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Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Eric-Emmanuel Schmitt

Résumé : Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran, Eric-Emmanuel Schmitt. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Novembre 2019  •  Résumé  •  946 Mots (4 Pages)  •  962 Vues

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Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran un livre d’Éric-Emmanuel Schmitt qui raconte l'histoire d'un enfant qui a onze ans et s'appelle Moïse. Il habitait dans la rue bleue à Paris, une rue juive. Il y habitait dans un appartement avec son père qui donnait l’impression d’être un homme très triste et qui n’aimait pas son fils. Il passait la plupart du temps au travail, et à la maison en train de lire. Il ne s’intéressait pas à Moïse et l’obligeait à faire le ménage, la course et à cuisiner. Il lui parlait aussi tout le temps de son frère Popol. La mère de Moise est partie peu de temps après sa naissance. Un jour, Moïse a fait la connaissance de monsieur Ibrahim, l’épicier arabe de la rue bleue. Dans l’épicerie de monsieur Ibrahim, Moïse faisait les courses pour son père, et il lui disait tout le temps qu’il savait ce qu’il avait dans son coran. Le père de Moise a aperçu que Moïse volait son argent, alors Moïse a commencé à voler des articles dans l’épicerie de monsieur Ibrahim. Mais le sage homme savait ce que le jeune juif y faisait. Un jour, monsieur Ibrahim lui a dit qu’il n’était pas arabe et qu’il est venu du Croissant d’Or. Dans une journée, il y a eu un tournage d’un film dans le quartier où ils vivaient et une actrice a acheté une bouteille d’eau dans l’épicerie de monsieur Ibrahim. Quand l'actrice est passée à la caisse, le sage musulman a augmenté le prix de la marchandise, alors Moïse lui a demandé pourquoi la bouteille d’eau avait été plus chère pour elle, monsieur Ibrahim lui a répondu qui était pour récupérer l’argent qu’il perdait quand il le voulait. À ce moment-là a commencé l’amitié entre Moïse et Monsieur Ibrahim. Ce dernier a dit si Moïse voulait voler, qu’il devait y faire juste dans son épicerie. Monsieur Ibrahim a donné des consignes au jeune garçon de comment retirer de l'argent de son père sans qu’il s’en rende compte. Moïse a fait ce que monsieur Ibrahim lui a dit et il a obtenu 200 francs pour visiter les dames dans la Rue du Paradis. Monsieur Ibrahim n’appelait pas Moïse par le son vrai prénom, il l’appelait seulement Momo. Un jour, le père de Momo l’a quitté en lui laissant une lettre et tout l’argent qui lui restait. Et, en plus, une liste avec quatre noms que Momo ne connaissait pas. Mais Momo n’a dit à personne que son père l’avait quitté. Il faisait la cuisine pour deux, comme si son père était là, seulement pour tromper les voisins. L’arabe du coin a dit à Momo qui c'était mieux de sourire de temps en temps. À cause de son sourire, Momo pourrait obtenir beaucoup de choses, par exemple, les dames de la rue du Paradis. Il s’est rendu compte que les personnes étaient plus sympathiques quand il souriait.  Lorsque Momo a dépensé tout
l’argent de son père, il a commencé à vendre les livres de son père. Un matin, la police a frappé à la porte et les policiers ont dit que son père est mort. Momo leur a donné la liste avec les quatre noms que son père avait laissés. Et puis, il a commencé à tout changer dans l’appartement. Dans un jour, une femme est rentrée dans son appartement. Elle a cherché par Moïse et a demandé à Momo s’il savait où il était. Momo lui a dit qu’il s’appelait Mohammed et que Moïse était parti. La femme savait que Mohammed était son fils. Mais elle a joué le jeu de Momo. En plus, la mère de Moise lui a dit qu’elle n’a jamais eu d’enfant avant Moïse. Momo a demandé à monsieur Ibrahim que l’adopte, ainsi, il l’a fait. Momo voulait partir sur le Croissant d’Or avec lui. Cependant, monsieur Ibrahim n’avait pas un permis de conduire et voulait acheter un véhicule. Monsieur Ibrahim avait peur d’aller en voiture et il a pris des leçons d’auto-école avec Momo. Momo n’avait pas l’âge et donc, cela a été monsieur Ibrahim qui a appris à conduire. L’épicière de la rue bleue a réussi à l’examen pour obtenir un permis de conduite grâce à l’aide non conventionnelle de Momo qui était dans la voiture au moment de l’examen. En été suivant, les deux amis ont commencé le voyage, sans but précis ni carte. D’abord, ils se sont promenés en Europe et ont connu  beaucoup de villages.
Monsieur a voulu d’abord y aller seul. Momo l’a attendu sous un olivier jusqu’à minuit. Il marche jusqu’au prochain village. Quand il est arrivé sur la place, les gens l’ont emmené à une grande maison. Monsieur Ibrahim était étendu sur un lit et il lisait. Il se rendait compte qu’il allait bientôt mourir. Il a eu un accident de voiture, qui s’est planté contre un mur. Monsieur Ibrahim dit que le voyage arrêterait ici. Momo s'est mis à côté de monsieur Ibrahim jusqu’au meurtre de son père adoptif. Momo est revenu à Paris et a découvert que monsieur Ibrahim a tout prévu. Il s’est émancipé et a fait Momo hérite de son argent, de son épicerie, et de son coran. Dans son coran il avait deux fleurs séchées et une lettre de l’ami de monsieur Ibrahim. Tous les lundis, Momo, sa femme et ses enfants allaient chez sa mère pour souper avec elle. À ce moment-là, il était Momo, celui qui a tenu l’épicerie de la rue bleue, la rue bleue qui n’était pas bleue. Pour tout le monde, il est devenu l’arabe du coin. L'arabe, cela veut dire, « ouvert de huit heures au minuit et le dimanche », dans l’épicerie.

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