peut donc bien dire qu'il nous donne le spectacle de la cruauté :

a/ Évocation des morts, massacres, meurtres → situation tendue, périlleuse, où les personnages souffrent, sont confrontés à la violence.

-Enjeu : mort d'un enfant, meurtre de Pyrrhus

b/ Personnages cruels les uns envers les autres : ils préfèrent les voir souffrir qu'être heureux avec quelqu'un d'autre. On a de la haine, de la jalousie, de la trahison.

-Hermione : « Ah, je l'ai trop aimé pour ne le point haïr ! »

c/ Une dramaturgie qui intensifie la violence :

-Une unité de temps et une unité de lieu qui inspire l'urgence. Dans la tragédie : on dit que la crise est à son paroxysme.

→ Action resserrée : intense, violente.

Le jour où Andromaque doit répondre : menace de mort imminente.

II – Mais c'est un théâtre qui n'exalte pas la cruauté : il l'atténue au contraire pour la retenir dans les limites du supportable

a/ Pas de représentation de la violesse : coulisse, récit

-La violence n'est jamais représenté sur scène : Suicide d'Hermione, hypotypose d'Andromaque.

B/ Écriture poétique → grandeur majestueuse

-Le langage n'est jamais cru.

C/ Pas de plaisir à voir souffrir, on ressent de la terreur et de la pitié.

III – Le théâtre de Racine révèle ainsi une autre cruauté bien pire, celle de l'existence : cruauté tragique

CATHARSIS

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