Synthèse culture générale

                                                             Synthèse culture générale

Ne rien faire, être immobile dans le monde moderne est mauvais et pas productif, mais il y a plusieurs formes d’immobilisation. Comme être immobiliser pour être punis, La Punition de Tahar Ben Jelloun enfermé 19 mois en détention pour avoir manifester. Ce qui nous conduit à nous poser la question suivante : Quelles sont les différentes caractéristiques de l'immobilisation ?

Dans un premier temps nous verrons l'immobilisation un moyen de résistance et de libération et dans un deuxième temps les différentes façons d'être immobiles et dans un troisième temps l'immobilisation et quelque chose qu'on choisit ou une souffrance.

Comment l'immobilisation qui est un moyen de résistance et de libération ?

Tous les auteurs montrent chacun alors manière comment l'immobilisation est un moyen de résistance et/ou de libération.

Dans le texte de Jérôme Lèbre intitulé éloge de l'immobilité écrit en 2018, Il voit les immobilisations comme moyen de libération, car l'ennui permet de se distraire de lire des livres, de se réveiller, de s'endormir. il dit aussi qu'il faudrait lutter pour avoir un temps d'ennui, il prend même l'exemple, du jour de sabbat.

On peut apercevoir dans la chanson intitulé paresseuse de Bénabar écrit en 2003, Bénabar pense comme Jérôme Lèbre, car dans cette chanson, et raconter la journée d'une jeune femme. Qui pense à tout ce qu'elle a à faire dans sa journée et qui a était emporté par-là paresse et l’envie d'être immobilier et de rester chez elle.

Un autre auteur qui pense de la même façon Georges Perec, dans le texte un homme qui dort écrit en 1967, il décrit la journée d'un homme qui devait passer un examen et qui décide de ne pas se lever et qui voit l'immobilisation comme une sorte de libération car dans le texte il compare sa chambre à une île déserte où il y a du silence et où il voudrait dormir.

Dans le texte l’éloge de l'ennui et de la paresse et écrit en 2008 par Jean d’Ormesson, Il pense de la même manière car pour lui ne rien faire c'est se préparer à œuvre et il montre que les plus grandes créations sont nées de l'ennui. Il prend même l'exemple de Dieu, dieu avant de créer le monde s'ennuyer.

Ce qui nous amène à poser la question suivante quelles sont les différentes façons d'être immobiles ou de s'ennuyer ?

On peut voir que tous les auteurs montrent chacun à leur manière les différentes façons d'être immobiles ou de s'ennuyer. Jérôme Lèbre lui pense qu'il y a différentes façons de s'ennuyer ou d’être immobiles, dans son texte il prend l'exemple de la salle d'attente de notre dentiste et d'être dans un train ou dans un avion ce sont actions forcer.

Dans sa chanson Bénabar vois l’immobilisations comme une paresse, de ne rien faire, de sortir du quotidien.

Georges Perec pense de la même manière que Bénabar car lui voit l'immobilisation où l'ennui comme de la paresse de perdre son temps, de trainer ou de dormir.

Alors que Jean d’Ormesson voit l'immobilisation où l'ennui comme un point positif à la production car ne rien faire permet d’œuvrer. Il compare même l'ennui au voyage il dit que l'ennui et mieux que de voyager.

Ce qui nous conduit à nous poser la question suivante l'immobilisation est quelque chose qu'on choisit ou une souffrance ?

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