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Question de corpus, extraits de pièces de théâtre

Dissertation : Question de corpus, extraits de pièces de théâtre. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  5 Mars 2017  •  Dissertation  •  559 Mots (3 Pages)  •  1 377 Vues

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Ce corpus regroupe trois textes, extraits de pieces de theatre. Le premier texte est un extrait de "il ne faut jugrer de rien",acte I, scene 2, écrit par Musset en 1836. Le second est lui, un texte de "Le Voyage de Monsieur", acte IV, scene 3, écrit en 1860 par Labiche. Et enfin le dernier est un texte de Beckett écrit en 1952 qui est un extrait de "En attendant Godot". Nous allons donc voir en quoi ces trois textes sont comiques.

Premierement, on remarque que dans les trois textes il y a confusions entre les personnages et que les dialogues n'ont plus de sens. Dans le premier extrait la Barrone ne parle pas de la même chose que l'abbé et répond mal aux questions de sa fille. De plus à la ligne 39 l'abbé ne comprend pas le sens de la phrase de la Baronne, pensant à quelque chose de sexuel, tandis que la Baronne parlait tout juste de sa pelote de laine bleue. Ce sont des dialogues décalés et les quiproqos, où certains personnages ne comprennent pas la situation qui engendrent un coté comique à la pièce. Comme dans le second texte ou Perrichon et Majorin sont confus de la situation puisqu'ils ne comprennent pas la réaction d'Henriette de Caroline (ligne 29).

En effet Perrichon part faire un duel accompagné de Majorin, il dit donc adieu a sa fille avec émotion (ligne 5, 11) et Majorin est révolté (ligne 14,32) puisque henriette arrosse tranquillement ses fleurs (ligne 1, 7) et la femme de Perrichon à la même réaction que sa fille, comme si son mari allait juste faire une balade (ligne 23, 27) et lui dit de rentrer pour le diner. Enfin le dernier extrait à un dialoque completement bouleversé, la confusion est au rendez-vous.

Tout d'abord nous avons le personnage Lucky qui ne parle pas, on peut penser que c'est un chien puisque Pozzo le tien en laisse, mais c'est contradictoire au fait qu'il porte des bagages, ou alors c'est un homme mais ca voudrait dire qu'un homme tien un autre homme en laisse, ce qui n'est pas du tout commun, et il pourrait parler. Puis nous avons la même question répétée plusieurs fois (ligne 1, 10, 23, 26 et 43 mais il y interruption avec la réplique de Pozzo) mais sans jamais de réponse au final. De plus la fin de discussion est basée autour du mot "demander" (ligne 19, 20, 23, 14, 25, 41). Avec la confusion et l'incompréhension des personnages il ne comprennent plus le sens de leurs propres phrases, et engendre une incomprension totale pour le lecteur (avec une touche en plus, ligne 18).

Pour conclure je dirais que les auteurs se basent principalement sur les dialogues, même si les didascalies jouent aussi un rôle important. Dans le premier extrait il n'y a pas de didascalie, ce qui fait qu'on se concentre plus sur le texte, et on comprend la confusion de l'abbé ou l'attente d'une réponse du maitre de danse. Le deuxieme texte joue beaucoup avec les émotions des personnes: le contraste entre la tristesse de Perrichon et l'attitude indifférente de Mme Perrichon et sa fille. Pour finir, le dernier extrait se base sur le questionnement et l'interrogation de soi même des personnages, ou bien les personnages qui vont attendre une réponse sans bouger, ou encore le nom des personnage et leur attitudes.

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