LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Le survenant

Dissertation : Le survenant. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  22 Avril 2019  •  Dissertation  •  717 Mots (3 Pages)  •  543 Vues

Page 1 sur 3

Étape 1 : Plan du développement

Argument principal 1

     

Argument 1 : Les habitant du Chenal du Moine peuvent voir le bonheur qu’amène le nomadisme chez le Survenant.

Sous-argument 1.1 : Les autres cultivateurs sont jaloux des Beauchemin car ils ont le Survenant comme travailleur et qu’il est admiré par tous.

Sous-argument 1.2 : Les habitants admirent le Survenant et ses histoires.

Sous-argument 1.3 : Le survenant réussit à faire aimer le nomadisme à Angélina.


Argument principal 2

     

Argument 2 : Grâce au nomadisme, le survenant est libre de ses actes

Sous-argument 2.1 : Dès le début le Survenant avertit à Didace que s’il n’aime pas travailler à la ferme il partira quand il voudra.

Sous-argument 2.2 : Le Survenant ne créer aucun lien d’attachement et donc trouve le bonheur dans le nomadisme.

Sous-argument 2.3 : Le Survenant est libre de décider quand partir pour découvrir d’autres villes.


Étape 2 : Rédaction

      Oui il est vrai d’affirmer que, dans le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme.

De plus, nous pouvons voir que le Survenant est libre de ses actes grâce au nomadisme. En effet, dès qu’il accepte de travailler avec Didace, il l’avertit clairement que si cela ne lui plaît pas il ne resterait pas et partira quand bon lui semble : « De mon bord, si j’aime pas l’ordinaire, pas même le temps de changer de hardes et je pars.» (p. 42-43). Dans cette citation, nous pouvons constater que le Survenant garde toujours le contrôle de ses actes et qu’il n’a de compte à rendre à personne. Par la suite, on peut voir que le Survenant ne crée aucun lien d’attachement avec les autres personnages, ce qui lui permet d’être plus libre de ses décisions et donc s’il décide de partir ailleurs rien ne le retiendra : « Un vrai sauvage, quoi! Ces survenants-là sont presquement pas du monde. Ils arrivent tout d’une ripousse. Ils repartent de même. C’est pire que des chiens errants. Une journée, ils vous mangeraient dans le creux de la main tellement ils sont tout miel. Le lendemain, ç’a le courage de vous sauter à la face et de vous dévorer tout rond.» (p. 195) Dans cette comparaison, le Survenant est comparé à un sauvage et à un chien errant, parce qu’il serait parti sans dire au revoir. Donc, on peut constater qu’il n’a même pas pris la peine de dire au revoir aux habitants du Chenal du Moine et serait parti sans avertir, ce qui démontre qu’il est capable de ne pas avoir un lien d’attachement avec d’autres personnes et donc il est plus facile de prendre des décisions difficiles pour lui. Enfin, le Survenant est libre de partir quand il le veut pour explorer le monde, sans qu’il y ait personne pour le lui empêcher. Effectivement, dans une discussion avec le père Beauchemin, le Survenant lui dit : « Partout où c’est que je passe, j’ai coutume de gagner mon sel, puis le beurre pour mettre dedans. Je vous ai offert de me garder moyennant asile et nourriture. Si vous avez pas satisfaction, dites-le : la route est proche.» (p. 42) Par cette citation, on peut voir que le Survenant dit clairement que si Didace n’est pas certain des conditions de travail du Survenant, il partira et ira ailleurs parce qu’il n’y rien qui le retient dans ce village et de plus il est libre d’aller où il veut.

...

Télécharger au format  txt (4.2 Kb)   pdf (350.1 Kb)   docx (942.2 Kb)  
Voir 2 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com