Lecture Analytique : « A Une Passante »

Lecture analytique : « A une passante », Les Fleurs du mal, Les Tableaux parisiens, Charles Baudelaire.

INTRODUCTION :

Au XIXème siècle, l’époque était au romantisme et, au début du modernisme. Charles Baudelaire était un des piliers de cette époque par sa manière d’écrire, héritier du romantisme et du parnasse, ces œuvres souvent incomprises, faisaient preuve de sa richesse stylistique et de son envie de renouveau. Le recueil Les Fleurs du mal, fut interdit à cause de l’obscénité et l’immoralité de ses poèmes, sa publication vue le jour en 1861 officiellement et avec elle apporta à Baudelaire la gratitude digne de sa richesse poétique.

Comment Baudelaire voit il la femme, passante de son poème.

Tout d’abord, Nous observerons dans les deux premiers quatrains, comment Baudelaire raconte sa rencontre avec la femme, et comment il la perçoit d’un simple regard. Ensuite, L’explication des deux dernier quatrains devra montrer comment, aussi vite qu’il l’aperçu, elle repartit, et le rêve de Baudelaire de côtoyer une tel femme. Enfin, la conclusion regroupera les idées des deux parties, pour relater le désespoir et la position du poète face à l’inaccessible amour qu’il raconte.

I) La description de la femme. (deux premiers quatrains)

A) Les premières impressions de Baudelaire. (premier quatrain)

Dans le premier vers, l’auteur met en place la ville de Paris, bruyante et animée. Les 3 Vers suivant, la rencontre avec la femme se produit. Il raconte par ses mots « Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse » (Vers 2) la tristesse et la beauté de celle-ci.

B) Sont approche plus précise face à la femme. (deuxième quatrain)

Il décrit cette femme comme une source de douleur et de fascination. De ses yeux bleus il retire de la douleur et du plaisir dévastateur en décrivant celui-ci tel un « ouragan » (Vers 7).

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