Portrait moral de Tartuffe

JIOOHIOHIOHIIOEFHIUIHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHemmancipation feminine.

PREMIER PARTIE : PREMIERE PARTIRE

Dans cette pertie nous allons evoqués la situation de la scène , en effet cette scène se deroule chez Orgon, cependant on ne dispose pas d'information sur le lieu de la pièce mais d'après la regle de 3 unites de lieux oinn en deduit que cette scène se passe durant une journée.Les personnages qui contrastent sur scène sont Tartuffe et Elmire. Des lors on peut déjà planté la situation de la sène , en effet cette scène s'articule autour de Tarrtuffe l'un despersonnages principal de la piièce qui cherche à séduire et à justifier son comportement envers Elmire qui elle est l'une des oppasantes de la pièce et qui consciente de l'imposture de Tartuffe, à expliquer « sa passion » et à persuader Elmire d'accepter ses avances . Dans la tirade de Tartuffe qui a deja évoque ses sentiments, il cherche donc se justifier envers Elmire, à expliquer sa passion envers elle et enfin à la persuader d'accepter ses avances.

Ainsi on peut déjà avoir une certaine reflexion sur ce personnage, en effet un tel discours apparaît donc completement absurde voir m^me paradoxale pour un Homme d'Eglise qui doit obligatoirement être chaste et faire preuve d'une certaine tempérence, un retient de l'appel de la chair. En somme, on a donc déjà un certai portrait de Tartuffe assez péjoratif car il apparaît donc comme un imposteur, un hyprocrite religieu.

On note en effet l'evocation de son portrait de maniere assez pejorrative dans cette pièce, effectivement Molier eessaie de faire ressortir l'infami et l'hycrosie de Tartuffe .

+portrait moral de tartuffe

LECTURE ANALYTIQUE

une tentative de seduction innatendue

Dans la tirade de Tartuffe on note un prédominace du registre lyrique (expression des sentiement) notamment avec l’expression du désir qui reste cependant très nette dans l’appel lancé à Elmire. Elle doit le « contempler d’une âme un peubénigne« , c’est-à-dire se montrer « bonne » et généreuse pour effacer les souffrances qu’elle lui fait endurer. Il serait donc logique qu’Elmire, fautive en quelque sorte, répare cette faute en cédant aux avances de Tartuffe : « que vos bontés veuillent me consoler ». De surcroit, ce vocabulaire du registre lyrique s'aricule autour du fait qu'il évoque sa passion envers Elmire (« de mon intérieur vous fûtes souveraine », « un cœur se laisse prendre ». Enfin, on note également un croisement entre le champs lexical de la dévotion et le champs lexical du corps (« vos célestes appâts » qualifie les charmes du corps féminin, repris par « attraits » ;  sa « splendeur plus qu’humaine » donne une image du rayonnement telle une icône religieuse. Il évoque ses  »regards divins« ) qui montre l'attirance Tartuffe pour la chair et ce qui insiste une nouvellle fois sur son imposture, enfin Tartuffe porte une très grande importance au regard ce qui montre sa passion.

De surcrît, dans cette tirade on note l'evoquation d'un

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