Madame De La Fayette

Au XVIIème siècle de nombreux écrivains s’intéressent à l’écriture du roman. C’est un genre littéraire qui a connu de multiples formes du XVIIème siècle à nos jours. Les lecteurs sont plus gourmands des romans baroques caractérises par leurs longueurs et leurs aventures féeriques ou imaginaires. Cependant, La Princesse de Clèves qui parait anonymement par Marie-Madeleine de la Fayette (1634-1693) au XIème siècle est un roman bref. Elle fréquente les salons parisiens des 1652. Ses premiers essais d’écriture vont au portrait, nouvelle historique et galante fort en vogue. Ce roman est une histoire d’amour entre deux personnes, La Princesse de Clèves et le Duc de Nemours. Nous étudierons en quoi Madame de la Fayette utilise le portrait pour exposer sa vision de la femme. Dans un premier temps nous verrons l’incarnation de la beauté absolue chez la femme puis nous verrons qu’elle est l’éducation idéale pour celle-ci.

Dans un premier temps le début du récit commence par une description du portrait d’une jeune fille qui n’est pas basé sur une description physique. L’auteur a décidé d’utiliser le point vu omniscient accompagner du registre épidictique. Madame de la Fayette à sauter l’étape physique et est tout de suite amener à une occurrence de la « beauté » : « beauté a la Cour » (ligne 1), « beauté parfaite » (ligne 2), « son esprit et sa beauté » (ligne 10) et « grande beauté » (ligne 29). L’adjectif « parfaite » nous laisse imaginer que cette jeune femme est un canon de beauté sans même en avoir eu la description, Mlle de Chartres a attirait l’attention de la population « Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde » (ligne 1). Au cours de l’avancement de la lecture du récit on apprend des informations personnelles sur Mlle de Chartres. Elle a une mère « madame de Chartres » (ligne 6) veuve depuis le plus jeune âge de la jeune fille « Son père était mort jeune » (ligne 5). Vers la fin du récit Madame de la Fayette a pris l’initiative de nous dévoiler une brève description de Mlle de Chartres « La blancheur de son teint et ses cheveux blonds » (ligne 30). A l’époque les femmes au teint laiteux était signe de richesse de femmes d’intérieur et entretenu comme on peut le constater elle est issue d’un milieu de la haute bourgeoisie « vidame » (ligne 4). Pour accentuer ce stéréotype on retrouve des termes dignes d’une bombe de beauté « traits réguliers, son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes » (ligne 31-32). Une analepsh (lignes 5-24) elle résume l’éducation de Mlle de Chartres, sa mère s’est battu pour lui donner une éducation digne de selon, la Cour lui en complimente.

Une bonne éducation à l’époque était bien vu et signe d’appartenir au cercle très fermé de la noblesse.

Madame de Chartres après le décès de son marie c’est occuper de l’éducation de sa fille, « elle avait donné des soins à l’éducation de sa fille » (ligne 9), elle utilise le registre didactique en voulait faire de sa fille un modèle d’élégance et de politesse « son esprit et sa beauté » (ligne 10), par l’emploi de verbe d’état « vertu » (ligne 10) et « la rendre aimable » (ligne 11). On voit qua ca mère passe énormément de temps à son éducation « elle avait passé plusieurs années

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