Les avantage de la vie en société et les avantages de la vie solitaire

Ce corpus est formé de quatre documents (trois extraits de texte et une photographie), venant chacun d'un siècle différent mais traitant tout de même d'un même thème : la vie en société. Ce thème apparait dans chacun des textes et dans la photographie. Cependant, le point de vue des auteurs et leurs façons d'argumenter different, en partie à cause de ce décalage d'epoque et par conséquent de la culture de leur temps. Nous allons etudier,dans un premier temps les avantages de la vie en societe et dans un second les avantages de la vie seul et par quel procédé ?

Premièrement nous distinguerons deux groupes : l'extrait issue de Pensées de Blaise Pascal ainsi que l'article "société" de l'Encyclopédie ou dictionnaire raisonné des sciences, des arts et métiers de Diderot et d'Alembert ventes les bienfaits de la vie en société sur l'homme. Il la trouve nécessaire, pour eux, l'homme hors de la société ne peut "se procurer un vrai & solide bonheur". Leur seul différence est que dans l'article de l'Encyclopédie, le coté "dépendance" des hommes entre eux est beaucoup plus marqué alors que pour Pascal, c'est le "divertissement" des hommes entre eux qui ressort le plus dans son texte.

En opposition avec ces precedents texte, se trouve la photographie de Alexey Tirarenko et l'extrait intitulé "solitude" des Petits poèmes en prose de Charles Baudelaire. Le premier montrant que la socièté peut être comparé à de simples fantomes, et que le fait de se balader dans les rues, revient à se mouvoir dans un monde fantomatique, comme si l'on était seul au milieu des autres. dans l'extrait "solitude" de Charles Baudelaire, le fait de ne pouvoir être seul est vu comme "un grand malheur".

Pour argumenter leur vision, de nombreux procédés différents sont utilisés par tous ces auteurs. Tour d'abord, la persuation. Ils font appel aux sentiments ou aux émotions du destinataire pour l'amener à suivre leur pensée. C'est notament le cas dans l'extrait de Pascal avec la référence au "bonheur", au "malheur", entrainant l'envie d'avoir accès à ce bonheur en suivant ses idées. De plus, la forme persuasive se retrouve dans le texte de Baudelaire avec des notions comme "démon", venant choquer les lecteurs pour y attirer leur attention. Titarenko utilise la technique de la pose longue qui met en évidence uniquement quelques personnes immobiles, rendant flou les autres et créant cette atmosphère fantomatique, voir effrayante pour certains.

D'autre part, ces écrivains essayent de convaincre leurs destinataires en s'appuyant sur des arguments logiques, faisant appel au bon sens. Pascal utilise la figure du roi, personne très importante à son époque, pour appuyer ses propos. Diderot et d'Alembert, quant à eux, font réference à "Dieu" et à ses intentions pour signaler que leurs propos vont dans le sens de Dieu. Mais également, ils citent Sénèque, un philosophe romain qui aurait tenu des idées allant dans le même sens qu'eux. Baudelaire, lui, discrimine les arguments des personnes s'opposant à son idéologie.

Pour conclure les auteurs on des

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