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Les Morales Des Fables De La Fontaine

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Par   •  31 Octobre 2013  •  502 Mots (3 Pages)  •  5 489 Vues

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Les deux mulets

Cette fable nous conte l’histoire de deux ânes qui marchaient ensemble: l’un portant de l’avoine, et l’autre de l’argent de la gabelle. Celui portant l’argent se fait attaquer et est blessé. L’autre âne lui dit « Il n’est pas toujours bon d’avoir un haut emploi ». L’âne qui servait un meunier avait un « emploi » moins élevé, moins important, mais au moins il est en bonne santé car on ne l’attaque pas, car ce qu’il transporte n’est pas « important ».

Le loup et le chien

Un loup affamé et affaibli rencontre un chien gras, beau et puissant. Le loup fait des compliments au chien qu’il admire, et celui-ci lui dit que si il veut être aussi bien soigné que lui, il n’a qu’à le suivre, et obéir à son Maître. Mais la contrepartie de ces soins est que le chien est attaché et qu’il est au service son Maître, justement. Le loup lui répond qu’il préfère être affamé mais libre, que bien nourri et asservi. La morale de cette histoire est que la liberté n’a pas de prix. Il vaut mieux être libre mais affamé, que bien nourri mais attaché.

La génisse, la chèvre et la brebis, en société avec le lion

C’est l’histoire d’une génisse, d’une chèvre et d’une brebis qui décident de s’associer à un lion (le seigneur du voisinage) pour partager les gains et le dommage. Un cerf se trouve pris dans les lacs de la chère. Celle-ci convie ses associés pour le partage. Le lion découpe le cerf en 4 parts et avertit les autres que les 4 morceaux sont pour lui. Il les met en garde et menace de les étrangler si ils touchent aux morceaux de viande, en avançant des arguments douteux. La morale est explicite :

« La raison du plus fort est bien sûr la meilleure » Ici, cela signifie que même si ce que dit le plus fort (ici le loup) n’est pas vrai, comme il est le plus fort, c’est ce qu’i

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l pense qui va l’emporter. Car si les autres ne sont pas d’accords, il les dévore.

La besace

Plusieurs animaux se critiquent les uns les autres, et chacun pense être mieux que l’autre. Chaque animal critique ses congénères et ne voit pas ses propres défauts.

Morale :« On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain. »

Cette fable fait référence à la fable de « la poutre et la paille ». La morale de celle-ci est qu’il est plus facile de voir la paille dans l’œil de son voisin, que la poutre dans son œil. Cela signifie qu’il est facile de critiquer les autres, quand on ne voit même pas ses propres défauts.

L’hirondelle et les petits oiseaux

Une hirondelle avait beaucoup voyagé et connaissait bien le monde qui l’entourait. Un jour elle voulut prévenir des Oisillons qu’un fermier semait et qu’il fallait manger les graines, sinon les graines pousseraient et le fermier amènerait des pièges pour capturer les Oisillons (pour qu’ils ne mangent pas les plantes). Les Oisilons n’ont pas ...

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