Nouvelles Technologies

PLAN

I) Nouvelles technologies : effets bénéfiques

a) L’évolution des nouvelles technologies

b) La conversation réactionnelle

II) Nouvelles technologies : effets néfastes

a) Une addiction difficile à surmonter / à vaincre

b) Les réseaux sociaux : l’échange réel est de plus en plus rare

L’usage des nouvelles technologies et des réseaux sociaux peuvent avoir des effets bénéfiques mais aussi néfastes. C’est ce à quoi réfléchit ce dossier composé de quatre documents :

Un extrait de l’article du journal quotidien Le Parisien « L’addiction aux réseaux sociaux et à l’Internet fait des ravages en Argentine » écrit par l’Agence France Presse, et publié en mars 2012, un essai de Philippe Breton « Internet : une fausse révolution ? » publié en 1999, un extrait de l’article du journal quotidien Le Monde « Comprendre Facebook (1/3) : le rôle social du bavardage » écrit par Hubert Guillaud, et publié en juin 2011 et enfin, un autre essai de Cédric Biagini « Une vie par procuration » publié en 2007.

On peut se poser la problématique suivante :

L’usage des nouvelles technologies ont-ils des effets bénéfiques ?

Tout d’abord, Internet ne cesse de progresser car Philippe Breton met en évidence le fait qu’il permet désormais de converser tout le temps, avec tous et dans la totalité du monde, de plus, elle facilite la communication dans le temps et la distance. Cédric Biagini le rejoint sur ce point.

En effet, il explique qu’on peut éteindre et se déconnecter de l’autre quand bon nous semble et le risque et les contraintes de la relation humaine disparaissent.

Ensuite, Philippe Breton évoque dans son essai que la conversation réactionnelle a besoin d’instantanéité, d’un code transparent et de tout ce qui facilite la communication dans le temps et dans la distance. Ce qui signifie qu’elle permet d’interagir et d’échanger instantanément.

Cependant, l’usage des nouvelles technologies ont aussi des effets néfastes.

Tout d’abord, l’addiction à l’Internet et surtout aux réseaux sociaux est un problème au niveau mondial comme le montre l’Agence France Presse avec l’exemple de l’Argentine, pays le plus touché de la planète. Les gens ne peuvent plus se passer des échanges numériques au point d’en oublier le contact réel et humain. L’auteur parle même de pathologie et partage l’avis d’Hubert Guillaud qui affirme que la pathologie majeure de Facebook est le bavardage. Il montre que ce réseau social ne donne pas lieu à de véritables échanges mais véhicule un simple besoin de communiquer.

L’Agence France Presse insiste sur les conséquences liées à la santé. Il y a un impact sur la scolarité, sur le travail, sur l’alimentation et même sur le sommeil. De plus, les personnes peuvent également devenir agressives.

Cependant, l’addiction peut avoir d’autres causes, l’Agence France Presse le souligne en exprimant l’idée que des personnes ont des difficultés à établir

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