Regarde les lumières mon amour

Français : “Regarde les lumières mon amour” A.E questions

8 Novembre 2012

Les observations qui agacent Annie Ernaux sont, “être obligé de tourner longtemps avant de trouver une place qui ne soit pas située au fin fond d’un parking, loin d’une entrée” et “ s’apercevoir qu’on n’a pas un euro sur soi pour détacher un caddie ou que, en plus de tirer irrépressiblement d’un côté, celui qu’on vient de prendre contient les détritus de l’usager précédent.”

12 Novembre

Elle hésite à écrire “une femme noire” car elle a “peur” de créer une polémique puisque la diversité ethnique est un sujet controversé dans notre société.

Ici, Annie Ernaux est en discussion avec le lecteur, elle crée un dialogue fictif.

Le “consommateur normal” est une façon de décrire une partie de la société dont les moyens financier sont “normal” autrement dit moyen, il s’oppose ainsi au consommateur riche.

16 Novembre

Les rayons maquillage, psy, jouets, confitures, bio, animaux et self discount sont mentionnés dans ce jour.

Le jour se clôt sur la phrase “Dans le monde de l’hypermarché et de l’économie libérale, aimer les enfants, c’est leur acheter le plus de choses possible.”, pour illustrer cette phrase,l’auteure donne l’exemple d’une grand mère et sa petite fille, la grand mère achète à sa petite fille sans besoin simplement pour ressentir la satisfaction d’être aimer par sa petite fille.

20 Novembre

Cette remarque dénonce implicitement les propriétaires d’Auchan, elle montre les hypermarchés comme quelque chose d’omniprésent dans la vie des gens en contraste avec leurs propriétaires qui sont invisible, “des ombres”, “des êtres mythiques”.

28 Novembre

Ici, l’inégalité de la richesse d’une population d’un pays par rapport à un autre (Bangladesh et France) est mise en valeur, ici elle donne l’exemple de travailleurs(majoritairement des femmes) au Bangladesh qui gagne 29,50 euro par mois qui est plus pauvre qu’un chômeur français délocalisé.

5 Décembre

Annie Ernaux dit que “dans le centre commercial on ne voit pas le temps” car elle sous entend que un centre commercial est une enclave, sans fenêtre donc on ne voit pas l’extérieur ce qui fait perdre la notion du temps, on ne sait plus où on est ni quand, à quels moments.

Sur le rayon informatique, elle souligne la forte présence masculine à cet endroit du supermarché. Une masculinité peu agréable et se proclamant supérieur à son opposé féminine dans le domaine informatique.

Elle discute avec ce qu’elle décrit comme étant le responsable du rayon poisson, un homme au visage jeune et aux cheveux gris. Oui car il semble fier de ce qu’il fait, il utilise un dialogue exclamatif qui montre sa fierté sur sa carrière.

7 Décembre

L’organisation dont parle l’auteure est, la matin tôt la clientèle est caractérisé par des couple de retraités, lent et organisé, au milieu de l’après midi, des femmes seules, à partir de 17h des gens sortant du travail, écoliers avec mères, lycéens et enfin entre 20h et 22h des étudiants.

12 Décembre

Elle remarque qu’il y a “plus en plus de SDF dans l'ensemble de la société mais de moins en moins autour du centre commercial, à l’exception de deux endroits, qui ne font pas partie du territoire privé du centre commercial: près de l’entrée ombreuse, dans le renforcement situé entre le mur aveugle derrière lequel se trouve

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