Pourquoi phèdre et la princesse de clèves sont elles des personnages tragique

Anton Appel 1°1

Dissertation :

Pour quelles raison peut-on affirmer que la Princesse de Clèves et Phèdre sont des personnages tragiques ? Vous organiserez votre réflexion et l’illustrerez d’exemples pris dans l’oeuvre étudié et dans les textes du parcours associée.

        La Princesse de Clèves est une œuvre classique du XVIIème siècle, écrit par Madame de la Fayette en 1678. Le roman -ou nouvelle selon les points de vue- se passe à la cour de Henri II. Il présente une intrigue contrapuntiste, avec des histoires mélées. C’est aussi un roman psychologique, car il présente un développement interne des personnages. Il est aussi dans le courant de son époque, car il contient une partie épistolaire, comme les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos. Madame de la Fayette (Marie-Madeleine Pioche de La Vergne, comtesse de La Fayette), est issue de la petite noblesse. Au cours de sa vie, elle vas fréquenter les salons, et rencontrer les auteurs connus de son époque, comme Madame de Sévigné, avec qui elle vas nouer des liens très forts, mais elle cotoira aussi d’autres auteurs comme Larochefouclaut. Elle est principalement connue pour son romans la Princesse de Clèves mais aussi pour sa nouvelle la Princesse de Montpensier. L’histoire prend place à la cours de Henri II, au XVIème siècle. Mlle de Chartres, qui a été éduquée dans la vertue par sa mère, et qui est aussi sublime qu’intelligente, est mariée au prince de Clèves, qui est follement amoureux d’elle. Elle rencontre ensuite le duc de Nemours, et tout deux s’attachent amoureusement, au contraire des idées de la cours au XVI ème siècle. Elle avoue ses tentations d’adultères à son mari, qui se tue de chagrin. Mme de Clèves, maintenant veuve à seize ans, refuse le mariage avec le duc de Némours, même si elle l’aime. Elle finis par prendre sa retraite dans la campagne. Les personnages importants sont le duc de Némours, qui est un personnage, courreur de jupons, de la cours du roi, qui est l’amant de la princesse de Clèves. La princesses de Clèves,  qui est la femme du prince de Clèves, elle est le personnage principal, dont on vois le mieux l’evolution psychologique, elle as été élevée par sa mère dans la vertue, et la connaissance des dangers de la courtoisie. Henri II, roi de France de 1547 à 1559, le romans se passe durant son règne et enfin le Prince de Clèves qui est l’époux de la princesse, mais qui mœurs de chagrin lorsqu’elle lui dévoile ses tentations d’adultères.

Phèdre est une pièce de théatre classique du XVII ème siècle, qui raconte l’histoire de Phèdre, l’épouse de Thésée, qui a un fils de son premier marriage, Hippolyte. Phèdre, punnie par les dieux, tombe amoureuse de son « beau-fils », Hippolyte, et, par un malheureux concours de circonstance, lui livre la véritée a propos de son amours incestueux envers lui. Hyppolite fuis, et mœurs en mer, elle, vas mettre fin a sa vie, à la dernière scène de la pièce, en se faisant avaler du poison.

Il serait donc interessant de se demander comment les personnages de la Princesse de Clèves et de Phèdre sont des personnages tragiques. Une tragédie représente des personnages qui subissent leurs destins, souvent inculqués par les dieux. Dans le roman, le destin guide le parcours des personnage, qui sont confrontés à une lutte contre la passion, et l’acomplissement de leurs destin est vertueux pour le lecteur.

        Le destin guide le parcours du personnage, car, il subit le déroulement de l’histoire, par exemple, la Princesse de Clèves, est trop jeune pour prendre des décisions, et doit donc subir les contraintes sociales, ainsi son marriage est arrangé par les deux familles, la mère de Mlle de Chartres et le Prince de Clèves.  « Mlle de Chartres répondit qu’elle lui remarquait les mêmes bonnes qualités; qu’elle l’épouserait même avec moins de répugnance qu’une autre, mais qu’elle n’avait aucune inclination particulière pour sa personne. ». Phèdre, elle, subit le courroux des dieux, qui lui infligent son amour incestueux. Elle ne l’a jamais choisi, mais les dieux lui ont inlfigé : « le ciel mit dans mon coeur une flamme funeste ». C’est ce qui fait de l’oeuvre Phèdre une tragédie.

Le hasard joue aussi un rôle dans l’évolution des personnages : dans la Princesse de Clèves, l’héroïne rencontre le Duc de Némours, au bal,  et bien qu’il se connaissaient de réputation, cette agrégation est purement fortuite. Dans la pièce de Racine en revanche, c’est le fait que Thésée soit porté mort - à tord - qui fait que Phèdre délie sa langue. Si le hasard interviens, peut être est-il nommable ? Dans le cas de la princesse de Clèves c’est le roi qui lui demande de prendre « celui qui arrivait », et ce « celui » c’est le Duc de Némours. Dans Phèdre, le hasard c’est une rumeur, qui coure et qui dit le roi Thésée mort. Peut être que les dieux y sont pour quelques chose, puisque leurs courroux s’abat sur Phèdre, et qu’ils ont de l’interet à sa mort. C’est le point de bascule qui fait que Phèdre annonce son amours incestueux, et qui par éboulement entraîne son suicide, le décès d’Hippolyte et celui d’Oenone. « Cher ami, si mon père un jour désabusé Plaint le malheur d’un fils faussement accusé [...] » 

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