Les morales des fables de La Fontaine

Les fables de la fontaine

Le lion, le loup et le renard : quiconque conçoit contre un autre de perfides desseins prépare un piège contre lui-même

La cigale et la fourmi : le travail est fondamental, il faut savoir être prévoyant. A la fin de la fable la cigale se retrouve dépourvue tandis que la fourmi a tout prévu pour les jours difficiles.

Le corbeau et le renard : apprenez que tout flatteur dépend de celui qui l’écoute. Cette fable nous fait comprendre que la sagesse est toujours plus forte et ce que peut l’esprit.

La grenouille et le bœuf : « Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs, tout petit prince a des ambassadeurs, tout marquis veut avoir des pages. »

Paraitre plus important que ce que l’on est

Ici la grenouille veut tellement paraitre plus importante que le bœuf que sa vanité lui fera perdre la vie

Les deux mulets : rapport avec la grenouille et le bœuf ; ici c’est l’un des mulets qui est crevée d’un coup d’épée. Double sanction pour un amour-propre exagéré. « Il n’est pas toujours à avoir un haut emploi. »

Le loup et le chien : mieux vaut vivre affamé qu’attaché

La Genisse, la chèvre et la brebis en société avec le lion : la loi du plus fort ; l’alliance avec un plus puissant n’est jamais fermement assuré.

La besace : « Parmis les plus fous notre espèce excella : car tout ce que nous lynx envers nos pareils, et taupes envers nous sommes. Nous vous pardonnons tout, et rien aux autres hommes. On se voit d’un autre qu’on n’en voit son prochain le fabricateur souverain , nous créa besaciers tous de meme manière tant ceux du temps passé que du temps d’aujourd’hui, ll fit pour nos défauts la poche de derrière et celle de devant pour les défauts d’autrui. »

L’hirondelle et les petits oiseaux : « nous n’écoutons d’instinct que ceux qui sont les notres, et ne croyons que le mal que quand il est venu. »

Il dénonce la facheuse tendance humaine à ne voir que son semblable

Le rat de ville et le rat des champs : cette fable nous montre la difference entre les gens de la ville et les gens de la campagne. Ceux de la ville sont plus tracassé alors que ceux de la campagne sont plus calmes et sereins.

Le loup et l’agneau : « la raison du plus fort est toujours la meilleure »

L’homme et son image : dénonce l’incapacité des hommes à voir leurs défauts, la narcissisme est leur amour propre.

« Notre ame, c’est cet homme amoureux de lui-même, tant de miroirs, ce sont les sottises d’autrui, miroirs, de nos défauts les peintres légitimes »

Le Dragon à plusieurs têtes et le Dragon à plusieurs queues : Cette fable illustre deux façons de diriger un pays , de façon imagée, Dans les premier cas, le dirigeant est un dragon à plusieures tetes et cela ne va pas pour diriger, Quand il y a trop de chefs pour un meme territoire, cela ne va pas. Par contre pour le dragon qui a une seule tetes et pleureuses queux (sous-entendu ministres … ) cela fonctionne bien .

Les voleurs et l'âne : Les conflits sont

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