Questions sur Perec ; « W ou le souvenir d’un enfant » chapitre 31 p 195-197

Perec ; « W ou le souvenir d’un enfant » chapitre 31 p 195-197

1. Résumez le contenu de ce passage en 3 phrases max (3pts).

Ici, le narrateur va nous parler des livres qu’il a lu étant enfant, les souvenirs qui en resurgissent, ce qu’il pensait & pense actuellement des livres et du rôle de son cousin.

1.  Quels sont les moments que l’on peut dégager de cet extrait (qu’elle est sa structure) ? une demi-page max. (3pts)

Ce passage est fait de manière à ce que chaque épisode du livre lui remémore un souvenir d’enfance.  

 Il va tout d’abord parler de son cousin, quels livres il a et ceux qu’il n’a pas, le narrateur va tout de suite donner l’impression que ça lui faisait d’être le seul des deux a les avoirs.  Des sentiments surgissent de ce souvenir. Puis, il va repartir sur Henri et ce qu’il a lu, ce qu’il lui a expliqué des livres, ce qu’il avait compris et ce qu’il se souvenait. On ressent ici aussi à travers la façon dont il perçoit ses souvenirs, la façon dont il les retransmet, les émotions qu’ils a pu avoir, et qu’il a en se les remémorant. Les souvenirs qu’il a sont précis, c’est ce qui donne les émotions, ce qui donne du relief au texte.

1.  Proposez une problématique de lecture 2 phrases max. (2pts)

On peut se demander, ce que ces lectures apportent à notre héros, quels rôles jouent-elles aujourd’hui pour lui.

1.  Quels sont les thèmes majeurs ou axes, de lecture, qui se dégage de cet extrait ? (2pts).

Les axes principaux de cet extrait sont les souvenirs d’enfance, des livres qui l’ont marqué (et pourquoi), les comparaisons entre Gaspard et son cousin, qu’est-ce que cet extrait apporte au livre.

1. Choisissez une phrase dans ce passage et commentez-la, une demi page max. (4 pts)

La dernière phrase de cet extrait est celle qui, pour moi, correspond le plus à la structure de l’extrait, à ce qu’apporte ces moments au livres, la façon dont Gaspard se remémore son enfance.

« C’est la mort de d’Artagnan qui me transportait le plus, au sens strict du terme d’ailleurs, puisque Henri me la racontait en mimant avec mon concours les principales péripéties tout en me véhiculant dans une petite charrette a bras, au cours de grandes balades que nous faisons autour de Villard chez les paysans des environs pour nous approvisionner en œufs, en lait et en beurre (je me souviens des formes de bois qui servaient à faire les mottes de beurre et de la netteté des empreintes – petite vache, fleur ou rosace- qu’elle laissaient sur le beurre encore tout couvert de gouttelettes blanchâtres). » p 197

En effet, ici Gaspard commence en nous parlant de la mort d’un personnage de ses livres, ce que ça lui a procuré, il se souvient du double sentiment qu’il a eu à travers la mort de d’Artagnan, dans la premier temps la mort en elle-même du personnage et secondement, du souvenir avec Henri dont il ne put oublier, et on peut d’ailleurs ressentir ce que le narrateur a lui-même ressenti étant plus jeune, de la joie, des moments de rire. On peut voir ici que Henri et lui étaient proches et qu’ils passaient de bons moments ensemble, et Gaspard s’en souvient bien, puisque ce souvenir lui en rappel d’autre, c’est-à-dire qu’il va se souvenir du but des ballades qu’ils faisaient, et des moules qui faisaient des dessins sur le beurre.

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