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Lecture cursive, Candide, Voltaire

Fiche de lecture : Lecture cursive, Candide, Voltaire. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  15 Octobre 2017  •  Fiche de lecture  •  798 Mots (4 Pages)  •  3 254 Vues

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Lecture cursive, Candide

1- Pour moi, le chapitre reflétant le plus l'esclavage est le numéro 19 parce que l'on rencontre un esclave noir dans un état pittoresque de par le manque de membres (main, jambe). Cela reflète l'état pitoyable des esclaves à cette époque. Il dit alors qu'il a perdu ses membres à cause du travail pénible sur les champs « c'est à ce prix que vous mangez du sucre en Europe ».

La guerre, elle est reflétée par le chapitre 3, puisque Candide découvre la bataille, et est d'ailleurs fasciné par celle-ci : « Rien n'était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonnée que les deux armées. ». La guerre est représentée par ce champ de bataille, rempli de cadavres « Il passa par dessus des tas de morts et de mourants. ». Enfin, l'intolérance religieuse est décrite dans le chapitre 6, dans lequel Candide est persécuté par l'Université de Coïmbre afin d'empêcher un tremblement de terre. Pour l'Université, persécuté et brûler des personnes aidera à empêcher la catastrophe de se produire. Pangloss sera alors brûler et Candide sera fouetté.

2- Cunégonde était dans la rue en direction de la maison de son ami. Pendant qu'elle marchait, elle croisa alors Voltaire, grand écrivain du XVIIIᵉ siècle. Elle alla directement le questionner à propos de son livre « Candide » qui l'avait beaucoup marqué.

  • Bonjour Voltaire, heureuse de vous rencontrez, avez vous quelques minutes à m'accorder ? Je voudrais vous questionner à propos de votre chef-d’œuvre qu'est Candide.
  • Merci pour l'attention que vous portez à mon livre, posez moi toutes les questions qui vous passent par la tête, j'ai tout mon temps devant moi. Préférez vous qu'on aille chez moi ? Nous serons sans doute plus confortablement installé qu'ici dans la rue !
  • C'est vraiment gentil de m'accorder du temps, allons chez vous.                                  

Cunégonde et Voltaire vont donc chez l'écrivain pour s'installer dans le sofa.

  • J'ai donc quelques questions à propos de votre livre, qu'est ce qui vous a pousser à écrire cette histoire ?
  • J'ai voulu retransmettre cette histoire pour aborder différents sujets sensible de ce siècle, comme l'esclavage à travers les personnages du Fils de Thunder-Ten-tronck et également grâce aux esclaves noirs. J'ai aussi abordé le sujet de la guerre avec Candide qui en est fasciné. L'intolérance religieuse est représentée par le désir d'esquive du tremblement de terre.
  • Pourquoi avoir mis Candide au centre de cette histoire ?
  • J'ai choisi de prendre Candide comme personnage principal car la siginification de ce nom représente son caractère crédule et sa sincérité naïve. Ce personnage innocent correspondait donc parfaitement à l'histoire que je voulais faire passer.
  • Vos engagements philosophiques sont également très poussé dans l’œuvre, quel message vouliez vous faire passez ?
  • Le message que je voulais faire passez est assez fort, dans le sens où j'attaque la philosophie de l'optimisme de Leibniz. Je démontre que cette philosophie est fausse en apportant par des faits, Candide ne rencontrant que des malheurs, comment continuer à dire que nous vivons dans le meilleur des mondes possibles ? Dans mon récit je critique également la société et dénonce le fanatisme religieux, l'esclavage et l'absurdité de la guerre à travers différents sujets et chapitres.
  • Merci pour ces réponses, à bientôt Mr Voltaire.
  • De rien, au revoir.

3- Le héros de cette histoire qu'est Candide, a beaucoup évolué au cours du roman, notamment au niveau intellectuel et moral. En effet, au début du roman, Candide est perdu et est hésitant. Il a toujours besoin de l'avis de quelqu’un. Il est tiraillé entre deux philosophie de ses amis, Panglos et Martin et ne sait pas laquelle adopté. A la fin du roman, Candide s'apercoit qu'il est plus simple pour lui de construire sa propre philosophie de vie. Il préfère alors travailler que penser et donc se met à travailler. On peut d'ailleurs relever une citation qui développe très bien cette idée : « Il faut cultiver son jardin ».

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